Vérités cachées de l'histoire de l'islam en france depuis l'an 714

voilà pourquoi je vois de plus en plus de français de souche lire des bouquins sur l'Islam et la civilisation arabo-musulmane.
C'est pour nous pondre ce genre de portrait du grand méchant loup envahisseur, "ils sont déjà parmi nous, ce sont des ennemis de l'intérieur, il faut les déplacer...".
Là, il y a pas besoin d'être Columbo pour comprendre qu'ils ont lancé la grande offensive anti-musulmans pour 2017, et si leur candidat gagne, on a du souci à se faire.

p.s : j'ai survolé la vidéo
 
Dernière édition:

Slavanitch

la terre est plate
voilà pourquoi je vois de plus en plus de français de souche lire des bouquins sur l'Islam et la civilisation arabo-musulmane.
C'est pour nous pondre ce genre de portrait du grand méchant loup envahisseur, "ils sont déjà parmi nous, ce sont des ennemis de l'intérieur, il faut les déplacer".
Là, il y a pas besoin d'être Columbo pour comprendre qu'ils ont lancé la grande offensive anti-musulmans pour 2017, et si leur candidat gagne, on a du souci à se faire.

p.s : j'ai survolé la vidéo


les arabes sont en France depuis l'an 700 :D
 
l'histoire de France occultée par les livres d'histoire
Lol...Les incursions musulmanes en Septimanie et au-delà, sont bien connues et dans tous les bouquins d’Histoire concernant la "France" à ces époques...
la video est faite par des salafistes je crois:D
C'est de la balle ta vidéo...
Il suffit de faire deux choses pour être crédible sur You-Tube:
1) Annoncer: Attention on va vous montrer ce que vous cachent les sciences officielles
2) Donner à la personne qui regarde un petit capital narcissique...La flatter quelque part quoi...

Y a du public qui marche avec ça...:joueur:
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
les arabes sont en France depuis l'an 700 :D

Des Maures et des Sarrasins en France

Les Arabes ont envahi la péninsule ibérique en 711.
Profitant de l’effondrement de l’empire wisigoth, ils envahissent alors la Septimanie (Pyrénées-Orientales, Aude, Hérault et Gard), pour en faire une province dirigée par un wali et dont la capitale était Narbonne.
Peu de temps après, le royaume des Francs, gouverné depuis peu par les Carolingiens, réagit et la progression des Arabes est arrêtée, on le sait — on nous l’a assez répété! —, en 732 par Charles Martel à Poitiers. Pépin le Bref, le fils de ce dernier, reprend Narbonne en 752 et son petit-fils Charlemagne fit la conquête de la Catalogne en 801. Cependant, jusqu’au début du XIè siècle, les Arabes conduiront encore des raids par terre ou par mer en Languedoc comme en Provence. Leur présence sédentaire se maintiendra d’ailleurs pendant près d’un siècle en Provence, dans le massif des Maures, jusqu’en 972. Certaines troupes, dont quelques unes venant de l’Italie voisine, faisaient preuve d’étonnants talents de coureurs de montagnes et purent ainsi écumer durablement les Alpes occidentales.

Cette courte présence des Arabes ne laissera que très peu de traces archéologiques et toponymiques. Ces dernières peuvent se ranger en trois groupes: les noms ethniques — Maures ou Sarrasins — donnés par les indigènes (Gallo-romains ou Francs) et les noms proprement arabes qui sont extrêmement rares comme on le verra.

Les Maures
Tout d’abord, il convient de mettre fin à la légende qui voudrait que le nom du massif des Maures, en Provence entre Hyères et Fréjus, provienne du nom des Maures. Dès le Xè siècle, Luitprand, évêque de Crémone, parle demontem maurum, « la montagne sombre », pour décrire cette succession de masses sombres naguère couvertes de pins et de châtaigniers. La présence des Sarrasins dans ce massif dès le IXè siècle a sans aucun doute contribué à renforcer cette étymologie populaire. D’autres toponymes rappellent ce sens de «sombre, noir », comme Roquemaure (Gard), Montmaur (Hautes-Alpes, Aude) ou encore Montmort (Marne,mons Maurusen 1042).

