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Une œuvre à la vente censurée et retirée sous la pression d’israël
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[QUOTE="aladin60, post: 14225773, member: 1818"] « Ce portrait met aux enchères un projet terroriste » Fin décembre, la maison de vente Artcurial recevait un courrier de l’ambassade d’Israël en France signalant une œuvre jugée offensante : celle imaginée par Ernest Pignon-Ernest. Sur la « une » de Libération traitant de l’après-Yasser Arafat, publiée le jour de son enterrement, en 2004, cette figure de l’art urbain a dessiné le portrait de l’homme politique et chef militaire palestinien Marwan Barghouti, accompagné de quelques mots : « En 1980, quand j’ai dessiné Mandela, on m’a dit que c’était un terroriste. » « Ce portrait met aux enchères un projet terroriste là où l’on cherche à faire croire qu’il s’agirait d’un homme de paix [en] le comparant à une grande figure internationalement reconnue : Nelson Mandela », s’est indignée l’ambassade dans son courrier (que Le Monde a pu consulter). Figure laïque emblématique de la lutte pour le retrait complet d’Israël des territoires occupés en 1967, Marwan Barghouti, 56 ans, ex-chef du Tanzim, la branche armée du Fatah, est incarcéré depuis 2002 dans une prison de haute-sécurité israélienne, condamné à cinq peines de prison à perpétuité. « [Il] est emprisonné à vie en Israël pour avoir été le cerveau de la seconde Intifada (2000-2005) et de ce fait, responsable de la mort de centaines de personnes, juives et non-juives », poursuivait l’ambassade, qui demandait à Artcurial « de bien vouloir retirer de la vente ce lot qui risque fort de semer la confusion et de porter préjudice à [sa] réputation ». Requête à laquelle le président délégué de la maison de ventes, François Tajan, a accepté d’accéder en retirant ce lot de la vente, « au motif des attentats récents, de la prorogation de l’état d’urgence et des potentiels troubles à l’ordre public », cite Libération. Sur la page dédiée à la vente, le lot 27, qui correspondait à l’œuvre d’Ernest Pignon-Ernest, disparaît alors. [/QUOTE]
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