Le vin est-il aussi illicite pour les israélites et les chrétiens?

LeMagnifique

Soliman
VIB
L’acception du mot grec «oinos». Des exemples du double usage d’oinos abondent dans le grec séculier. Dans son livre «Météréologiques», Aristote (384-322 av. J.-C.) parle de jus de raisin non fermenté (glukus) en disant: Ce n’est du vin [oinos] que de nom; ce n’en est pas en réalité. Car il n’a pas le suc de vin, et c’est pourquoi il ne grise pas, ce que fait le premier vin venu. Dans ce texte, Aristote nous informe explicitement que le jus de raisin non fermenté était appelé «oinos - vin», même s’il ne goûtait pas et n’enivrait pas comme du vin ordinaire.
Dans la Septante, une traduction Grecque de l’Ancien Testament du troisième ou deuxième siècle av. J.-C., «le mot hébreu pour du jus de raisin - tirôche est traduit au moins 33 fois par le mot grec oinos - vin, et l’adjectif "nouveau" n’est pas présent. Donc, Oinos sans détermination, peut facilement signifier le vin non fermenté dans le Nouveau Testament.»

Depuis l’abrogation de la loi sur la prohibition (1933) aux Etats Unis, la plupart des églises évangéliques ont graduellement abandonné leur prise de position sur l’abstinence totale pour en adopter une de modération envers l’usage d’alcool. Un facteur majeur ayant contribué à cette prise de position a été l’affaiblissement de la conviction que l’abstinence totale est un précepte biblique et moral qui doit être respecté comme tout autre précepte divin. Billy Graham a soutenu cette opinion quand il a déclaré: «Je ne crois pas que la Bible enseigne l’antialcoolisme... Jésus a bu du vin. Jésus a changé l’eau en vin à une noce. Ce n’était pas du jus de raisin comme plusieurs essaient de le soutenir.»

N’ayant plus de conviction contraignante biblique et morale pour rester ou devenir abstinent, les chrétiens cèdent de plus en plus à la pression sociale pour justifier leur consommation de boissons alcoolisées.
 

LeMagnifique

Soliman
VIB
Les prelevement de témoignages bibliques et historiques qui vont suivre,suffiront pour démontrer que la Bible connait deux sortes de vin, une qui est fermentée dont elle désapprouve, et l’autre qui n’est pas fermentée, qu’elle approuve.
Cette conclusion deviendra plus claire quand nous verrons les raisons pour la désapprobation biblique du vin fermenté et pour l’approbation du jus de raisin non fermenté.

Beaucoup de chrétiens bien intentionnés croient que le «bon vin» que Jésus créa à Cana (Jn 2.10) était bon parce qu’il avait un taux élevé d’alcool. Cette croyance est basée sur 3 suppositions majeures. D’abord, on supposait que les juifs ne pouvaient pas empêcher la fermentation du jus de raisin, et du fait que les noces eurent lieu juste avant la Pâque du printemps (Jn 2.13), c’est à dire, 6 mois après la récolte de raisin, cela donnait beaucoup de temps au vin pour fermenter. Deuxièmement, on supposait que la description de «bon vin» (2.10) donnée par l’organisateur du repas en ce qui concerne le vin fournit par le Christ désignait un vin alcoolique de haute qualité. Troisièmement, on supposait que l’expression «bu copieusement (Jn 2.10 MH)» employée par le maître du banquet indiquait que les invités étaient enivrés parce qu’ils buvaient du vin fermenté. Par conséquent, le vin que Jésus créa devait être fermenté. En vue de l’importance que ces suppositions ont pour déterminer la nature du vin fourni par le Christ, nous allons examiner chacune d’elles.
La première supposition est discréditée par les nombreux témoignages romains du temps du Nouveau Testament., qui décrivent diverses façons pour préserver le jus de raisin de la fermentation. Dans le chapitre précédent, on s’est aperçu que la préservation du jus de raisin non fermenté était de plusieurs façons, un procédé plus simple que la préservation du vin fermenté. Donc, la possibilité existait d’avoir du jus de raisin non fermenté au noces de Cana, (au printemps) car de telles boissons étaient préservées durant toute l’année.
 