Il convient de rappeler ensuite que des Maures s’étaient établis en France bien avant l’invasion arabe:
en effet, on sait que l’empire romain récompensait ses meilleurs légionnaires en leur donnant des colonies en territoire conquis.
Quelques uns de ces légionnaires étaient des Maures, desMauritanihabitant le Maroc, et l’on retrouve leur nom dans des appellations comme Mortagne-au-Perche (comitis Mauritaniaeen 1086), Mortagne-du-Nord, Mortagne-sur-Gironde, Mortagne-sur-Sèvre ou encore Mortain dans la Manche. Maurs ( Cantal,Sanctus Petrus Mauricisdonnantad Maurosen 941) est un ancien poste romain occupé par des mercenaires maures.

Enfin, de ce nom «maurus » sont issus des noms d’hommes latins (Maurus, Maurinus, Mauritius, etc.) ou germaniques (Maurus, Moro, etc.) à l’origine de nombreux toponymes.

Pour terminer, retenons que la Tête de Maure, emblème de la Corse, qui apparaît pour la première fois en 1281 sur un sceau de Pierre III le Grand, a été importée sur l’île par les rois d’Aragon. La présence de cette Tête de Maure sur un drapeau corse n’est toutefois pas attestée avant 1736 lorsque le baron Théodore de Neuhoff (un aventurier allemand qui se vantait de titres aussi prestigieux qu’indus), parti à la conquête de la Corse, la fit incorporer dans son écu. Sa présence ne dura pas plus de six mois sur l’île mais sa popularité immense dans toute l’Europe suffit à faire connaître cette Tête de Maure et c’est pourquoi Pascal Paoli, en 1760, changea l’étendard habituel des insurgés qui portait la figure de la Vierge Marie pour un étendard portant la Tête de Maure.

Les Sarrasins
Ce nom de Sarrasins est apparu tardivement (attesté pour la première fois en 1100) à la suite du latin médiévalSaracenidésignant les musulmans d’Afrique du Nord. Les toponymes employant ce nom sont donc des appellations postérieures à la présence des Arabes sur le territoire français.

Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) est en fait un ancienCastrum Cerrucium(IXè siècle) qui doit son nom à un homme latinCerrucius, nom tombé par la suite (Castrum Saracenumen 961) dans l’attraction du nom des Sarrasins (comme sans doute celui de Castel-Sarrazin dans les Landes).
On trouve d’ailleurs de nombreux édifices attribués aux Sarrasins (la tour Mauresque de Narbonne, le château Sarrazy de Brassac dans le Tarn, etc) alors que la plupart du temps il s’agissait de constructions destinées à se défendre contre eux ou même de constructions antérieures (comme les remparts romains de Toulouse faussement attribués aux Sarrasins, l’oppidum de Lagaste, etc).

Les toponymes d’origine arabe
Restés à peine une quarantaine d’années en Septimanie, les Arabes sont demeurés , on l’a vu, plus longtemps sur la côte de Provence, résidant par exemple près d’un siècle à La Garde-Freinet et ses environs.

Une bande sarrasine venue d’Espagne vers 890 avait fait de la Garde-Freinet ( du latin Fraxinetum, «bois de frêne») une capitale, lui donnant le nom deJabal al-Qilal, «montagne des jarres» (ils y avaient trouvé les restes d’une industrie gallo-romaine), nom qui n’est pas resté. C’est de là que furent menées des razzias dans toute la Provence, l’Embrunais et le Grésivaudan. À l’occasion, ils rançonnaient les voyageurs ou les pélerins jusqu’au Grand-Saint-Bernard, allant jusqu’à Saint-Gall en Suisse, en Dauphiné ou en Piémont.

À cette époque, Gien, aujourd’hui sur une presqu’île, était une île. Les Arabes, pour signaler le détroit qui la séparait du continent, avaient installé un phare sur celui-ci, à un endroit qui forme aujourd’hui le quartierAlmanarred’Hyères. Il s’agit là d’un ancien nom arabeAl manar, « le phare».

