salam
La vente directe au Maroc ne connaît pas la crise : l'activité croît de plus de 15% par an !
Etudiantes, salariées du secteur bancaire ou de l'Education nationale, ouvrières et femmes au foyer... Les sociétés recrutent des vendeuses dans tous les secteurs. Le bénéfice net minimum par mois pour une représentante est de 2 500 DH.
La vente directe au Maroc
La vente directe narrête pas de faire des émules. Introduit au Maroc depuis une vingtaine dannées, le secteur est en forte croissance et affiche une santé insolente en cette période de crise : plus de 15% par an, selon un professionnel. Cette régularité a pu être atteinte grâce au modèle économique de la branche. En effet, à vocation commerciale mais pas uniquement, la vente directe est une source de revenus pour beaucoup de femmes, salariées ou au foyer qui cherchent à arrondir leurs fins de mois. Et avec les effets ressentis de la crise, le seul moyen pour elles de sen sortir est de vendre plus, générant ainsi un chiffre daffaires conséquent pour leur entreprise.
Les profils sont divers et les acteurs du marché recrutent tout le monde : étudiantes, femmes travaillant dans lenseignement ou le secteur bancaire, ouvrières et femmes au foyer. Aucune condition dâge ni de niveau déducation nest requise à part peut-être une fibre commerciale quon détecte chez la future consultante ou représentante.
Ces dernières sont de plus en plus nombreuses à rejoindre le métier et sont plus de 10 000 chez le dernier arrivant sur le marché, lespagnol Cristian Lay. Dailleurs, le milieu est presque exclusivement féminin et les vendeurs hommes se comptent généralement sur le bout des doigts (4% de la force de vente dOriflame). Sur le marché marocain, trois acteurs principaux se partagent la clientèle : Oriflame, Cristian Lay et laméricain Avon qui a préféré ne pas réagir malgré nos sollicitations répétées.
http://www.lavieeco.com/news/econom...tivite-croit-de-plus-de-15-par-an--22730.html
La vente directe au Maroc ne connaît pas la crise : l'activité croît de plus de 15% par an !
Etudiantes, salariées du secteur bancaire ou de l'Education nationale, ouvrières et femmes au foyer... Les sociétés recrutent des vendeuses dans tous les secteurs. Le bénéfice net minimum par mois pour une représentante est de 2 500 DH.
La vente directe au Maroc
La vente directe narrête pas de faire des émules. Introduit au Maroc depuis une vingtaine dannées, le secteur est en forte croissance et affiche une santé insolente en cette période de crise : plus de 15% par an, selon un professionnel. Cette régularité a pu être atteinte grâce au modèle économique de la branche. En effet, à vocation commerciale mais pas uniquement, la vente directe est une source de revenus pour beaucoup de femmes, salariées ou au foyer qui cherchent à arrondir leurs fins de mois. Et avec les effets ressentis de la crise, le seul moyen pour elles de sen sortir est de vendre plus, générant ainsi un chiffre daffaires conséquent pour leur entreprise.
Les profils sont divers et les acteurs du marché recrutent tout le monde : étudiantes, femmes travaillant dans lenseignement ou le secteur bancaire, ouvrières et femmes au foyer. Aucune condition dâge ni de niveau déducation nest requise à part peut-être une fibre commerciale quon détecte chez la future consultante ou représentante.
Ces dernières sont de plus en plus nombreuses à rejoindre le métier et sont plus de 10 000 chez le dernier arrivant sur le marché, lespagnol Cristian Lay. Dailleurs, le milieu est presque exclusivement féminin et les vendeurs hommes se comptent généralement sur le bout des doigts (4% de la force de vente dOriflame). Sur le marché marocain, trois acteurs principaux se partagent la clientèle : Oriflame, Cristian Lay et laméricain Avon qui a préféré ne pas réagir malgré nos sollicitations répétées.
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