Beaucoup de chrétiens bien intentionnés croient que le «bon vin» que Jésus créa à Cana (Jn 2.10) était bon parce qu’il avait un taux élevé d’alcool. Cette croyance est basée sur 3 suppositions majeures. D’abord, on supposait que les juifs ne pouvaient pas empêcher la fermentation du jus de raisin, et du fait que les noces eurent lieu juste avant la Pâque du printemps (Jn 2.13), c’est à dire, 6 mois après la récolte de raisin, cela donnait beaucoup de temps au vin pour fermenter. Deuxièmement, on supposait que la description de «bon vin» (2.10) donnée par l’organisateur du repas en ce qui concerne le vin fournit par le Christ désignait un vin alcoolique de haute qualité. Troisièmement, on supposait que l’expression «bu copieusement (Jn 2.10 MH)» employée par le maître du banquet indiquait que les invités étaient enivrés parce qu’ils buvaient du vin fermenté. Par conséquent, le vin que Jésus créa devait être fermenté. En vue de l’importance que ces suppositions ont pour déterminer la nature du vin fourni par le Christ, nous allons examiner chacune d’elles.
La première supposition est discréditée par les nombreux témoignages romains du temps du Nouveau Testament., qui décrivent diverses façons pour préserver le jus de raisin de la fermentation. Dans le chapitre précédent, on s’est aperçu que la préservation du jus de raisin non fermenté était de plusieurs façons, un procédé plus simple que la préservation du vin fermenté. Donc, la possibilité existait d’avoir du jus de raisin non fermenté au noces de Cana, (au printemps) car de telles boissons étaient préservées durant toute l’année.

Ta problématique des noces de Cana n'interpelle nullement les chrétiens, ce n'est que de la cuisine !

Les chrétiens ne retiennent de cet épisode que le fait que Jésus ne refuse rien à sa mère, la Vierge Marie. Et que Marie est attentive aux besoins des hommes (ce qui n'est pas rien !!!)

C'est quand même beaucoup plus "spirituel" que tes variations sur le thème de la fermentation....Eh oui, il y a une dimension spirituelle dans la religion....
 

LeMagnifique

Soliman
VIB
Ta problématique des noces de Cana n'interpelle nullement les chrétiens, ce n'est que de la cuisine !

Les chrétiens ne retiennent de cet épisode que le fait que Jésus ne refuse rien à sa mère, la Vierge Marie. Et que Marie est attentive aux besoins des hommes (ce qui n'est pas rien !!!)

C'est quand même beaucoup plus "spirituel" que les variations sur le thème de la fermentation....Eh oui, il y a une dimension spirituelle dans la religion....
L’exemple et les préceptes du Christ sont la norme pour les pratiques et croyances chrétiennes. Si, (comme beaucoup de chrétiens bien intentionnés croient,) Jésus a fait du vin fermenté au noces de Cana; qu’Il le recommanda dans ses paraboles d’outres de vin nouveau et de vin vieux; qu’Il admit d’en boire dans sa description de son mode de vie («mangeant et buvant» Mt 11.19); et qu’Il commanda d’ici à la fin du monde, son usage à l’institution du repas du Seigneur; alors, cela ne peut pas être intrinsèquement faux de boire modérément des boissons alcoolisées. En d’autres mots, «Si le vin était bon pour Jésus, c’est bon pour moi!»

En vue de l’importance fondamentale des préceptes du Christ et leurs conséquences de grande envergure, nous allons examiner brièvement ce que Jésus dit au sujet du vin.
 

LeMagnifique

Soliman
VIB
les curés boivent du vin de messe à chaque eucharistie, en souvenir de la dernière Cène ou Jésus a bu lui aussi du vin.
Ils n'en meurent pas...
Le commentaire du Christ qu’il «faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves» (Lc 5.38; Mt 9.17; Mc 2.22) est compris par les partisans de modération comme une indication que Jésus recommanda l’usage modéré de boissons alcoolisées. Cette vue est basée sur l’hypothèse que l’expression «vin nouveau» désigne du vin fraîchement pressé qui est déjà dans un procédé de fermentation. C’est donc cette sorte de vin qui est mis dans des outres neuves parce que les outres vieilles éclateraient sous la pression.