Non loin de là, le célèbre village deRamatuelleporte un nom dans lequel certains ont vu l’arabe Ramatu’lla,signifiant «Miséricorde de Dieu, Grâce de Dieu».
Une autre hypothèse fait dériver ce nom de celui desCamatullici, une tribu celto-ligure qui aurait été chassée des environs de Toulon par les Romains et serait venue s’établir dans l’arrière-pays, sans que l’on explique bien le passage duC- initial au-R.

Il existe encore à Ramatuelle une ancienne porte, dite Porte sarrasine. On peut relever queRahmatoullah est aussi à l’origine d’un prénom féminin, signifiant « miséricorde de Dieu », porté par exemple par notre actuelle ( article écrit en janvier 2010!) secrétaire d’État à la jeunesse et aux sports Ramatoulaye Yade.

Qu’ils soient venus des côtes de Provence ou d’Italie, on sait que les Arabes ont fait des incursions dans les Alpes où ils n’ont laissé que très peu de traces.
Dans les Hautes-Alpes, et particulièrement dans le Dévoluy, des gouffres creusés par les eaux souterraines depuis des temps immémoriaux (le plus célèbre, Rama-Aiguilles, au quatrième rang mondial, descend à 980 mètres sous terre) portent le nom de Chouroums(écrit aussi chourums ou chouruns), un nom d’origine sarrasine.

Un petit torrent que traverse la route nationale qui conduit à Nyons, dans la Drôme, au-dessus du moulin de Vinsobres, a gardé le nom de laMoïe, et ce mot d’origine arabe (Miya, les eaux) est un témoin de l’invasion sarrasine.

Ce sont les seules traces arabes établies avec certitude à ce jour dans la toponymie de notre pays. Mais les recherches continuent...

http://vousvoyezletopo.blog.lemonde.fr/2010/01/06/des-maures-et-des-sarrasins-en-france/

mam
 

Jiimmy

Vergissmeinnicht
Des Maures et des Sarrasins en France

Les Arabes ont envahi la péninsule ibérique en 711.
Profitant de l’effondrement de l’empire wisigoth, ils envahissent alors la Septimanie (Pyrénées-Orientales, Aude, Hérault et Gard), pour en faire une province dirigée par un wali et dont la capitale était Narbonne.
Peu de temps après, le royaume des Francs, gouverné depuis peu par les Carolingiens, réagit et la progression des Arabes est arrêtée, on le sait — on nous l’a assez répété! —, en 732 par Charles Martel à Poitiers. Pépin le Bref, le fils de ce dernier, reprend Narbonne en 752 et son petit-fils Charlemagne fit la conquête de la Catalogne en 801. Cependant, jusqu’au début du XIè siècle, les Arabes conduiront encore des raids par terre ou par mer en Languedoc comme en Provence. Leur présence sédentaire se maintiendra d’ailleurs pendant près d’un siècle en Provence, dans le massif des Maures, jusqu’en 972. Certaines troupes, dont quelques unes venant de l’Italie voisine, faisaient preuve d’étonnants talents de coureurs de montagnes et purent ainsi écumer durablement les Alpes occidentales.

Cette courte présence des Arabes ne laissera que très peu de traces archéologiques et toponymiques. Ces dernières peuvent se ranger en trois groupes: les noms ethniques — Maures ou Sarrasins — donnés par les indigènes (Gallo-romains ou Francs) et les noms proprement arabes qui sont extrêmement rares comme on le verra.

Les Maures
Tout d’abord, il convient de mettre fin à la légende qui voudrait que le nom du massif des Maures, en Provence entre Hyères et Fréjus, provienne du nom des Maures. Dès le Xè siècle, Luitprand, évêque de Crémone, parle demontem maurum, « la montagne sombre », pour décrire cette succession de masses sombres naguère couvertes de pins et de châtaigniers. La présence des Sarrasins dans ce massif dès le IXè siècle a sans aucun doute contribué à renforcer cette étymologie populaire. D’autres toponymes rappellent ce sens de «sombre, noir », comme Roquemaure (Gard), Montmaur (Hautes-Alpes, Aude) ou encore Montmort (Marne,mons Maurusen 1042).

