En lisant l’article Telquel ma du 27 Janv 2017 sous les pointillés vous allez comprendre pourquoi seulement 4 pays africains ( Nigéria, Afrique du Sud, Algérie et Angola) arrivent à dicter leur politique pro-RASD à tous les autres pays du Continent ( aux 50 autres) .
On comprend donc bien , comme le disent d’anciens cadres du Polisario ayant rejoint depuis le Maroc, que certains pays se servent de l’affaire du Sahara soit pour contrer les avancées gênantes du Maroc en Afrique ou ailleurs dans le Monde soit pour faire du Chantage du Maroc dans le but d’en tirer quelques avantages de différentes natures.
lien à voir : http://www.bladi.info/threads/omar-hadrami-ancien-cadre-polisario.447771/
Remarque :
L’Egypte ne reconnaît pas (encore) la Rasd comme d’ailleurs l’ONU et la Ligue Arabe même si son Régime très semblable au Régime algérien la pousse parfois a tergiversé.
Mais l’Egypte sait aussi qu’elle aurait beaucoup à perdre financièrement en se mettant à dos la Confédération des Monarchies du Golf toutes anti Rasd et anti-polisario
Rappels :
Le Polisario est un mouvement politique regroupant des séparatistes comme il existe beaucoup dans le Monde ( En France, en Espagne, aux USA , en Algérie, en Chine etc…) : l’Onu reconnaît ce mouvement en tant qu’interlocuteur mais pas comme représentant de toutes les populations.
Les Populations sahraouis unionistes et donc anti-Polisario sont regroupées dans un mouvement appelé le CORCAS.
La RASD est un état autoproclamé non reconnu par l’ONU (seul organisme international habilité à reconnaître un Etat). Qui suppose Existence d’un Etat suppose forcément aussi existence d’un Peuple.
Les Populations Sahraouis sont un mélange de populations d’origine berbères et sub sahariennes très anciennes auxquelles se sont ajoutées des tribus arabes ( dont les Banu Hassan arrivés au Maroc au 15ème siècle en provenance du Yemen).
Les REGUIBAT forment la tribu majoritaire au Sahara : on en trouve dans le Sud du Maroc ( Tarfaya, Tan Tan etc…) , dans l’actuel Tindouf algérien, dans l’ancien Sahara Espagnol dit Occidental, et dans le Nord de l’actuelle Mauritanie. L’ancêtre commun à tous ces Reguibat est enterré à TETOUAN ( Nord Maroc).
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Lien vers l' Article Telquel Ma avec Vidéo : https://telquel.ma/2017/01/27/contr...roc-lua-au-coeur-dechanges-commission_1533226
Titre : La contribution financière du Maroc à l’UA au cœur d’échanges avec la Commission
Le vice-président de la Commission de l’UA reste prudent sur l’issue du vote pour l’intégration du Maroc devant les caméras. Son entourage en revanche indique à Telquel.ma que la Commission a d’ores et déjà échangé avec le Royaume sur la question de sa contribution financière.
Au cours d’une conférence de presse sur le financement de l’Union africaine, le 27 janvier au siège éthiopien de l’organisation panafricaine, le vice-président de la Commission de l’UA, le Kenyan Erastus Mwencha a été interrogé sur la future contribution financière du Maroc à l’UA
Le Maroc n’aurait-il donc aucun contact avec la Commission avant d'obtenir officiellement le statut de membre? En off, l'entourage du vice-président de la Commission affirme qu’il y a bien eu "des échanges de courriers" avec le Maroc sur la question de la contribution.
Le montant de cette contribution n’est pas encore établi, mais l’UA applique un barème qui veut que les 5 États membres les plus riches prennent en charge 60 % du financement de l’Union.
Avec 105,1 milliards de dollars de PIB en 2015 selon le FMI, le Maroc était la sixième économie africaine derrière le Nigéria, l’Afrique du Sud, l’Égypte, l’Algérie et l’Angola.
Le véritable objectif à court terme pour le Maroc est d’intégrer le top 5.
Au cours de cette conférence de presse, Erastus Mwencha a par ailleurs déploré "la dépendance de l’UA aux ressources externes", c’est-à-dire le financement international. Le budget 2016 de l’organisation panafricaine s’élevait à 417 millions de dollars, dont 170 millions apportés par les États membres, et 247 millions par les partenaires internationaux. "Nous sommes dépendants des financements extérieurs à près de 99 % en ce qui concerne les programmes de développement", détaille Mwencha. "Dans les 5 années à venir, l’UA doit pouvoir couvrir 100 % de ses couts opérationnels, au moins 75 % des programmes de développement, 25 % du cout du maintien de la paix et des opérations de sécurité", poursuit-il.