Vin nouveau qui fermente? Cette interprétation est très imaginative mais n’est pas en accord avec les faits. Quiconque est familier avec la pression causée par les gaz de la fermentation sait qu’aucune bouteille, soit de peau ou de verre, peut résister à la pression du vin nouveau qui fermente. Comme le dit Alexander B. Bruce, «Jésus ne parlait pas de vin fermenté qui enivre, mais de "moût", une boisson qui n’enivre pas, qui pouvait être préservée sans dommage dans des outres neuves, et non dans des outres vieilles qui antérieurement avaient contenu du vin ordinaire. Ces dernières, à cause des particules de matière d’albumen qui avaient adhéré à l’intérieur, auraient causé la fermentation et auraient développé une pression énorme de gaz.
 
A

AncienMembre

Non connecté
L’acception du mot grec «oinos». Des exemples du double usage d’oinos abondent dans le grec séculier. Dans son livre «Météréologiques», Aristote (384-322 av. J.-C.) parle de jus de raisin non fermenté (glukus) en disant: Ce n’est du vin [oinos] que de nom; ce n’en est pas en réalité. Car il n’a pas le suc de vin, et c’est pourquoi il ne grise pas, ce que fait le premier vin venu. Dans ce texte, Aristote nous informe explicitement que le jus de raisin non fermenté était appelé «oinos - vin», même s’il ne goûtait pas et n’enivrait pas comme du vin ordinaire.
Dans la Septante, une traduction Grecque de l’Ancien Testament du troisième ou deuxième siècle av. J.-C., «le mot hébreu pour du jus de raisin - tirôche est traduit au moins 33 fois par le mot grec oinos - vin, et l’adjectif "nouveau" n’est pas présent. Donc, Oinos sans détermination, peut facilement signifier le vin non fermenté dans le Nouveau Testament.»

Depuis l’abrogation de la loi sur la prohibition (1933) aux Etats Unis, la plupart des églises évangéliques ont graduellement abandonné leur prise de position sur l’abstinence totale pour en adopter une de modération envers l’usage d’alcool. Un facteur majeur ayant contribué à cette prise de position a été l’affaiblissement de la conviction que l’abstinence totale est un précepte biblique et moral qui doit être respecté comme tout autre précepte divin. Billy Graham a soutenu cette opinion quand il a déclaré: «Je ne crois pas que la Bible enseigne l’antialcoolisme... Jésus a bu du vin. Jésus a changé l’eau en vin à une noce. Ce n’était pas du jus de raisin comme plusieurs essaient de le soutenir.»

N’ayant plus de conviction contraignante biblique et morale pour rester ou devenir abstinent, les chrétiens cèdent de plus en plus à la pression sociale pour justifier leur consommation de boissons alcoolisées.

"Ne voyez-vous pas que tout ce qui entre dans l’homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n’entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, pour être éliminé ? » C’est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments. Il leur dit encore : « Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. Car c’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses : inconduite, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. Tout ce mal vient du dedans, et rend l’homme impur" (Marc, 7 : 18-23).

Ainsi, le vin en lui-même n'est rien. Comme toute matière, c'est un objet neutre et inerte. Pour nous, chrétiens, c'est l'utilisation qu'en fait l'homme qui peut être jugée bonne ou mauvaise. Mais accuser le vin de contenir lui-même le péché, et ainsi décharger l'homme de ses responsabilités, c'est une chose que nous, chrétiens, de faisons pas.

Paul précise encore : "Ce n'est pas un aliment qui nous rapprochera de Dieu. Si nous n'en mangeons pas, nous n'avons rien de moins, et si nous en mangeons, nous n'avons rien de plus" (1 Corinthiens 8 : 8). Pour nous, tout est donc clair : boire du vin ou ne pas en boire, cela ne change rien. Boire n'est pas un péché, et ne pas boire n'est pas une vertu.
 
Pour les juifs oui normalement il est illicite tout comme pour les musulmans, dans ce sens : ne pas boire au point de ne plus savoir ce que l'on fait...
c'est histoire d'être toujours conscient de ce que l'on fait, et d'être toujours concentré dans nos prières.

Voilà, et c'est un juif qui me l'a dit !!! :D

donc oui l'alcool est dans un sens ILLICITE chez les juifs.