Il convient de rappeler ensuite que des Maures s’étaient établis en France bien avant l’invasion arabe:
en effet, on sait que l’empire romain récompensait ses meilleurs légionnaires en leur donnant des colonies en territoire conquis.
Quelques uns de ces légionnaires étaient des Maures, desMauritanihabitant le Maroc, et l’on retrouve leur nom dans des appellations comme Mortagne-au-Perche (comitis Mauritaniaeen 1086), Mortagne-du-Nord, Mortagne-sur-Gironde, Mortagne-sur-Sèvre ou encore Mortain dans la Manche. Maurs ( Cantal,Sanctus Petrus Mauricisdonnantad Maurosen 941) est un ancien poste romain occupé par des mercenaires maures.

Enfin, de ce nom «maurus » sont issus des noms d’hommes latins (Maurus, Maurinus, Mauritius, etc.) ou germaniques (Maurus, Moro, etc.) à l’origine de nombreux toponymes.

Pour terminer, retenons que la Tête de Maure, emblème de la Corse, qui apparaît pour la première fois en 1281 sur un sceau de Pierre III le Grand, a été importée sur l’île par les rois d’Aragon. La présence de cette Tête de Maure sur un drapeau corse n’est toutefois pas attestée avant 1736 lorsque le baron Théodore de Neuhoff (un aventurier allemand qui se vantait de titres aussi prestigieux qu’indus), parti à la conquête de la Corse, la fit incorporer dans son écu. Sa présence ne dura pas plus de six mois sur l’île mais sa popularité immense dans toute l’Europe suffit à faire connaître cette Tête de Maure et c’est pourquoi Pascal Paoli, en 1760, changea l’étendard habituel des insurgés qui portait la figure de la Vierge Marie pour un étendard portant la Tête de Maure.

Les Sarrasins
Ce nom de Sarrasins est apparu tardivement (attesté pour la première fois en 1100) à la suite du latin médiévalSaracenidésignant les musulmans d’Afrique du Nord. Les toponymes employant ce nom sont donc des appellations postérieures à la présence des Arabes sur le territoire français.

Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) est en fait un ancienCastrum Cerrucium(IXè siècle) qui doit son nom à un homme latinCerrucius, nom tombé par la suite (Castrum Saracenumen 961) dans l’attraction du nom des Sarrasins (comme sans doute celui de Castel-Sarrazin dans les Landes).
On trouve d’ailleurs de nombreux édifices attribués aux Sarrasins (la tour Mauresque de Narbonne, le château Sarrazy de Brassac dans le Tarn, etc) alors que la plupart du temps il s’agissait de constructions destinées à se défendre contre eux ou même de constructions antérieures (comme les remparts romains de Toulouse faussement attribués aux Sarrasins, l’oppidum de Lagaste, etc).

Les toponymes d’origine arabe
Restés à peine une quarantaine d’années en Septimanie, les Arabes sont demeurés , on l’a vu, plus longtemps sur la côte de Provence, résidant par exemple près d’un siècle à La Garde-Freinet et ses environs.

Une bande sarrasine venue d’Espagne vers 890 avait fait de la Garde-Freinet ( du latin Fraxinetum, «bois de frêne») une capitale, lui donnant le nom deJabal al-Qilal, «montagne des jarres» (ils y avaient trouvé les restes d’une industrie gallo-romaine), nom qui n’est pas resté. C’est de là que furent menées des razzias dans toute la Provence, l’Embrunais et le Grésivaudan. À l’occasion, ils rançonnaient les voyageurs ou les pélerins jusqu’au Grand-Saint-Bernard, allant jusqu’à Saint-Gall en Suisse, en Dauphiné ou en Piémont.

À cette époque, Gien, aujourd’hui sur une presqu’île, était une île. Les Arabes, pour signaler le détroit qui la séparait du continent, avaient installé un phare sur celui-ci, à un endroit qui forme aujourd’hui le quartierAlmanarred’Hyères. Il s’agit là d’un ancien nom arabeAl manar, « le phare».

