Les USA vont negocier avec Ben Laden!

Bonjour,
10 ans de propagande,
On a appris que les talibans etaient pour le monde entier,l'organisation la plus barbare.
L'afghanistan est considerée comme la plaque tournante du terrorisme mondiale'd'apres Bush et Sharon).
Le siege sociale d'Alquaida(d'apres les sources de la CIA,le Mossad et les autres schtroumfs)
est Kaboul!!!
Et voilà maintenant,l'Otan qui nous parle de negociation!!!
Negocier avec qui?
Avec Monsieur le democrate Mollah Omar(respect Monsieur),
en 48 heures ,il est devenu frequantable!!!!!
Ma question est la suivante:
Et si L'AMERIQUE négocie avec Ben Laden via Omar et nous,nous le savons pas,ça sera quoi la reaction de ces pauvres peuples qui ont cru à la propagande christianistes?
 
Bonjour,
10 ans de propagande,
On a appris que les talibans etaient pour le monde entier,l'organisation la plus barbare.
L'afghanistan est considerée comme la plaque tournante du terrorisme mondiale'd'apres Bush et Sharon).
Le siege sociale d'Alquaida(d'apres les sources de la CIA,le Mossad et les autres schtroumfs)
est Kaboul!!!
Et voilà maintenant,l'Otan qui nous parle de negociation!!!
Negocier avec qui?
Avec Monsieur le democrate Mollah Omar(respect Monsieur),
en 48 heures ,il est devenu frequantable!!!!!
Ma question est la suivante:
Et si L'AMERIQUE négocie avec Ben Laden via Omar et nous,nous le savons pas,ça sera quoi la reaction de ces pauvres peuples qui ont cru à la propagande christianistes?

hahahahah
Pas mal ta reflexion...
Ben Laden va bientot être réabilité ...
 
Bonjour,
10 ans de propagande,
On a appris que les talibans etaient pour le monde entier,l'organisation la plus barbare.
L'afghanistan est considerée comme la plaque tournante du terrorisme mondiale'd'apres Bush et Sharon).
Le siege sociale d'Alquaida(d'apres les sources de la CIA,le Mossad et les autres schtroumfs)
est Kaboul!!!
Et voilà maintenant,l'Otan qui nous parle de negociation!!!
Negocier avec qui?
Avec Monsieur le democrate Mollah Omar(respect Monsieur),
en 48 heures ,il est devenu frequantable!!!!!
Ma question est la suivante:
Et si L'AMERIQUE négocie avec Ben Laden via Omar et nous,nous le savons pas,ça sera quoi la reaction de ces pauvres peuples qui ont cru à la propagande christianistes?

Mollah Omar 'est dcd depuis un bail t es pas au courant ?
 
International 30/09/2008 - 07:06

Afghanistan: Le mollah Omar veut négocier
Le mollah Omar, chef de file des taliban, menace les forces étrangères déployées en Afghanistan du même sort que les troupes soviétiques, vaincues par les moudjahidin à la fin des années 1980, faute d'un retrait rapide. "Reconsidérez votre occupation injuste issue d'une décision erronée et cherchez une porte de sortie sûre en retirant vos forces", dit-il dans un message repéré sur internet par l'agence de renseignement américaine SITE. "Si vous quittez notre terre, nous pouvons arranger raisonnablement votre départ", propose-t-il, assurant que les taliban n'auraient alors aucune intention de s'en prendre à quiconque en dehors d'Afghanistan.