Voilà ma petite et maigre contribution suite à une conversation avec un "collègue" juif.
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Pour les juifs oui normalement il est illicite tout comme pour les musulmans, dans ce sens : ne pas boire au point de ne plus savoir ce que l'on fait...
c'est histoire d'être toujours conscient de ce que l'on fait, et d'être toujours concentré dans nos prières.

Voilà, et c'est un juif qui me l'a dit !!! :D

donc oui l'alcool est dans un sens ILLICITE chez les juifs.

Voilà ma petite et maigre contribution suite à une conversation avec un "collègue" juif.
Le sens que tu donnes n'est pas celui du caractère illicite de l'alcool, mais plutôt du caractère illicite de l'abus d'alcool... Nuance... Importante! ;)
Sauf si le collègue s'est mal exprimé, ou si tu traduis mal ce qu'il a dit.
 
Le sens que tu donnes n'est pas celui du caractère illicite de l'alcool, mais plutôt du caractère illicite de l'abus d'alcool... Nuance... Importante! ;)
Sauf si le collègue s'est mal exprimé, ou si tu traduis mal ce qu'il a dit.


oui on a bien compris la nuance bien entendu.

après viens le fait de bien tenir l'alcool ou pas, c'est tout un schmilblik.
Tu auras un buveur qui meme après avoir descendu une bouteille, il tient debout et est conscient de ses actes, et tu auras celui qui au bout de deux verres de vin sera déjà pompette ;)


Tout est nuance ....
 
Le commentaire du Christ qu’il «faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves» (Lc 5.38; Mt 9.17; Mc 2.22) est compris par les partisans de modération comme une indication que Jésus recommanda l’usage modéré de boissons alcoolisées. Cette vue est basée sur l’hypothèse que l’expression «vin nouveau» désigne du vin fraîchement pressé qui est déjà dans un procédé de fermentation. C’est donc cette sorte de vin qui est mis dans des outres neuves parce que les outres vieilles éclateraient sous la pression.

Vin nouveau qui fermente? Cette interprétation est très imaginative mais n’est pas en accord avec les faits. Quiconque est familier avec la pression causée par les gaz de la fermentation sait qu’aucune bouteille, soit de peau ou de verre, peut résister à la pression du vin nouveau qui fermente. Comme le dit Alexander B. Bruce, «Jésus ne parlait pas de vin fermenté qui enivre, mais de "moût", une boisson qui n’enivre pas, qui pouvait être préservée sans dommage dans des outres neuves, et non dans des outres vieilles qui antérieurement avaient contenu du vin ordinaire. Ces dernières, à cause des particules de matière d’albumen qui avaient adhéré à l’intérieur, auraient causé la fermentation et auraient développé une pression énorme de gaz.


Jésus lui-même a bu du vin, et plus qu'une fois...
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
oui on a bien compris la nuance bien entendu.

après viens le fait de bien tenir l'alcool ou pas, c'est tout un schmilblik.
Tu auras un buveur qui meme après avoir descendu une bouteille, il tient debout et est conscient de ses actes, et tu auras celui qui au bout de deux verres de vin sera déjà pompette ;)


Tout est nuance ....
Oui. Mais étant donné que chacun est responsable de ses actes et pourrait avoir à en répondre, celui qui ne tient pas du tout bien l'alcool est en état d'abus s'il en boit deux verres alors qu'il a expérimenté le fait qu'après 1 verre, il est déjà "pompette" (j'aime bien le terme ;)).
Si ça a l'air compliqué en théorie, c'est malgré tout quelque part assez simple en pratique pour chacun...

De toute façon, même pour les choses sur lesquelles ne plane pas un éventuel caractère illicite, il ne faut point abuser. Il faut manger. Faut-il s'empiffrer? Quelle est la frontière entre manger copieusement et s'empiffrer? L'abus est sujet à nuance...
 
dans le coran Allah parle de bon vin qui n'enivre pas !

en clair Allah parle d'une recette de vin super équilibré d'environ 9° qui ait toute les qualité d'un vin ayant un taux d'alcool plus élevé !

sauf qu'aujourd'hui on n'y arrive plus, soit c'est la piquette soit c'est l'enivrement...
 

LeMagnifique

Soliman
VIB
Jésus lui-même a bu du vin, et plus qu'une fois...
Jesus (as) buvait du jus de raisin,nous allons voir cela inchallah.