Non loin de là, le célèbre village deRamatuelleporte un nom dans lequel certains ont vu l’arabe Ramatu’lla,signifiant «Miséricorde de Dieu, Grâce de Dieu».
Une autre hypothèse fait dériver ce nom de celui desCamatullici, une tribu celto-ligure qui aurait été chassée des environs de Toulon par les Romains et serait venue s’établir dans l’arrière-pays, sans que l’on explique bien le passage duC- initial au-R.

Il existe encore à Ramatuelle une ancienne porte, dite Porte sarrasine. On peut relever queRahmatoullah est aussi à l’origine d’un prénom féminin, signifiant « miséricorde de Dieu », porté par exemple par notre actuelle ( article écrit en janvier 2010!) secrétaire d’État à la jeunesse et aux sports Ramatoulaye Yade.

Qu’ils soient venus des côtes de Provence ou d’Italie, on sait que les Arabes ont fait des incursions dans les Alpes où ils n’ont laissé que très peu de traces.
Dans les Hautes-Alpes, et particulièrement dans le Dévoluy, des gouffres creusés par les eaux souterraines depuis des temps immémoriaux (le plus célèbre, Rama-Aiguilles, au quatrième rang mondial, descend à 980 mètres sous terre) portent le nom de Chouroums(écrit aussi chourums ou chouruns), un nom d’origine sarrasine.

Un petit torrent que traverse la route nationale qui conduit à Nyons, dans la Drôme, au-dessus du moulin de Vinsobres, a gardé le nom de laMoïe, et ce mot d’origine arabe (Miya, les eaux) est un témoin de l’invasion sarrasine.

Ce sont les seules traces arabes établies avec certitude à ce jour dans la toponymie de notre pays. Mais les recherches continuent...

http://vousvoyezletopo.blog.lemonde.fr/2010/01/06/des-maures-et-des-sarrasins-en-france/

mam
Salam Aleykoum

BarakAllahoufik pour ces infos !!!!
 

Slavanitch

la terre est plate
de quand date la langue arabe ??
L'arabe moderne depuis le 19 ème siècle

L'arabe du coran depuis le 3eme siècle après lmilad

L'arabe des temps lointains depuis que le monde est monde:D

Mais le sujet ici c'est l'islamisation du royaume français

Sachant que maintenant la deuxième langue de la France après le français c'est darija et la troisième le kabyle
 
L'arabe moderne depuis le 19 ème siècle

L'arabe du coran depuis le 3eme siècle après lmilad

L'arabe des temps lointains depuis que le monde est monde:D

Mais le sujet ici c'est l'islamisation du royaume français

Sachant que maintenant la deuxième langue de la France après le français c'est darija et la troisième le kabyle

alors parle de l'arabe des temps lointain, c'est celui des civilisations ...
 
L'ancienne Ninive était grande et peuplée pour l'époque .

t'appelle ça ninive ??

il y a plus de vestige dans n'importe quel bourg d'égypte antique que dans ta grande cité très peuplé ... a part si c'était des indiens ... mais on n'en aurait pas parler plus que ça, vu que depuis la préhistoire, ils n'ont pas évolués ...
 
t'appelle ça ninive ??

il y a plus de vestige dans n'importe quel bourg d'égypte antique que dans ta grande cité très peuplé ... a part si c'était des indiens ... mais on n'en aurait pas parler plus que ça, vu que depuis la préhistoire, ils n'ont pas évolués ...
Ninive est l'une des plus anciennes cités de Mésopotamie. Elle était un important carrefour de routes commerciales traversant le Tigre. Elle occupait une position stratégique sur la grande route entre la mer Méditerranée et le plateau iranien, ce qui lui a apporté la prospérité, de sorte qu'elle est devenue l'une des plus grandes cités de toute la région. Elle doit néanmoins sa plus grande expansion urbaine au choix du roi assyrien Sennacherib d'en faire la capitale de son grand empire au début du VIIe siècle av. J.-C.
Ninive est alors entourée de remparts de briques sur une longueur de 12 km. L'espace total de la cité couvrait 750 hectares à son apogée. L'ensemble de ce vaste espace est aujourd'hui une superposition de ruines recouvertes à certains endroits par les nouvelles banlieues actuelles de la ville de Mossoul.
Ishtar de Ninive et son temple (appelé É.MÈŠ.MÈŠ) sont mentionnés dans le prologue du Code de Hammurabi, aux côtés des autres grandes villes du royaume.
Ce qu'on appelle Égypte maintenant n'en était qu"à ces débuts par rapport à la Mésopotamie .
123737
 