Lejdd du 30/09/2008
 
International 30/09/2008 - 07:06

Afghanistan: Le mollah Omar veut négocier
Le mollah Omar, chef de file des taliban, menace les forces étrangères déployées en Afghanistan du même sort que les troupes soviétiques, vaincues par les moudjahidin à la fin des années 1980, faute d'un retrait rapide. "Reconsidérez votre occupation injuste issue d'une décision erronée et cherchez une porte de sortie sûre en retirant vos forces", dit-il dans un message repéré sur internet par l'agence de renseignement américaine SITE. "Si vous quittez notre terre, nous pouvons arranger raisonnablement votre départ", propose-t-il, assurant que les taliban n'auraient alors aucune intention de s'en prendre à quiconque en dehors d'Afghanistan.
Lejdd du 30/09/2008

Son communiqué il a du le prononcer pendant qu'il conduisait sa mob :)
 

Tetris99

Game over
L'Amérique ne négocie pas avec les terroristes...du moins c'est ce qu'ils n'ont pas cessé de

répéter pour justifier leur inaction quand l'un des leur est kidnappé.
 

Tetris99

Game over
Les temps changent, la tempète financièrent a visiblement tempérée le témpérament des américains

c'est vrai que beaucoup de choses changent aux USA en ce moment, c'est peut être une préparation du terrain pour le futur président qui s'en doute ne sera pas Mc Cain car lui il n'est pas du genre à négocier.
 
Bonjour,
10 ans de propagande,
On a appris que les talibans etaient pour le monde entier,l'organisation la plus barbare.
L'afghanistan est considerée comme la plaque tournante du terrorisme mondiale'd'apres Bush et Sharon).
Le siege sociale d'Alquaida(d'apres les sources de la CIA,le Mossad et les autres schtroumfs)
est Kaboul!!!
Et voilà maintenant,l'Otan qui nous parle de negociation!!!
Negocier avec qui?
Avec Monsieur le democrate Mollah Omar(respect Monsieur),
en 48 heures ,il est devenu frequantable!!!!!
Ma question est la suivante:
Et si L'AMERIQUE négocie avec Ben Laden via Omar et nous,nous le savons pas,ça sera quoi la reaction de ces pauvres peuples qui ont cru à la propagande christianistes?

International 30/09/2008 - 07:06

Afghanistan: Le mollah Omar veut négocier
Le mollah Omar, chef de file des taliban, menace les forces étrangères déployées en Afghanistan du même sort que les troupes soviétiques, vaincues par les moudjahidin à la fin des années 1980, faute d'un retrait rapide. "Reconsidérez votre occupation injuste issue d'une décision erronée et cherchez une porte de sortie sûre en retirant vos forces", dit-il dans un message repéré sur internet par l'agence de renseignement américaine SITE. "Si vous quittez notre terre, nous pouvons arranger raisonnablement votre départ", propose-t-il, assurant que les taliban n'auraient alors aucune intention de s'en prendre à quiconque en dehors d'Afghanistan.

Lejdd du 30/09/2008

j'ai pas compris c'est l'OTAN, les USA ou Omar qui veut negocier ?
 
frequentable ?
non, tout simplement impossible a buter tant qu'il se planque au Pakistan.
alors evidement il y a un changement de stratégie.

sssi sssi il est devenu fréquentable le bonhomme, puisque les américains sont prêt à négocier avec lui, leur représentant Karzai a même dit au Mollah Omar " Tu es mon frère , reviens au pays, pour le reconstruire..."

Bref, les US se dégonflent et leur technio ne sert pas à grand chose contre un type qui n'a qu'une mobilette comme moyen de locomotion
 
Scoop de derniere minute !

Le mollah omar a ete kidnappe par les FARC. Vous trouverez en vente sur le site www.maisonblanche.com des t-shirts de soutiens pour ce dernier :

- "In mollah omar we trust"
- " I love mollah omar"
- " Eich bein Mollah omar"
 
Ben Laden n'existe pas. Sinon, nos chers radars du FBI/CIA/NSA l'auraient retrouvé.
Le Mollah Omar n'est qu'un pantin de la CIA.
Le 11 Septembre: une collaboration américano-sioniste servant de motif pour lancer une guerre de grande envergure.
Cette guerre de grand envergure (La guerre contre le terrorisme) a été fommenté par les Bilderbergers dans le but d'instaurer un gouvernement unique mondial en jouant sur la peur de l'autre et le sacrifice des libertés.