Le verbe methusko dans Jean 2.10 est employé dans le sens de satiété. Il réfère simplement à la grande quantité de vin généralement consommée durant la fête, sans aucune référence d’effets d’intoxication. Ceux qui veulent insister sur le fait que le vin de la fête était alcoolique et que Jésus créa du vin alcoolique de meilleur qualité, sont amenés à la conclusion que Jésus a fourni une grande quantité additionnelle de vin fermenté pour que les invités continuent leur indulgence téméraire. Une telle conclusion détruit l’intégrité morale du caractère du Christ.

La logique morale exige que le Christ n’aurait pas pu produire miraculeusement 500 à 750 litres de vin fermenté pour l’usage des hommes, femmes et enfants qui étaient réunis aux noces de Cana, sans qu’Il devienne moralement responsable pour leur intoxication. La logique morale et des Ecritures exige que le «bon vin» produit par le Christ était le jus de raisin frais, non fermenté. Cette conclusion est supportée par l’adjectif qui décrit le vin: kalos qui signifie ce qui est moralement excellent. L’adjectif n’est pas agathos qui signifie «bon» seulement.
 
A

AncienMembre

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dans le coran Allah parle de bon vin qui n'enivre pas !

en clair Allah parle d'une recette de vin super équilibré d'environ 9° qui ait toute les qualité d'un vin ayant un taux d'alcool plus élevé !

sauf qu'aujourd'hui on n'y arrive plus, soit c'est la piquette soit c'est l'enivrement...

A mon avis, il devait vouloir parler de ceci : http://www.aux-delices-franco-belges.ch/bieres/115-westmalle-double-brune-33cl-trappiste.html !!

A goûter de toute urgence ! :D
 

LeMagnifique

Soliman
VIB
Le sens que tu donnes n'est pas celui du caractère illicite de l'alcool, mais plutôt du caractère illicite de l'abus d'alcool... Nuance... Importante! ;)
Sauf si le collègue s'est mal exprimé, ou si tu traduis mal ce qu'il a dit.
Au delà de 19 siècles, Jésus fut accusé d’être «un glouton et un ivrogne» (Lc 7.33-34; Mt 11.19 TOB) parce qu’il est venu mangeant et buvant. Les partisans de la modération croient que sa propre description de son mode de vie, «mangeant et buvant» prouve qu’Il admit ouvertement d’avoir bu du vin alcoolique. De plus, ils disent, que Jésus a dû boire du vin fermenté parce que ses critiqueurs l’accusaient d’être un «ivrogne» (TOB).

Le mode de vie sociale. Cette interprétation feint d’ignorer plusieurs considérations importantes. L’expression «mangeant et buvant» est employée de façon idiomatique pour décrire la différence entre le mode de vie sociale de Jésus et celui de Jean Baptiste. Jean est venu «ne mangeait [mangeant] pas de pain et ne buvait [buvant] pas de vin» (Lc 7.33), c’est à dire, il vécut une vie sociale complètement isolée; par contre, le Christ est venu «mangeant et buvant,» c’est à dire, Il vécut une vie sociale libre.
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Au delà de 19 siècles, Jésus fut accusé d’être «un glouton et un ivrogne» (Lc 7.33-34; Mt 11.19 TOB) parce qu’il est venu mangeant et buvant. Les partisans de la modération croient que sa propre description de son mode de vie, «mangeant et buvant» prouve qu’Il admit ouvertement d’avoir bu du vin alcoolique. De plus, ils disent, que Jésus a dû boire du vin fermenté parce que ses critiqueurs l’accusaient d’être un «ivrogne» (TOB).

Le mode de vie sociale. Cette interprétation feint d’ignorer plusieurs considérations importantes. L’expression «mangeant et buvant» est employée de façon idiomatique pour décrire la différence entre le mode de vie sociale de Jésus et celui de Jean Baptiste. Jean est venu «ne mangeait [mangeant] pas de pain et ne buvait [buvant] pas de vin» (Lc 7.33), c’est à dire, il vécut une vie sociale complètement isolée; par contre, le Christ est venu «mangeant et buvant,» c’est à dire, Il vécut une vie sociale libre.
Je n'ai pas très bien compris pourquoi ce que vous mettez ci-dessus vient en réponse à ma remarque à Swinae. Je ne vois pas le lien.
 