On comprend donc bien , comme le disent d’anciens cadres du Polisario ayant rejoint depuis le Maroc, que certains pays se servent de l’affaire du Sahara soit pour contrer les avancées gênantes du Maroc en Afrique ou ailleurs dans le Monde soit pour faire du Chantage du Maroc dans le but d’en tirer quelques avantages de différentes natures.
lien à voir : http://www.bladi.info/threads/omar-hadrami-ancien-cadre-polisario.447771/
Remarque :
L’Egypte ne reconnaît pas (encore) la Rasd comme d’ailleurs l’ONU et la Ligue Arabe même si son Régime très semblable au Régime algérien la pousse parfois a tergiversé.
Mais l’Egypte sait aussi qu’elle aurait beaucoup à perdre financièrement en se mettant à dos la Confédération des Monarchies du Golf toutes anti Rasd et anti-polisario
Rappels :
Le Polisario est un mouvement politique regroupant des séparatistes comme il existe beaucoup dans le Monde ( En France, en Espagne, aux USA , en Algérie, en Chine etc…) : l’Onu reconnaît ce mouvement en tant qu’interlocuteur mais pas comme représentant de toutes les populations.
Les Populations sahraouis unionistes et donc anti-Polisario sont regroupées dans un mouvement appelé le CORCAS.
La RASD est un état autoproclamé non reconnu par l’ONU (seul organisme international habilité à reconnaître un Etat). Qui suppose Existence d’un Etat suppose forcément aussi existence d’un Peuple.
Les Populations Sahraouis sont un mélange de populations d’origine berbères et sub sahariennes très anciennes auxquelles se sont ajoutées des tribus arabes ( dont les Banu Hassan arrivés au Maroc au 15ème siècle en provenance du Yemen).
Les REGUIBAT forment la tribu majoritaire au Sahara : on en trouve dans le Sud du Maroc ( Tarfaya, Tan Tan etc…) , dans l’actuel Tindouf algérien, dans l’ancien Sahara Espagnol dit Occidental, et dans le Nord de l’actuelle Mauritanie. L’ancêtre commun à tous ces Reguibat est enterré à TETOUAN ( Nord Maroc).
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Titre : La contribution financière du Maroc à l’UA au cœur d’échanges avec la Commission
Le vice-président de la Commission de l’UA reste prudent sur l’issue du vote pour l’intégration du Maroc devant les caméras. Son entourage en revanche indique à Telquel.ma que la Commission a d’ores et déjà échangé avec le Royaume sur la question de sa contribution financière.
Au cours d’une conférence de presse sur le financement de l’Union africaine, le 27 janvier au siège éthiopien de l’organisation panafricaine, le vice-président de la Commission de l’UA, le Kenyan Erastus Mwencha a été interrogé sur la future contribution financière du Maroc à l’UA
Le Maroc n’aurait-il donc aucun contact avec la Commission avant d'obtenir officiellement le statut de membre? En off, l'entourage du vice-président de la Commission affirme qu’il y a bien eu "des échanges de courriers" avec le Maroc sur la question de la contribution.
Le montant de cette contribution n’est pas encore établi, mais l’UA applique un barème qui veut que les 5 États membres les plus riches prennent en charge 60 % du financement de l’Union.
Avec 105,1 milliards de dollars de PIB en 2015 selon le FMI, le Maroc était la sixième économie africaine derrière le Nigéria, l’Afrique du Sud, l’Égypte, l’Algérie et l’Angola.
Le véritable objectif à court terme pour le Maroc est d’intégrer le top 5.
Au cours de cette conférence de presse, Erastus Mwencha a par ailleurs déploré "la dépendance de l’UA aux ressources externes", c’est-à-dire le financement international. Le budget 2016 de l’organisation panafricaine s’élevait à 417 millions de dollars, dont 170 millions apportés par les États membres, et 247 millions par les partenaires internationaux. "Nous sommes dépendants des financements extérieurs à près de 99 % en ce qui concerne les programmes de développement", détaille Mwencha. "Dans les 5 années à venir, l’UA doit pouvoir couvrir 100 % de ses couts opérationnels, au moins 75 % des programmes de développement, 25 % du cout du maintien de la paix et des opérations de sécurité", poursuit-il.