Alors effectivement, avec qui faut-il négocier ?
 

GioEgyptio

2009 insh'allah
les états-unis seront bientot le pays de l'oncle...mollah omar!:D

je vois déja son visage sur les dollars us!:D

jme demande si sa mobilette sera exposé à l'entré du congress!:D
 
La stratégie américaine en Afghanistan / Irak est un grand échec. Alors tout est possible. Je pense que ce genre de négociations sont menées depuis bien longtemps.
 

attends ! ils se connaissent bien non ?! il a pas bosser pour le compte des services secrets à une certaine époque. les amerloc ont ***** et mis les pieds dedans. maintenant, tous les moyens sont bons pour réduire les dépenses quelque part en attendant que ça se tasse un peu. les américains ont depuis un moment besoin de repos. ils sont fatigués de mentir et de jongler. c'est le prix à payer quand on veut gouverner le monde. ça a marché comme ça depuis la nuit des temps. je crois et je le pense sincèrement, nous sommes entrain d'assister aux premières fissures de l'empire américain. ça prendra peut-être 50 ans mais nos enfants vieux, assisterons à sa fin.
 
Pour comprendre le sens du mot ""Negocier"" sur le plan politique et diplomatique:veut dire on reconnait l'autre comme une entité entierre acceptable et qui doit exister politiquement
C'est à dire le petit Mollah Momo et Ben vont avoir un statut à l'onu etc etc etc
Quel traumatisme pour le peuple occidental et nazisioniste,ils vont etre completement deboussolés:un jour terroriste et le lendemain homme respectable!!!!!!
Vont ils croire ds l'avenir leur leaders politique?
Les consequence et surtout avec cette crise economique?
Wait and see,rigolons pour le moment !!!!!!




Négocier avec Ben Laden?



Cette semaine, la ministre suisse des affaires étrangères, Micheline Calmy-Rey, s'est déclarée prête à s'asseoir à la même table qu'Oussama Ben Laden pour entamer un dialogue. C'est la première fois qu'un diplomate fait une telle déclaration.

Une telle déclaration n'est pas insensée. En effet, historiquement, de nombreux groupes terroristes ont pris fin après négociations. Et dans la plupart des cas, même que les négociations n'ont pas abouti, il y avait eu des négociations qui avaient permis, entre autres, la libération d'otages, l'ouverture de canaux de communication...

Beaucoup d'auteurs, cependant (les avocats du concept de "nouveau terrorisme") affirment qu'il n'est pas possible de négocier avec al-Qaïda. Rappelon simplement que ce même argument est sans cesse répéter à l'encontre de tous les groupes terroristes. Et, en général, il y a toujours quelque chose à négocier.

Maintenant, ne méprenez pas mon propos. Je ne suis pas un défenseur inconditionnel du dialogue. De nombreux éléments doivent être pris en compte, notamment évaluer le timing de la négociation, les possibilités d'atteindre et de faire respecter tout accord, ou l'impact d'une négociation sur la légitimité d'al-Qaïda. Cependant, je pense que l'idée de dialogue ne peut pas être écartée aveuglément. En outre, ouvrir un dialogue ne revient pas à faire des concessions d'entrée de jeu, mais plutôt à mieux comprendre son adversaire en essayant d'éliminer le facteur de "propagande" présent dans toute communication indirecte.

Publié par Thomas Renard
 
« Combattre les barbares » ou négocier avec les talibans ?



La crise financière a pour effet secondaire d'occulter les autres informations sur le monde, et d'éviter les débats publics potentiellement délicats.

Il en va ainsi de la guerre en Afghanistan, alors que se négocie un virage important de la part des pays occidentaux et du pouvoir de Kaboul.

