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Une entreprise minière française accusée de semer la désolation en amazonie
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[QUOTE="didadoune, post: 14180768, member: 374519"] L'article complet est dans le lien et il s'agit [B][U]des [/U]activités minières [/B] suite [B] Des industries polluantes au milieu de l’Amazonie [/B] Le kaolin extrait dans les mines d’Imerys est acheminé via deux canalisations plusieurs dizaines de kilomètres au nord vers l’usine de transformation que possède le groupe dans la ville de Barcarena, à quelques kilomètres de Belém. [B][U]Cette cité s’est transformée au fil des années en une zone de concentration d’industries extrêmement polluantes.[/U][/B] On y trouve notamment [B]une raffinerie et une fonderie d’aluminium, propriétés du groupe norvégien Norsk Hydro, et une usine sidérurgique.[/B] Toutes se sont installées là attirées par les conditions avantageuses offertes par le gouvernement brésilien. Dans les années 1970, à l’époque de la dictature, les dirigeants du pays ont fait construire le barrage de Tucuruí – l’un des plus grands au monde - pour alimenter en électricité bon marché les usines de la zone. Aujourd’hui encore, ces industries – y compris Imerys – bénéficient d’incitations fiscales très généreuses pour poursuivre [B][U]leurs activités, au nom du « développement » et de l’impératif d’exporter des matières premières.[/U] [/B] [I][B]« La forte concentration de ces industries [/B]a fait de la région une "zone sacrificielle" pour les populations locales. (…) Trois décennies d’industrie à Barcarena ont entraîné une augmentation rampante de la population en raison de l’arrivée de migrants en quête de travail, ainsi qu’une sévère dislocation des peuples traditionnels et des populations rurales qui ont été poussés vers des zones urbaines de type bidonville. »[/I] Selon les militants et universitaires qui se sont rendu sur place, malgré la présence à Barcarena de grandes multinationales comme NorskHydro ou Imerys, 30% de la population de Barcarena vit sous le seuil de pauvreté, seulement 14,9% des ménages ont accès à l’assainissement, et la violence et la prostitution règnent aux abords des usines. Avec un chiffre d’affaires de 3,7 milliards d’euros en 2014, [B][U]Imerys est spécialisée dans les métaux industriels.[/U][/B] Son principal actionnaire n’est autre que le Groupe Bruxelles Lambert, également actionnaire d’Engie, Total et Lafarge, et propriété conjointe de l’homme d’affaires belge Albert Frère et de la famille canadienne Desmarais. [U]L’entreprise minimise les impacts négatifs de ses activités sur l’environnement et les riverains[/U] [2], [B][U]en faisant valoir que le kaolin n’est pas toxique. Les produits utilisés pour son traitement, qui forment l’essentiel des déchets miniers, le sont bien, et plusieurs études scientifiques ont détecté la présence de métaux lourds dans les cours d’eau et les nappes phréatiques.[/U][/B] Le spectre d’[U]une nouvelle catastrophe minière[/U] [B]Il y a quelques semaines, le Brésil était frappé par l’une des plus importantes catastrophes écologiques de son histoire, suite à la rupture de plusieurs barrages retenant des déchets miniers toxiques, propriétés de l’entreprise Samarco (lire notre article). Tout le bassin du Rio Doce jusqu’à l’océan s’en est trouvé contaminé, et l’État brésilien poursuit les deux propriétaires de Samarco, les géants miniers Vale et BHP Billiton, pour couvrir une facture qui devrait s’élever à plusieurs milliards de dollars.[/B] Suite à la catastrophe, les autorités brésiliennes ont passé en revue les barrages de déchets miniers du pays et en ont identifié plusieurs qui posaient des risques similaires à ceux de Samarco et dont les propriétaires n’avaient pas fourni à l’administration les plans d’urgence de rigueur. [U]Selon le quotidien brésilien [I]O Globo[/I], les trois barrages miniers d’Imerys dans le Pará figurent dans cette liste. [/U]Malgré un passif d’incidents environnementaux à répétition, Imerys n’a pas pour autant cessé ses activités pour vérifier la fiabilité de ses barrages - [I]« parce que la loi ne l’y oblige pas »[/I], ont expliqué ses représentants au [I]Globo[/I]. L’entreprise française assure avoir investi ces dernières années pour renforcer la sécurité de ses barrages, et avoir élaboré un plan d’urgence pour les riverains. Mais elle refuse de le communiquer. Olivier Petitjean [url]http://multinationales.org/Une-entreprise-miniere-francaise-accusee-de-semer-la-desolation-en-Amazonie[/url] [/QUOTE]
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