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Actualités marocaines
Un mre attend d'être livré depuis plus d’1 an et demi, malgré plus de 20 000 € d’acompte
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[QUOTE="hajbaoui, post: 12167966, member: 54765"] « Je ne peux pas mentir à des innocents, juste pour récupérer mon argent » Le projet Dream Hills est un projet de 140 appartements. L’agent immobilier de M. Serroukh, également basé à Tanger, en a vendu 40, d'après le MRE. « On a versé chacun [des clients, ndlr] 20 000 à 30 000 euros » à Mayfair Developments, déclare-t-il outré. Il a même songé à se désister pour acheter ailleurs. Mais pour ce faire, « il faudrait que le promoteur me rembourse mon acompte ». Cependant, Mayfair n’est pas à même de le faire, en raison de ses difficultés financières. « Il nous a été demandé de vendre l’appartement à quelqu’un d’autre, en lui faisant croire que c’est un nouveau projet qui démarre et sera livré dans un an. Mais, je ne peux pas mentir à des gens innocents, juste pour récupérer mon argent », s'interdit M. Serroukh. « C’est un dialogue de sourd entre la clientèle et Mayfair en ce moment » De son côté, l’agent immobilier du MRE est tout aussi exaspéré que lui. « MayFair a un problème de cash-flow, de ce fait, le chantier est bloqué. Les clients veulent se désister, mais ils ne peuvent pas, car le promoteur n’a pas de quoi rembourser », indique à Yabiladi ce Français résidant au Maroc qui a requis l’anonymat. Le professionnel tient un exemple palpable avec le cas de M. Serroukh. « Dernièrement, Mayfair s’était engagé à rembourser. Le papa de M. Serroukh est venu ici [à l'agence], lui et moi sommes allés rencontrer la direction de la société, mais il est rentré sans rien », explique-t-il; et d’ajouter : « c’est un dialogue de sourds entre la clientèle et Mayfair en ce moment ». L’agence immobilière reconnait qu’elle est « en première ligne », car intervenant entre le client et promoteur. « Mais, nous n’avons rien facturé aux clients, donc à notre niveau, on ne peut strictement rien faire », assure le responsable, soulignant que « tous les appartements du projet ont été vendus et Mayfair a utilisé l’argent des acomptes pour avancer sur le chantier ». Il estime avoir joué son rôle en informant les clients, une fois que Mayfair lui a signalé son problème de cash. D’après lui, la société chercherait en ce moment de nouveaux investisseurs. « La situation actuelle est très embêtante pour les acquéreurs. Certains clients nous demande de vendre les contrats de réservations, mais vu l’état de la situation, nous n’allons pas mentir », refuse l’agent. Son entreprise compte désormais six ans de collaboration avec Mayfair Developments, mais elle a d’autres collaborateurs. Et jusqu’au au projet Dream Hills, l'agence n’avait « jamais eu un problème de ce genre », assure son patron. Mayfair tente de désamorcer la bombe : livraison possible d’ici 2015 Mayfair, pour sa part, tente de désamorcer la bombe. Contacté par nos soins, l’un des dirigeants, Ahmed Naji, donne sa version des faits. « Au début du projet, on se basait seulement sur les fonds de la société qui étaient disponibles sans avoir de crédit. Nous étions sûrs que c'était suffisant pour le financement du projet, mais les choses se sont déroulées autrement, explique-t-il. Lorsque le projet a atteint les 45% de réalisation, nous avons dû faire deux demandes de crédit à deux banques différentes ». Selon M. Naji, Mayfair en général, obtient facilement des crédits. Mais cette fois, « les deux banques ont refusé ». « A cause de la crise, les banques sont devenues réticentes et imposent dorénavant des conditions plus fermes pour l’octroi des crédits », explique-t-il, ajoutant qu’avec ses collaborateurs, ils ont finalement opté pour « le financement privé ». « Normalement, les travaux doivent redémarrer après l’Aïd-el-Kebir. A partir de là, il faudra compter 12 à 15 mois pour la livraison des appartements », promet M. Naji avant de lancer : « Je ne veux pas donner une date précise pour ne pas faire des promesses en l’air ». A noter que plusieurs MRE, tout comme M. Serroukh, en veulent aujourd’hui à Mayfair Developments. Sur le forum de Yabialdi, quelques victimes se sont récemment manifestées. Il est vrai que le secteur immobilier est en crise depuis l'an dernier, mais les clients ont longtemps reproché au promoteur, « son manque de communication ». L’Aïd-el-Kebir sera célébrée dans quelques semaines. Il reste donc peu de temps pour voir si la l’entreprise tangéroise tient ses promesses. Pour l’instant, Nordine Serroukh ne veut pas engager de poursuite judiciaire, laissant encore la chance à Mayfair Developments de se rattraper. Source : [url]http://www.yabiladi.com/articles/details/20032/immobilier-maroc-attend-d-etre-livre.html[/url] [/QUOTE]
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Un mre attend d'être livré depuis plus d’1 an et demi, malgré plus de 20 000 € d’acompte
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