Il y a moins de deux mois, Nicolas Sarkozy déclarait, lors de l'hommage aux dix soldats français tués en Afghanistan:

« Nous n'avons pas le droit de perdre là-bas.
Nous n'avons pas le droit de renoncer à défendre nos valeurs.
Nous n'avons pas le droit de laisser les barbares triompher.
Car la défaite à l'autre bout du monde se paiera d'une défaite sur le territoire de la République française ».


Or voilà que son ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, vient de donner son accord, à la suite des autres pays de l'Otan, au signal lancé par le président afghan Hamid Karzaï en faveur d'une réconciliation avec ... les talibans.

Une guerre « ingagnable », pour le commandant des forces britanniques

Karzaï va même plus loin, trop loin quand même pour Bernard Kouchner, lorsqu'il souhaite négocier avec le Mollah Omar, le chef des talibans, sans doute celui-là même que Nicolas Sarkozy visait par le vocable de « barbare ».

Ce virage s'explique aisément, si l'on observe les récentes évaluations de la situation en Afghanistan. En début de semaine, un rapport confidentiel des services de renseignement américains, révélé par le New York Times, estimait que l'Afghanistan était entré dans une « spirale négative », et que le gouvernement de Kaboul, faible et corrompu, n'était pas en mesure de s'opposer à la résurgence des talibans.

A rapprocher des récentes déclarations du commandant des forces britanniques en Afghanistan, le général Mark Carleton-Smith, qui estimait que cette guerre était « ingagnable ».

Devant la Commission des Affaires étrangères, le ministre français se disait favorable « aux discussions avec les talibans à condition d'en exclure les éléments les plus extrémistes ».

« Il faut parler à ses ennemis », dit le commandant américain David Petraeus

Mais le président afghan, pour sa part, a sollicité une médiation saoudienne pour un dialogue avec Mollah Omar, qui était le chef du régime des talibans renversé en 2001 par la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis.

Comme il est difficile d'imaginer que Kaboul comme les Saoudiens puissent prendre une telle initiative sans le feu vert de Washington, il y a comme un flottement dans l'air.

D'ailleurs, la même semaine, à Washington, le général David Petraeus, ancien chef du contingent américain en Irak, devenu commandant de l'immense zone militaire Moyen-Orient-Asie (incluant l'Afghanistan), a reconnu : « Il faut parler à ses ennemis. »

Il n'y a pas grand monde, en tous cas, pour croire à une victoire militaire internationale et/ou afghane contre la montée en puissance des talibans, même en cas de « surge », c'est-à-dire de montée en puissance des effectifs principalement américains, comme l'ont envisagé tant l'administration Bush que les deux candidats à la Maison Blanche.

Comment faire le tri entre bons et mauvais talibans ?

Pour autant, l'hypothèse d'une séparation entre « bons” talibans nationalistes, et “mauvais » talibans intégristes liés à Al-Qaeda et à Ben Laden ne tient guère la route, quand le régime de Kaboul est sur la défensive et ses ennemis talibans ont le vent en poupe.

S'agit-il d'un véritable virage, ou d'une posture de négociation dans la perspective des élections afghanes de l'an prochain, qui s'annoncent difficiles dans le climat de guerre et d'insécurité croissante ? Sans doute faudra-t-il attendre l'élection américaine et la mise en place de la nouvelle administration pour savoir dans quelle direction ira le conflit afghan.

En attendant, le discours idéologique très « guerre froide » employé par Nicolas Sarkozy pour justifier son propre “surge”, c'est-à-dire l'envoi de renforts français en Afghanistan, et expliquer les premières pertes importantes à l'opinion, risque fort de se retourner contre le chef de l'Etat si, au bout du compte, la sortie de crise passe par un compromis avec les “barbares”.
 
Bonjour,

Personnellement, je pense que ce genre de négociations, bien qu'elles existent, seront cachées au grand public pour éviter le choc des mentalités occidentales.

Pourquoi un choc ?