Pièces jointes

  • 1024px-Villes_assyriennes.jpg
    1024px-Villes_assyriennes.jpg
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Ninive est l'une des plus anciennes cités de Mésopotamie. Elle était un important carrefour de routes commerciales traversant le Tigre. Elle occupait une position stratégique sur la grande route entre la mer Méditerranée et le plateau iranien, ce qui lui a apporté la prospérité, de sorte qu'elle est devenue l'une des plus grandes cités de toute la région. Elle doit néanmoins sa plus grande expansion urbaine au choix du roi assyrien Sennacherib d'en faire la capitale de son grand empire au début du VIIe siècle av. J.-C.
Ninive est alors entourée de remparts de briques sur une longueur de 12 km. L'espace total de la cité couvrait 750 hectares à son apogée. L'ensemble de ce vaste espace est aujourd'hui une superposition de ruines recouvertes à certains endroits par les nouvelles banlieues actuelles de la ville de Mossoul.
Ishtar de Ninive et son temple (appelé É.MÈŠ.MÈŠ) sont mentionnés dans le prologue du Code de Hammurabi, aux côtés des autres grandes villes du royaume.
Ce qu'on appelle Égypte maintenant n'en était qu"à ces débuts par rapport à la Mésopotamie .
123737
la mésopotamie c'est misr en arabe ... bref ...
 
Qu'est ce qui te fait dire que c'est l'arabe la première langue ?

le français lui même n'est pas une langue scientifique puisque pour la science elle utilise le grec

et croire que des dialectes qui n'ont rien de scientifique puisse être à l'origine d'une langue scientifique c'est tout simplement inconcevable pour celui qui est dans la logique ..
 
quoiqu'il en soit pr en revenir au sujet dire que les percees musulmanes ne se sont pas arretes qu'a poitier on le sait si on se renseigne un minimum mais de là à dire qu il gouvernait un territoire qui faisait 50% de la france actuelle :claque:
 
Il y'a eu une province musulmane du califat omeyyade en France, la wilaya de Narbonne, qui couvrait en gros le Languedoc-Roussillon actuel, et qui incluait Béziers....Eh oui Robert Ménard Béziers a déjà vécu sous le règne de la Charia :D
 

Tancredi

Moramora
VIB
Un petit torrent que traverse la route nationale qui conduit à Nyons, dans la Drôme, au-dessus du moulin de Vinsobres, a gardé le nom de laMoïe, et ce mot d’origine arabe (Miya, les eaux) est un témoin de l’invasion sarrasine.
J'ai des forts doutes sur cette version !

Quand on pense que il y a beaucoup de mots d'origine latina (en français, en italien, et même dans mon propre patois vénitien) qui expriment quelque chose qui a un rapport avec l'eau, tels que :

- mouiller (français), moio (patois vénitien qui veut dire trompé d'eau)
- mouiller un navire (en relation avec l'eau)
- humide (français), umido (italien)
- molle, ramollir (rendu mou par l'eau)

ont tous une racine latine commune, de "mollire" ou latin populaire "molliare" et aussi "mollis" (mou)

ça m'étonnerait fort que le le nom du torrent La Moïe vienne de l'arabe "Miya, les eaux", plutôt que de la racine latine.

Enfin, je dis ça ! je dis rien........:D

PS : cette version (origine arabe) est relayée par le livre "Statistiques du département de la Drome" édité en 1835 ; depuis, beaucoup d'eau est passée sous les ponts ;)
 
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