Jesus (as) buvait du jus de raisin,nous allons voir cela inchallah.

Le verbe methusko dans Jean 2.10 est employé dans le sens de satiété. Il réfère simplement à la grande quantité de vin généralement consommée durant la fête, sans aucune référence d’effets d’intoxication. Ceux qui veulent insister sur le fait que le vin de la fête était alcoolique et que Jésus créa du vin alcoolique de meilleur qualité, sont amenés à la conclusion que Jésus a fourni une grande quantité additionnelle de vin fermenté pour que les invités continuent leur indulgence téméraire. Une telle conclusion détruit l’intégrité morale du caractère du Christ.

La logique morale exige que le Christ n’aurait pas pu produire miraculeusement 500 à 750 litres de vin fermenté pour l’usage des hommes, femmes et enfants qui étaient réunis aux noces de Cana, sans qu’Il devienne moralement responsable pour leur intoxication. La logique morale et des Ecritures exige que le «bon vin» produit par le Christ était le jus de raisin frais, non fermenté. Cette conclusion est supportée par l’adjectif qui décrit le vin: kalos qui signifie ce qui est moralement excellent. L’adjectif n’est pas agathos qui signifie «bon» seulement.

tout cela n'est que spéculation d'un site anti-chrétien.

La Bible parle bien de vin, le Christ en a bu a son dernier repas, les spéculations genre "la logique morale exige, ... jésus n'aurait pas pu faire ceci ou cela", ce sont des projections au départ d'une certaine image qu'on a de Dieu et par rapport à laquelle on se refuse à croire qque chose qui dérange cette vision.

ce n'est pas avec des adjectifs qu'on réécrit la bible, ce ne sont que des interprétations d'un sens que tu attribues au terme.
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
dans le coran Allah parle de bon vin qui n'enivre pas !

en clair Allah parle d'une recette de vin super équilibré d'environ 9° qui ait toute les qualité d'un vin ayant un taux d'alcool plus élevé !

sauf qu'aujourd'hui on n'y arrive plus, soit c'est la piquette soit c'est l'enivrement...
9°? Quelle précision, cher nicky. ;)

Et du vin à 9°, si j'en bois 2 litres, aucun effet indésirable...? ;)
 
9°? Quelle précision, cher nicky. ;)

Et du vin à 9°, si j'en bois 2 litres, aucun effet indésirable...?

si tu boit pour te saouler la tronche, et qu'au bout de 2 litres tu a réussi à t'enivrer , il est ou l'effet indésirable ? :D

plus sérieusement...

Ceux qui ont plus de 60 ans se souviennent probablement d’une époque où le vin de table, celui que l’on buvait régulièrement et normalement au cours des repas était assez faiblement alcoolisé, entre 9° et 10°, rarement plus.

Ces vins, à la limite du jus de fruit, qui ne se conservaient pas et que l’on qualifiait volontiers de « piquettes » avaient leur charme notamment du fait que l’on pouvait en boire plusieurs verres sans ressentir les premiers symptômes de l’ivresse et on les éliminait généralement très vite .

Le degré d’alcool dans les vins n’a cessé d’augmenter: c’est une conséquence souvent un peu involontaire de la recherche de qualité. Ceux à 9°, 10°, 11 ° ont totalement disparu de la circulation et pour trouver une bouteille à 11°5, il faut se rabattre dans les grandes surfaces sur quelques rares vins italiens, au demeurant pas chers du tout et très agréables à boire, fruités et gouleyants.
Le Languedoc-Roussillon était spécialisé dans ces vins « d’abattage », ces piquettes parfois infâmes produites à partir de cépages à très hauts rendements. Face à la surproduction, la région a été obligée de se reconvertir vers des vins de qualité mais, il faut le dire, avec pour conséquence indirecte une élévation naturelle, grâce surtout à l’ensoleillement, du degré d’alcool. Il ne descend plus que très rarement au-dessous de 12°5 et des titres à 13° et même 13°5 ne sont plus rares…

Bien évidemment cela conduit à en boire moins. On peut soi-même être incommodé par l’ivresse qui en résulte ou s’insérer dans les programmes de prévention contre l’alcoolisme, en particulier au volant. La bouteille d’un litre consignée à trois étoiles est devenue de 75 cl, on en trouve désormais de 50 cl et il est de plus en plus fréquent qu’on vous propose, au restaurant, des vins au verre. Une vraie misère…
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Chose intéressante à lire, c'est d'un site chrétien :
L’alcool engendre une malédiction.