Je pense que les déclarations des responsables américains qui affirmaient, il y a encore peu, qu'une victoire est possible en Irak et en Afghanistan, va à l'encontre de "Commencer à négocier".

Ce que je pense profondément ?

Je pense sérieusement, qu'aucune nation ou ensemble de nations ne peut arriver au bout du "terrorisme dans le monde" avec des guerres et des répressions. Maintenant, il est temps de changer de stratégie après avoir essayer la force ... Je pense sincèrement que le temps ou on réglait les problèmes avec des guerres est révolu.
 
Quand la fuite de la famille Ben Laden passait par Genève:

Le récit du vol qui embarrasse Bush


GENEVE.

L’évacuation précipitée de la famille du responsable des attentats du 11 septembre 2001 est l’un des passages les plus troublants du film de Michael Moore, «Farenheit 9/11». Mais comment s’est déroulé ce vol mystérieux? Pourquoi a-t-il fait escale en Suisse?


Enquête.


Un soir de novembre 2001, Michael Moore était couché, à demi endormi, avec un exemplaire du magazine New Yorker entre les mains, lorsqu’un article le fit sursauter. Il expliquait que, peu après les attentats du 11 septembre, des parents d’Oussama Ben Laden avaient quitté les Etats-Unis avec l’accord du FBI. «Je ne pouvais pas y croire», raconte le cinéaste américain dans un article publié par Rolling Stone. «Non seulement les parents du suspect numéro un des attaques ont été autorisés à partir, mais, en plus, ils ont été aidés par nos propres autorités!» Effaré, Michael Moore rédige une liste de questions sur la gestion des attentats par l’administration Bush. Elles donneront naissance au film «Farenheit 9/11», qui remporte un énorme succès en Europe et aux Etats-Unis.

Un ou deux jours après le 11 septembre, à Washington, le groupe de crise réunissant les agences de sécurité américaines reçoit une demande singulière de l’ambassade d’Arabie saoudite. Elle veut faire évacuer certains Saoudiens résidant aux Etats-Unis, dont de nombreux membres de la famille Ben Laden. Ils craignent des représailles, car l’on sait déjà que 15 des 19 pirates de l’air qui ont commis les attentats sont Saoudiens. Peu après, le FBI déclare qu’il ne souhaite interroger aucun des candidats au départ. L’évacuation commence le 13 septembre, alors que l’interdiction des vols civils est encore en vigueur aux Etats-Unis.

Dans les jours suivants, une fois l’interdiction de vol levée, 6 avions transportant 142 personnes quittent le pays. L’un d’eux, un Boeing 727 de la compagnie Ryan International, a souvent transporté des journalistes suivant les déplacements du président Bush. Immatriculé N521DB, il quitte Los Angeles le 19 septembre avec à son bord une demi-s½ur d’Oussama Ben Laden, Najia. Dans l’avion, l’ambiance se tend lorsque le personnel de cabine apprend l’identité de la passagère. «Le personnel a refusé de fermer les portes de l’avion pour le décollage», raconte une source proche de la famille Ben Laden. «Il a fallu que la police intervienne pour les rassurer.»

L’avion fait escale à Orlando, en Floride, et embarque cinq personnes, dont un demi-frère d’Oussama, Khalil. L’avion se pose ensuite à Washington, Boston et à Terre-Neuve, avant d’entamer la traversée de l’Atlantique avec 25 membres ou proches de la famille Ben Laden. Un dirigeant de la compagnie Ryan International a expliqué au Washington Post que des membres du service secret des Etats-Unis et du FBI assuraient leur protection lors des embarquements.

