Toyota change ses airbags après une vague sans précédent de rappels

mam80

la rose et le réséda
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Confronté à des défaillances, le constructeur japonais a demandé au principal rival de Takata, son fournisseur actuel, de produire 13 millions d'airbags pour ses véhicules.

Toyota a retenu la leçon
. Le constructeur japonais a demandé à Nippon Kayaku d'augmenter sa production dans le but de lui fournir plus de 13 millions d'airbags d'ici juillet 2020, selon plusieurs sources proches du dossier approchées par Reuters. C'est la plus grosse décision prise par le japonais sur le sujet depuis que le constructeur a été affecté par le plus important rappel de véhicules de l'histoire.
Au total, plus de 12 millions d'entre eux ont été rappelés par leur constructeur depuis 2008 dans le but de remplacer les airbags de Takata.

Ces 13 millions de pièces commandées correspondent au nombre de véhicules dont Toyota pense qu'ils pourraient représenter un danger pour leurs conducteurs dans les prochaines années. Les spécialistes estiment cette commande entre 100 et 150 millions de dollars. Ce changement de fournisseur est surtout une précaution que prend Toyota pour éviter de nouveaux accidents qui pourraient de nouveau salir sa marque. Avant les premiers incidents, le japonais était reconnu comme le constructeur le plus fiable sur le marché avant de se faire ravir sa place sur le podium par Volkswagen cette année.

Huit décès et une centaine de blessés
Les gonfleurs d'airbags seraient en partie responsables de la mort de huit personnes et d'une centaine de blessés après leur explosion et l'éclat d'obus à l'intérieur de la voiture. Le coût de ces accidents est pris en charge par les constructeurs alors que les enquêtes continuent pour comprendre vraiment leurs causes.

Takata a, de son côté, toujours expliqué que ces accidents pouvaient s'expliquer par une trop forte exposition de ses airbags à la chaleur et une humidité trop importante.
C'est ce qui causerait un déploiement trop puissant de ceux-ci lorsqu'ils ont dépassé les cinq ans d'ancienneté.
La justice américaine avait exhorté le fabricant Takata à rappeler immédiatement toutes les voitures équipées par la compagnie. Une demande qui pourrait affecter plus de 50 millions de véhicules rien qu'aux États-Unis.

L'équipementier fournit aussi d'autres constructeurs asiatiques comme Honda et Nissan.
Honda a également dû rappeler plus de 10 millions de véhicules pour cause d'airbags défectueux.
Toyota continuera toutefois de travailler avec Takata sur d'autres produits.
«Takata peut relever la tête s'il commande des gonfleurs à d'autres fournisseurs», juge un spécialiste de l'industrie automobile.

le figaro

mam
 
Confronté à des défaillances, le constructeur japonais a demandé au principal rival de Takata, son fournisseur actuel, de produire 13 millions d'airbags pour ses véhicules.

Toyota a retenu la leçon
. Le constructeur japonais a demandé à Nippon Kayaku d'augmenter sa production dans le but de lui fournir plus de 13 millions d'airbags d'ici juillet 2020, selon plusieurs sources proches du dossier approchées par Reuters. C'est la plus grosse décision prise par le japonais sur le sujet depuis que le constructeur a été affecté par le plus important rappel de véhicules de l'histoire.
Au total, plus de 12 millions d'entre eux ont été rappelés par leur constructeur depuis 2008 dans le but de remplacer les airbags de Takata.

Ces 13 millions de pièces commandées correspondent au nombre de véhicules dont Toyota pense qu'ils pourraient représenter un danger pour leurs conducteurs dans les prochaines années. Les spécialistes estiment cette commande entre 100 et 150 millions de dollars. Ce changement de fournisseur est surtout une précaution que prend Toyota pour éviter de nouveaux accidents qui pourraient de nouveau salir sa marque. Avant les premiers incidents, le japonais était reconnu comme le constructeur le plus fiable sur le marché avant de se faire ravir sa place sur le podium par Volkswagen cette année.

Huit décès et une centaine de blessés
Les gonfleurs d'airbags seraient en partie responsables de la mort de huit personnes et d'une centaine de blessés après leur explosion et l'éclat d'obus à l'intérieur de la voiture. Le coût de ces accidents est pris en charge par les constructeurs alors que les enquêtes continuent pour comprendre vraiment leurs causes.

Takata a, de son côté, toujours expliqué que ces accidents pouvaient s'expliquer par une trop forte exposition de ses airbags à la chaleur et une humidité trop importante.
C'est ce qui causerait un déploiement trop puissant de ceux-ci lorsqu'ils ont dépassé les cinq ans d'ancienneté.
La justice américaine avait exhorté le fabricant Takata à rappeler immédiatement toutes les voitures équipées par la compagnie. Une demande qui pourrait affecter plus de 50 millions de véhicules rien qu'aux États-Unis.

L'équipementier fournit aussi d'autres constructeurs asiatiques comme Honda et Nissan.
Honda a également dû rappeler plus de 10 millions de véhicules pour cause d'airbags défectueux.
Toyota continuera toutefois de travailler avec Takata sur d'autres produits.
«Takata peut relever la tête s'il commande des gonfleurs à d'autres fournisseurs», juge un spécialiste de l'industrie automobile.

le figaro

mam
toujours de la publicité c est tout, toute les marques font la même chose, meme fiat
 
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