L’emploi de l’alcool dans l’Ancien Testament a des résultats tragiques. L’ivresse de Noé entraîna sa honte et l’amena à maudire son petit-fils. Les filles de Lot burent de l’alcool pour commettre l’inceste avec lui et elles enfantèrent Ammon et Moab, dont les enfants tourmentèrent Israël durant des siècles. Le peuple d’Israël a bu du vin et a forniqué, tout en adorant le veau d’or, et des milliers de personnes moururent (GENESE 9:18-27 ; GENESE 19:31-38 ; EXODE 32:6,25,28,35). Amnon, un autre buveur, séduisit sa demi-sœur Tamar et apporta le malheur à David lorsqu’Absalom la vengea (2 SAMUEL 13:13-28). Les enfants de Job moururent en buvant du vin ainsi que Belschatsar lorsqu’il utilisa les coupes sacrées du temple pour sa dernière beuverie. (JOB 1:13,18-19 ; DANIEL 5:2-5).

Esaïe prédît un désastre à Israël s’ils buvaient, faisant contraste entre les buveurs et ceux qui ont une soif spirituelle que Dieu pourrait étancher par l’effusion du Saint-Esprit. (ESAIE 5:11-12,22-25 ; ESAIE 28:7-8,9-13 ; 1 CORINTHIENS 14:21). Jérémie a dit que Dieu mettrait " des outres de vin " à la libre disposition de la nation pour la détruire. (JEREMIE 13:12-15). Et combien cela est-il vrai chez nous aujourd’hui ! Plus tard, il a vu le vin de Babylone détruire la nation ; et 600 ans plus tard Jean a lui aussi vu Babylone continuer à corrompre les nations avec sa coupe d’or. (JEREMIE 51:7 ; APOCALYPSE 17:3-6). Michée mit en garde contre les faux prophètes menteurs qui prophétisent sur le vin et sur les boissons fortes (MICHEE 2:11). Ceux-ci enseignent encore la " modération " et conduisent un grand nombre à la damnation. Il est temps que les vrais prophètes prêchent à nouveau la sainteté Biblique.
Quel est l’enseignement de Dieu ?

Dieu dit à Aaron et à ses fils, les prêtres d’Israël, qu’ils mourraient s’ils buvaient de QUELCONQUE vin ou boisson forte avant d’entrer dans le tabernacle. Ils devaient différencier le saint du profane, le pur de l’impur. Aujourd’hui, ce sont les croyants qui représentent le tabernacle, le temple de Dieu, chaque jour de leur vie (LEVITIQUE 10:9-10 ; 1 CORINTHIENS 3:16-17 ; 1 CORINTHIENS 7:9-20). Nous sommes constamment en présence de Dieu et Il est en nous ! Il n’a pas changé son attitude envers l’alcool. Nous entachons cette relation si nous en buvons.

De la même manière, les rois et les juges ne buvaient d’AUCUNE façon au risque d’affecter leur jugement (PROVERBES 31:4-5 ; OSEE 7:5-7). Ceux qui se séparaient du monde pour Dieu, les Nazaréens, ne devaient toucher à rien de la vigne, pas même au raisin ou aux feuilles de vigne. Samson, Samuel et Jean-Baptiste étaient tous Nazaréens (NOMBRES 6:2-3 ; JUGES 13:3-7 ; 1 SAMUEL 1:11 ; LUC 1:15). Les petits-fils de Récab s’engagèrent à ne jamais boire, comme leur père le leur avait demandé et Dieu s’étonna que Son peuple ne Lui obéisse pas de la même manière. Il promit de bénir les fidèles Récabites au moment où Il a jugé la nation désobéissante qu’est Juda (JEREMIE 35:2-10, 12-19). Dans chacun des cas cités ci-dessus, AUCUNE boisson alcoolisée n’était acceptable.
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Nous savons que Dieu ne change jamais. Il met en garde contre le mal dans la boisson. Le vin est moqueur, les boissons fortes sont tumultueuses (PROVERBES 20:1 ; 23:29-32). Le problème est la boisson elle-même, et non l’ivresse. Les prêtres qui buvaient, mourraient. L’alcool est profane et impur comme cité ci-dessus. Leur vigne (celle d’Israël) est du plant de Sodome, leur vin est le venin des serpents et le poison cruel des aspics (DEUTERONOME 32:32-33). Dieu permit au peuple de boire ainsi qu’aux mourants, de plus nous n’imposons pas nos principes aux incroyants. Il y a cependant un standard de vie plus exigeant pour le peuple sanctifié de Dieu (DEUTERONOME 14:26 ; PROVERBES 31:6 ; HEBREUX 12 :14). Les offrandes de boissons étaient versées sur le sol et les prêtres ne mangeaient que les animaux (NOMBRES 28:7 ; LEVITIQUE 6:14-18).
Deux types de vins

