Transsexuel en Iran

tizniti

Soyons sérieux .
Il vaut mieux devenir transsexuel qu’être homosexuel en Iran. France 5 racontera dans un documentaire le quotidien de ces hommes et femmes qui changent d’identité afin de mieux vivre leur sexualité.

La transsexualité est tolérée dans la République islamique depuis une fatwa de l’imam Khomeyni. Cependant, l’homosexualité reste interdite et peut entraîner la peine de mort.

La clinique du docteur Mir Jalali reste le dernier espoir pour Anoosh, Ali Askar et les autres.

La caméra de la réalisatrice Tanaz Eshagian va les suivre tout au long de leur transformation. Et même un an après…

Diffusion mardi 19 mai à 20h35 sur France 5.
 

tizniti

Soyons sérieux .
Histoire

Avant 1979

En 1963, l'Ayatollah Rouhollah Khomeini a écrit un livre dans lequel il dit qu'il n'existe aucune restriction religieuse vis à vis de la chirurgie corrective. Cependant, ce livre ne s'appliquait alors qu'aux intersexuels, et à cette époque, Khomeini était un révolutionnaire radical anti-Shah; et ses fatwas n'avaient aucun poids sur le gouvernement impérial, qui n'avait aucune politique spécifique vis-à-vis des individus transgenre[1]

Après la révolution

Le nouveau gouvernement religieux qui s'est établi après la révolution de 1979 a classé les transsexuels et les travestis avec les gays et les lesbiennes, qui étaient condamnés par l'Islam et risquait le fouet et la mort d'après la code pénal iranien.

Un des premiers activistes pour les droits des transsexuels est Maryam Hatoun Molkara, qui était anciennement un homme connu sous le prénom de Fereydoun. Avant la révolution, elle voulait devenir une femme mais ne pouvait se permettre la chirurgie. De plus, elle souhaitait avoir une autorisation religieuse. Depuis 1975, elle écrivait des lettres à Khomeini, alors exilé, qui était sur le point de devenir le leader de la révolution. Après la révolution, elle fut licenciée, reçut des injections forcées d'hormones mâle et fut placée dans une institution. Elle fut plus tard relâchée avec l'aide de ses relations et continua à influer sur d'autres dirigeants. Quand Khomeini fut revenu en Iran, elle alla le voir. Au début, elle fut arrêtée et battue par ses gardes, mais Khomeini lui donna ensuite une lettre l'autorisant à se faire opérer afin de changer de sexe. Cette lettre devint par la suite la fatwa autorisant de telles opérations en Iran[1].

Un petit nombre de membres du clergé iranien ont conseillé que les hommes et femmes homosexuels subissent des opérations de changement de sexe afin de leur permettre de vivre des vies normales.

Statut contemporain

La fatwa originelle de Khomeini a depuis été confirmée par l'actuel guide suprême de l'Iran, l'Ayatollah Ali Khamenei, et est aussi soutenue par de nombreux membres du clergé iranien[2]. Cependant, il existe toujours des préjugés fort vis-à-vis du transsexualisme dans la société iranienne, et il est conseillé à la plupart des transexuels ayant été opérés de rester discret sur leur passé. Une fois qu'un individu transgenre a changé de sexe, cette personne devient légalement une personne de ce sexe. Tous les documents légaux, comme les certificats de naissance et les passeports sont modifiés selon l'opération subie.

L'Hojatoleslam Kariminia, un membre du clergé de niveau moyen qui est en faveur des droits des transsexuels, a déclaré qu'il souhaite "suggérer que le droit des transsexuels à changer de sexe est un droit de l'homme" et qu'il essaie "de présenter les transsexuels aux gens à travers [son] mon travail et faire disparaitre les stigmates ou insultes attachés à ces individus."[2]

Le rapport du HCR de 2001 dit que la chirurgie de changement de sexe est fréquemment et ouvertement menée en Iran, et que les homosexuels et les travestis sont en sécurité tant qu'ils gardent profil bas[3]. Cependant, le rapport du projet Safra en 2004 considère que le rapport du HCR est trop optimiste. Le rapport Safra suggère que le HCR a sous-estimé la pression légale sur les LGBT.

Le rapport déclare de plus qu'il n'est pas possible actuellement pour les individus transgenre de choisir de ne pas subir de chirurgie - si on leur accorde le droit de changer de sexe, il est attendu qu'il le fasse immédiatement. Ceux qui ne veulent pas se faire opérer (ainsi que ceux qui se travestissent ou ne peuvent définir leur sexe) sont considérés comme étant de leur genre biologique, et, en tant que tels, peuvent être soumis à harcèlement pour le fait d'être homosexuels et sont donc sujets aux mêmes lois interdisant les actes homosexuels[4].

