Babouchemasquee
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Le programme “Villes sans bidonvilles” (VSB) qui vise à débarrasser le pays, une fois pour toute, de l'habitat insalubre et anarchique a été cité en exemple par l'ONU-Habitat. L'agence onusienne a classé le Maroc au deuxième rang mondial en terme de réduction des populations des bidonvilles.
Le programme “Villes sans bidonvilles” (VSB) a donné, depuis son lancement en 2004, un coup d'accélérateur à l'effort de production de logements accessibles aux couches démunies ou à revenus limités.
Pour l'heure, 47 villes ont été officiellement déclarées “Villes sans bidonvilles” sur un total de 85 initialement ciblées. Quant au taux de réalisation du programme VSB, il s'élève à 70%, selon des données fournies par le ministère de l'Habitat, de l'urbanisme et de la politique de la ville.
D'ores et déjà, les conditions de vie de plus de 200.000 ménages bénéficiant de ce méga-programme se sont améliorées, soit 56% des familles ciblées.
Peut-on parler dès lors d'une success-story marocaine en matière de lutte contre l'habitat insalubre à même d'inspirer les pays en développement à la veille du Sommet mondial des dirigeants locaux et régionaux et 4e Congrès de cités et gouvernements locaux unis (CGLU), prévu du premier au 4 octobre à Rabat?
D'après Jean Yves Barcelo, conseiller inter-régional à l'ONU-Habitat, le Maroc est classé deuxième à l'échelle mondiale en terme de taux de réduction de la population des bidonvilles, soit 45,8% pour la période 2000-2010.
Ce classement ressort du “TOP 20” des pays retenus par ONU-Habitat qui concourent à la réduction de la fracture urbaine par l'amélioration des conditions de vie des habitants des bidonvilles. Il s'agit là d'une réponse à la cible 11 des Objectifs du Millénaire pour le Développement, qui vise à “améliorer sensiblement la vie d'au moins 100 millions d'habitants de taudis, d'ici à 2020”.
L'ONU-Habitat, dans son rapport sur l'état des villes dans le monde (2010-2011), se félicite ainsi du programme VSB.
“Mobilisation du foncier public (plus de 8.000 hectares à ce jour), malgré sa répartition géographique inégale” et “implication du système bancaire dans l'éradication des bidonvilles” sont parmi les facteurs cités ayant contribué à accroître l'offre sociale en habitat salubre.
L'agence onusienne cite également parmi les secteurs d'activités économiques qui ont contribué à cette dynamique : l'encours des crédits immobiliers ainsi que la cadence de la production de l'habitat.
Source aufaitmaroc.
Le programme “Villes sans bidonvilles” (VSB) a donné, depuis son lancement en 2004, un coup d'accélérateur à l'effort de production de logements accessibles aux couches démunies ou à revenus limités.
Pour l'heure, 47 villes ont été officiellement déclarées “Villes sans bidonvilles” sur un total de 85 initialement ciblées. Quant au taux de réalisation du programme VSB, il s'élève à 70%, selon des données fournies par le ministère de l'Habitat, de l'urbanisme et de la politique de la ville.
D'ores et déjà, les conditions de vie de plus de 200.000 ménages bénéficiant de ce méga-programme se sont améliorées, soit 56% des familles ciblées.
Peut-on parler dès lors d'une success-story marocaine en matière de lutte contre l'habitat insalubre à même d'inspirer les pays en développement à la veille du Sommet mondial des dirigeants locaux et régionaux et 4e Congrès de cités et gouvernements locaux unis (CGLU), prévu du premier au 4 octobre à Rabat?
D'après Jean Yves Barcelo, conseiller inter-régional à l'ONU-Habitat, le Maroc est classé deuxième à l'échelle mondiale en terme de taux de réduction de la population des bidonvilles, soit 45,8% pour la période 2000-2010.
Ce classement ressort du “TOP 20” des pays retenus par ONU-Habitat qui concourent à la réduction de la fracture urbaine par l'amélioration des conditions de vie des habitants des bidonvilles. Il s'agit là d'une réponse à la cible 11 des Objectifs du Millénaire pour le Développement, qui vise à “améliorer sensiblement la vie d'au moins 100 millions d'habitants de taudis, d'ici à 2020”.
L'ONU-Habitat, dans son rapport sur l'état des villes dans le monde (2010-2011), se félicite ainsi du programme VSB.
“Mobilisation du foncier public (plus de 8.000 hectares à ce jour), malgré sa répartition géographique inégale” et “implication du système bancaire dans l'éradication des bidonvilles” sont parmi les facteurs cités ayant contribué à accroître l'offre sociale en habitat salubre.
L'agence onusienne cite également parmi les secteurs d'activités économiques qui ont contribué à cette dynamique : l'encours des crédits immobiliers ainsi que la cadence de la production de l'habitat.
Source aufaitmaroc.