Twitter, nouvel outil de communication pour la présidence iranienne

madalena

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salam

Twitter a beau être interdit aux Iraniens, privés d'une très large partie d'Internet, cela n'empêche pas le président Hassan Rohani (@HassanRouhani) de l'utiliser comme moyen de communication à destination de l'Occident. Sa discussion avec l'Américain Jack Dorsey, fondateur du réseau social Twitter et figure de la Silicon Valley, le 1er octobre, en est le dernier exemple.

Après avoir salué l'arrivée de M. Rohani sur le réseau social, M. Dorsey a poliment demandé au président iranien, non sans malice, si "les citoyens iraniens pouvaient lire [ses] tweets". Il n'a pas fallu longtemps pour que le président réplique dans un anglais hésitant, un dialogue inimaginable il y a seulement quelques semaines :

"Bonsoir Jack. Comme je l'ai dit à Catherine Amanpour [journaliste pour CNN], mes efforts sont destinés à ce que mon peuple puisse avoir confortablement accès à l'information globale, comme il en a le droit."
L'utilisation d'un tel canal de communication par un haut responsable iranien est une véritable nouveauté. Créé au moment de la campagne présidentielle iranienne, probablement par de proches soutiens, le compte de Hassan Rohani a débuté par des messages en farsi. Peu à peu, sa stratégie a évolué, pour se muer en moyen de communiquer auprès des Occidentaux. Le compte, probablement géré par ses conseillers, est riche de près de 2 000 messages et fort de quasiment 100 000 abonnés. Le 4 septembre, un autre haut responsable du régime, le ministre iranien des affaires étrangères, Javad Zarif, a également créé son compte Twitter.

http://fr.news.yahoo.com/twitter-nouvel-outil-communication-présidence-iranienne-180845236.html
 

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---lcdcjve---
VIB
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Twitter a beau être interdit aux Iraniens, privés d'une très large partie d'Internet, cela n'empêche pas le président Hassan Rohani (@HassanRouhani) de l'utiliser comme moyen de communication à destination de l'Occident. Sa discussion avec l'Américain Jack Dorsey, fondateur du réseau social Twitter et figure de la Silicon Valley, le 1er octobre, en est le dernier exemple.

Après avoir salué l'arrivée de M. Rohani sur le réseau social, M. Dorsey a poliment demandé au président iranien, non sans malice, si "les citoyens iraniens pouvaient lire [ses] tweets". Il n'a pas fallu longtemps pour que le président réplique dans un anglais hésitant, un dialogue inimaginable il y a seulement quelques semaines :

"Bonsoir Jack. Comme je l'ai dit à Catherine Amanpour [journaliste pour CNN], mes efforts sont destinés à ce que mon peuple puisse avoir confortablement accès à l'information globale, comme il en a le droit."
L'utilisation d'un tel canal de communication par un haut responsable iranien est une véritable nouveauté. Créé au moment de la campagne présidentielle iranienne, probablement par de proches soutiens, le compte de Hassan Rohani a débuté par des messages en farsi. Peu à peu, sa stratégie a évolué, pour se muer en moyen de communiquer auprès des Occidentaux. Le compte, probablement géré par ses conseillers, est riche de près de 2 000 messages et fort de quasiment 100 000 abonnés. Le 4 septembre, un autre haut responsable du régime, le ministre iranien des affaires étrangères, Javad Zarif, a également créé son compte Twitter.

http://fr.news.yahoo.com/twitter-nouvel-outil-communication-présidence-iranienne-180845236.html
Je le suis.....................

Son compte: https://twitter.com/HassanRouhani
 

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