Critique

La féministe lesbienne Sheila Jeffreys a tenté de démontrer que le soutien iranien pour la transsexualité démontre que la défense des droits des transsexuels est motivée par l'homophobie même dans les pays occidentaux, arguant du fait que permettre la chirurgie visant à changer de sexe "renforce le genre"[5].


http://fr.wikipedia.org/wiki/Transsexualité_en_Iran


Et si les pays musulmans adoptent, à l'egard de leurs transexuels , la méme attitude que les iraniens.
Qu'en pensez-vous
 
Il vaut mieux devenir transsexuel qu’être homosexuel en Iran. France 5 racontera dans un documentaire le quotidien de ces hommes et femmes qui changent d’identité afin de mieux vivre leur sexualité.

La transsexualité est tolérée dans la République islamique depuis une fatwa de l’imam Khomeyni. Cependant, l’homosexualité reste interdite et peut entraîner la peine de mort.

La clinique du docteur Mir Jalali reste le dernier espoir pour Anoosh, Ali Askar et les autres.

La caméra de la réalisatrice Tanaz Eshagian va les suivre tout au long de leur transformation. Et même un an après…

Diffusion mardi 19 mai à 20h35 sur France 5.

génial d'être gay en Iran soit on te tue soit tu te fais charcuter :rolleyes:
 

tizniti

Soyons sérieux .
llah yster 3ou safi...les "trans"...hadchi lb9a lina fl7sab...la perversion sexuelle n'a donc plus de limites...


Les transsexuelles hommes doivent faire leu prière avec les homme et lorsqu'ils se font opérées pour retrouver une féminines elles doivent porter le tchador, faire leurs prières avec les femmes et même se marier.
Elles peuvent même adopter.
 
le jour où dans les pays soit disant démocratique, on nous montre un reportage , juste un petit once du côté positif de l'iran, on pourra parler de crédibilité des médias.
à croire ces reportages sur l'iran, l'iran incarne le pays où les djines ont élus leurs domiciles.
 
le jour où dans les pays soit disant démocratique, on nous montre un reportage , juste un petit once du côté positif de l'iran, on pourra parler de crédibilité des médias.
à croire ces reportages sur l'iran, satan a élu domicile et l'iran incarne le pays où les djines ont élus leurs domiciles.

L'Iran est le prochaine "Homme à abattre" ....pourquoi montrer ce qu'il y a de positif dans ce pays ?
 
L'Iran est le prochaine "Homme à abattre" ....pourquoi montrer ce qu'il y a de positif dans ce pays ?

je vois pas le cotés positif du tout, je trouve ça plutôt pervers
l'homosexualité est interdite et peut être condamné par la mort, mais changer de sexe est autorisé...

en gros ça force un peu la main aux gays pour qu'ils se fassent opérer sinon c'est la condamnation.

c'est vrai "qu'obliger" les gays à se faire charcuter et à changer de sexe sous peine de condamnation c'est franchement positif !
 
je vois pas le cotés positif du tout, je trouve ça plutôt pervers
l'homosexualité est interdite et peut être condamné par la mort, mais changer de sexe est autorisé...

en gros ça force un peu la main aux gays pour qu'ils se fassent opérer sinon c'est la condamnation.

c'est vrai "qu'obliger" les gays à se faire charcuter et à changer de sexe sous peine de condamnation c'est franchement positif !


en attendant bcp de pays européens sont Hypocrites quant à la situation des trans.....mais les gays sont acceptés .... chacun voit midi à sa porte apparemment !
 

tizniti

Soyons sérieux .
en attendant bcp de pays européens sont Hypocrites quant à la situation des trans.....mais les gays sont acceptés .... chacun voit midi à sa porte apparemment !

Tout à fait.
La situation des trans en Europe est tout à fait scandaleuse et choquante alors qu'elle l'est beaucoup moins en iran ou au Maroc ou ces personnes peuvent parfaitement changer de sexe et d'avoir une vie sexuelle et familiale harmonieuse.

Pour info:

Le ministère de la Santé a annoncé samedi que la transsexualité ne serait plus classée en France comme une maladie mentale.

InterTrans rappelle toutefois que des "engagements" supplémentaires sont "nécessaires pour accompagner cette dépsychiatrisation symbolique".

Par exemple, dit-elle, il faudrait entendre la ministre Roselyne Bachelot "dire que la France renonce enfin aux stérilisations forcées, seule façon aujourd'hui pour une personne +trans+ d'obtenir un changement d'état civil".

Dans un communiqué distinct, les associations Objectif Respect Trans (ORTrans) et le Réseau d'assistance aux victimes d'agressions et de discriminations (Ravad) estiment que l'annonce de Mme Bachelot "ne doit pas se limiter au champ médical".

"En effet, une grande partie des personnes transsexuelles, à l'occasion de leur demande de rectification d'état civil, se voient exigées par le juge de subir (tant physiquement que financièrement) des expertises médicale et psychiatrique dont il est prouvé qu'elles sont inutiles et ajoutent une lourde pénalité à un parcours déjà difficile", expliquent-elles.

Elles demandent donc à la Garde des Sceaux, Rachida Dati, "par circulaire d'enjoindre aux parquets de ne plus requérir ces expertises humiliantes".

Dans un autre communiqué, le Syndicat du Travail sexuel (Strass) dit craindre "un effet d'annonce" et que l'Etat "rende encore plus difficile l'accès aux traitements", entre autres.

