Le PJD a ouvert le bal en reversant à l'Etat une somme de 20 millions de DH sur la dotation de la campagne électorale de 54 millions que le ministère de l'intérieur lui avait accordée.
guerre du PJD
Après les élections, le moment est venu pour les partis de rendre des comptes. Le PJD a ouvert le bal en reversant à lEtat une somme de 20 millions de DH sur la dotation de la campagne électorale de 54 millions que le ministère de lintérieur lui avait accordée. Les partis sont en effet tenus de restituer le reliquat des subventions qui leur ont été accordées par lEtat, quil sagisse des subventions non utilisées ou celles relatives aux candidats qui nont pas été élus. En effet, la dotation du ministère étant corrélée au nombre de sièges obtenus, les partis gardent la somme correspondant aux dépenses des candidats élus et reversent le reste à lEtat. Ce dernier avait accordé, à titre de subvention à la campagne électorale, 220 millions de DH aux partis politiques qui ont participé au scrutin.
Dun autre côté, il faut rappeler que la loi organique de la Chambre des représentants oblige les députés nouvellement élus à déposer un état de leurs dépenses lors de la dernière campagne électorale -plafonnées à 350 000 DH- et ce, dans un délai dun mois après la proclamation officielle des résultats de scrutin, sous peine dêtre déchus de leur mandat. Ont-ils tous respectés la règle ?
La Vie Eco
guerre du PJD
Après les élections, le moment est venu pour les partis de rendre des comptes. Le PJD a ouvert le bal en reversant à lEtat une somme de 20 millions de DH sur la dotation de la campagne électorale de 54 millions que le ministère de lintérieur lui avait accordée. Les partis sont en effet tenus de restituer le reliquat des subventions qui leur ont été accordées par lEtat, quil sagisse des subventions non utilisées ou celles relatives aux candidats qui nont pas été élus. En effet, la dotation du ministère étant corrélée au nombre de sièges obtenus, les partis gardent la somme correspondant aux dépenses des candidats élus et reversent le reste à lEtat. Ce dernier avait accordé, à titre de subvention à la campagne électorale, 220 millions de DH aux partis politiques qui ont participé au scrutin.
Dun autre côté, il faut rappeler que la loi organique de la Chambre des représentants oblige les députés nouvellement élus à déposer un état de leurs dépenses lors de la dernière campagne électorale -plafonnées à 350 000 DH- et ce, dans un délai dun mois après la proclamation officielle des résultats de scrutin, sous peine dêtre déchus de leur mandat. Ont-ils tous respectés la règle ?
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