La traite des enfants

Pareil

Just like me :D
VIB
Regardez cette vidéo.

Ces ******* (désolé mais je n’ai pas trouvé d’autre mot) approuvent de faire bosser des gamins de 10 ans dans les mines pour le profit des grosses multinationales.

Et ce sont ces pourritures là, qui crachent à longueur de temps sur le FN au nom des liberté et des droits de l’homme.

Je crois rêver !

Sophie de Menthon justifie le travail des enfants. - YouTube

http://mutien.com/site_officiel/?p=2408


Je pense que tu fais erreur : elle n'a pas entièrement tort : si ces enfants n'étaient pas mis au travail, ils mourraient. Et que feraient les parents ? Ils ont été jusqu'à vendre leurs enfants - de quoi seraient-ils capables sinon ?

Car s'ils travaillent, ils ont presque de la chance que ce ne soit pas vers les réseaux pédophiles.
Et elle dit bien qu'elle aimerait vraiment que ces enfants aient une scolarité normale plutôt que de les voir obligé de travailler.

En fait, elle a une manière abominable de s'exprimer à vif. C'est le côté cru de cette façon de parler qui est particulièrement choquant.

Mais en réalité, elle juste très cynique dans sa façon de voir les choses. Mais cela veut dire qu'elle est malgré tout réaliste devant les faits...

Ce qu'elle dit est cruelle et horrible, mais c'est malheureusement la réalité...


Et si tu réfléchis bien, en réalité, l'Europe n'était pas si différente il n'y a pas si longtemps...
A ceci près que l'europe ne connaissait pas la surpopulation qui, dans les pays pauvre actuels, ne fait qu'amplifier le phénomène (la réalité des pays faisant travailler des enfants est donc, c'est une simple mais cruelle suite logique, pire que chez nous avant...
 

olddybldi

Muslim for ever
Le temps passe et l'humain est toujours le même :pleurs:


Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?
Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?
Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?
Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ;
Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement
Dans la même prison le même mouvement.
Accroupis sous les dents d'une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre,
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,
Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer.
Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.
Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.
Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !
Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes,
Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! »
O servitude infâme imposée à l'enfant !
Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant
Défait ce qu'a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée,
La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée,
Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! -
D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !
Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre,
Qui produit la richesse en créant la misère,
Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil !
Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? »
Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme,
Une âme à la machine et la retire à l'homme !
Que ce travail, haï des mères, soit maudit !
Maudit comme le vice où l'on s'abâtardit,
Maudit comme l'opprobre et comme le blasphème !
O Dieu ! qu'il soit maudit au nom du travail même,
Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux,
Qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux !

Victor Hugo, Les Contemplations,
 
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