Dimanche était la journée internationale contre l'homophobie, dont le thème était cette année en France la lutte contre la transphobie, ou rejet des personnes transsexuelles.
 

nasritto

LA TANSA NAçIBAKA MINA...
Il vaut mieux devenir transsexuel qu’être homosexuel en Iran. France 5 racontera dans un documentaire le quotidien de ces hommes et femmes qui changent d’identité afin de mieux vivre leur sexualité.

La transsexualité est tolérée dans la République islamique depuis une fatwa de l’imam Khomeyni. Cependant, l’homosexualité reste interdite et peut entraîner la peine de mort.

La clinique du docteur Mir Jalali reste le dernier espoir pour Anoosh, Ali Askar et les autres.

La caméra de la réalisatrice Tanaz Eshagian va les suivre tout au long de leur transformation. Et même un an après…

Diffusion mardi 19 mai à 20h35 sur France 5.
ça explique pas toujours le mot ;c'est quoi au juste TRANSSEXUEL"
 
Le transsexualisme

Définition du transsexualisme : le transsexualisme se caractérise par le sentiment profond et inébranlable d’appartenir au sexe opposé à celui qui est biologiquement, anatomiquement et juridiquement le sien accompagné du besoin intense et constant de changer de sexe et d’état civil.

Reconnaissance du transsexualisme : Cette pratique est reconnue car réalisée par le corps médical. Néanmoins, à ces débuts, du point de vue juridique, cette pratique était condamnée sur le fondement d’une mutilation sur le corpsC’est la jurisprudence qui traite de cette pratique du fait de l’absence de législation à ce sujet

Evolution jurisprudentielle :

-avant 1992 : jurisprudence défavorable aux transsexuels. Aucun accord pour tout changement de la mention du sexe dans l’acte de naissance

-depuis 1992 : La CEDH condamne la France, elle met en évidence que le droit français place les requérants dans un non respect de la vie privée (article 8 de la CEDH).

Etendue de cette solution => imposait seulement de ne pas réclamer le sexe officiel mais n’imposait pas au droit français d’accepter le changement de sexe dans l’état civil, pour un transsexuel.

=>revirement de la Cour de Cassation( 11 déc 92) qui admet désormais la modification, dans l’acte de naissance, de la mention du sexe au nom du respect de la vie privée du transsexuel.

Domaine familial : Au départ, mise en avant du mariage traditionnel et donc de la primauté du critère biologique. Mais revirement amenant à accepter le mariage à condition d’être de sexe psychosociologique différent. CEDH a ainsi consacré le droit pour un transsexuel de se marier avec une personne de son sexe d’origine

Jurisprudence en droit français : consécration supranationale du droit au transsexuel de se marier. Dès le moment où il y a eu un changement de la mention du sexe dans l’acte de naissance, il n’y a aucun obstacle au mariage pour le transsexuel.

Principe de non-rétroactivité : le changement de la mention du sexe dans l’acte de naissance ne dispose que pour l’avenir. Par exemple, l’homme devenant femme reste le père de ses enfants même après le changement du sexe dans son acte de naissance

rien a voir avec homosexualite, travestisme etc...
 
je l'ai vu ce reportage hier soir sur france 5, honnetement il m'a choqué je pensé pas qu'il y'en avait autant qui pratiquer ce genre de métamorphose :eek:
 
je l'ai vu aussi impressionnant et a la fois ia bcp de douleur en eux j'ai l'impression
je sais pas ct bizar quand meme ...
trop bizarre
a un moment y'avais un trans, il l'ont montré avec son fiancé il était super géné et tout il savais plus ou se mettre, l'autre il avait 3 tonnes de maquillage ca ma fait rire
 
trop bizarre
a un moment y'avais un trans, il l'ont montré avec son fiancé il était super géné et tout il savais plus ou se mettre, l'autre il avait 3 tonnes de maquillage ca ma fait rire


oui j'ai vu ct vers la fin
waw il etait bcp gené c vrai il voulait pas de mariage pr le moment elle ou lui se croyais tjrs un homme il s'assoit les jambes bien ecarté comme dhab koi :eek:on garde tjrs un effet masculin :D
 

Miia34

Madame aime son Monsieur
Il vaut mieux devenir transsexuel qu’être homosexuel en Iran. France 5 racontera dans un documentaire le quotidien de ces hommes et femmes qui changent d’identité afin de mieux vivre leur sexualité.

La transsexualité est tolérée dans la République islamique depuis une fatwa de l’imam Khomeyni. Cependant, l’homosexualité reste interdite et peut entraîner la peine de mort.

La clinique du docteur Mir Jalali reste le dernier espoir pour Anoosh, Ali Askar et les autres.

La caméra de la réalisatrice Tanaz Eshagian va les suivre tout au long de leur transformation. Et même un an après…

Diffusion mardi 19 mai à 20h35 sur France 5.

C'est clair dans l'Islam que l'homme ne doit pas ressembler à la femme et inversement !
Alors pourquoi autoriser la transexualité ? C'est hram !
 
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