La commission d’enquête du Congrès sur le 11 septembre a conclu que le FBI avait agi correctement en autorisant ce vol. L’avion a été fouillé et les noms des passagers comparés aux bases de données antiterroristes, sans résultat. Pourtant, comme le montrent des documents transmis au Temps par Jean-Charles Brisard, un enquêteur privé travaillant pour les familles de victimes du 11 septembre, l’un des passagers, Omar Awad bin Laden, a fait l’objet d’une enquête du FBI en 1996: il vivait avec un neveu d’Oussama qui dirigeait «l’Assemblée mondiale de la jeunesse musulmane», soupçonnée de soutien au terrorisme par les autorités américaines.

Parvenu en Europe, l’avion fait escale à Paris puis, le 20 septembre, vers 20 heures, il arrive à Genève, où l’attendent deux demi-frères d’Oussama, Bakr et Yeslam, qui réside en Suisse. «Je voulais voir mon frère Khalil, qui possède une propriété en Floride, explique Yeslam. Il m’a dit qu’avant de partir, il n’osait plus sortir de chez lui.» Yeslam affirme que «deux ou trois personnes, des jeunes, sont sorties de l’avion à ce moment-là». Mais selon la liste des passagers établie aux Etats-Unis, un seul membre de la famille est descendu à Genève: Shafiq, un demi-frère d’Oussama. Il avait assisté, le 11 septembre, à Washington, au conseil d’administration du groupe Carlyle, où George Bush père a occupé un poste dirigeant. L’avion est ensuite reparti pour Djeddah, en Arabie saoudite.

Robert Baer, ancien agent de la CIA devenu écrivain, estime que l’épisode est révélateur des «liens incestueux» entre les Etats-Unis et l’Arabie saoudite, pilier de l’extrémisme islamiste. «Avant le 11 septembre, le FBI ne pouvait pas vraiment enquêter sur les Saoudiens. En cela, le vol est significatif. C’est une métaphore de nos relations avec les Saoudiens. On ne pouvait pas toucher à la famille Ben Laden, parce qu’ils sont trop importants pour la stabilité de l’Arabie saoudite. Dans les faits, les Etats-Unis ont institué la loi martiale dans l’après-midi du 11 septembre. Beaucoup de gens ont été arrêtés, parfois sur la base de soupçons très ténus. Mais pas eux.» Robert Baer note qu’aucun des membres de la famille qui ont quitté les Etats-Unis le 19 septembre ne pourrait y retourner aujourd’hui: «Ce serait trop délicat politiquement.»
 
Bonjour,
10 ans de propagande,
On a appris que les talibans etaient pour le monde entier,l'organisation la plus barbare.
L'afghanistan est considerée comme la plaque tournante du terrorisme mondiale'd'apres Bush et Sharon).
Le siege sociale d'Alquaida(d'apres les sources de la CIA,le Mossad et les autres schtroumfs)
est Kaboul!!!
Et voilà maintenant,l'Otan qui nous parle de negociation!!!
Negocier avec qui?
Avec Monsieur le democrate Mollah Omar(respect Monsieur),
en 48 heures ,il est devenu frequantable!!!!!
Ma question est la suivante:
Et si L'AMERIQUE négocie avec Ben Laden via Omar et nous,nous le savons pas,ça sera quoi la reaction de ces pauvres peuples qui ont cru à la propagande christianistes?

pour te dire je crois plus aux infos prefabriquées par les gouvernement occidentaux dans le but de nous les faire gober et programmer selon leur mode...safi basta ...
Ben Laden n est qu'une marionette dont les USA s en est servi un bon moment et qu apres a completement perdu le control
Ben Laden c est du pur produit made in USA tout autant que les Talibans et ce qui va avec

personne ne detient la verité, chacun joue son jeu, quand je vois un politicien parler de terrorisme depaix ou de Taliban , suis tordue de rire ....c est du foutage de gueule ... on suce pas nos pouces pour croire a leurs conneries a 2 balles
meme leurs discours n etant pas dignes de personnes qui reussi le primaire

donner moi le nom d un seule media dont les sources sont jugées fiable ? nada ca n existe pas tout est instrumentalisé, industrialisé et denaturé
 
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