En hébreu, il y a deux mots pour désigner le vin : " tîyrôsh " ou vin nouveau non fermenté, et " yayin " pour le vin fermenté. Les grecs n’ont qu’un mot, " oinos ". Ainsi dans le Nouveau-Testament, à moins que le texte ne précise si le vin est " vieux " ou " nouveau " (LUC 5:37-39), seul le contexte peut nous indiquer lequel est mentionné. Ce fait a été utilisé par certains comme une faille justifiant la consommation d’alcool alors que le message même des Ecritures va à son encontre. Voici quelques exemples :

Aux noces à Cana, Jésus changea l’eau en " vin ". Il fut suggéré que ce vin devait être alcoolisé. Cela représentait six vases contenants chacun 2-3 mesures (ou 20-30 gallons).

Jésus aurait-il fait 150 gallons de vin alcoolisé, suffisamment pour saouler comme des grives chaque invité, alors que la Bible met en garde contre l’ivresse ? Il aurait renié Sa propre Parole ! (HABAKUK 2:15 ; LUC 12:45-46 ; EPHESIENS 5:18). Il fit sans aucun doute du vin non fermenté et l’ordonnateur de la fête en fit des compliments à l’époux. Quelques-uns disent que les paroles de Jésus à Marie, " Femme, qu’y a-t-il entre moi et toi ? " seraient une réprimande car elle a suggéré qu’Il ait fait du vin alcoolisé (JEAN 2:4,6,10 ; MARC 1:24 ; 2 SAMUEL 16:10). Jésus était appelé un " buveur " ou un " ivrogne ", et un glouton par les pharisiens. Ils dirent aussi qu’Il avait un démon et qu’Il blasphémait, entre autres.

Rien de tout cela n’était vrai, alors pourquoi aurait il été un ivrogne ? Ils comparaient Sa façon de vivre avec celle de Jean-Baptiste, plus austère, qui lui se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage et s’abstenait de tout produit de la vigne. (LUC 7:33-34 ; JEAN 8:48-52 ; MARC 2:7 ; MATTHIEU 3:4 ; LUC 1:15).
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Au dernier repas, Jésus a utilisé du " vin ". Après quoi, Il l’a appelé le " fruit de la vigne ". Un vin fermenté est transformé ; il n’est pas plus " le fruit de la vigne " que le yaourt est le " fruit de la vache " ! Il a probablement dit cette parole pour se prémunir contre les suggestions malveillantes (MATTHIEU 26:29). Le Sang de Jésus, parfait et sans péché ne pouvait être symbolisé par un vieux vin corrompu ! Alors que Jésus était cloué sur la croix, les soldats Lui ont offert du " vin mêlé de myrrhe, mais il ne le prit pas " (MARC 15:23). Alors pourquoi serait-il un buveur de vin normalement ?
Le vin et l’église

Au jour de la Pentecôte, lorsque les premiers disciples reçurent le Saint-Esprit, les spectateurs dirent : " Ces hommes sont pleins de vin doux " (ACTES 2:13). Le mot grec est ici " gleukos ", qui signifie soit du vin nouveau non fermenté ou du " moût ", du jus de raisin bouilli non alcoolisé. Ils se moquaient d’eux en disant " Ils sont saouls avec du jus de raisin ". Les disciples devaient être connus pour leur abstinence.

" Ne vous enivrez pas de vin : c’est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit ". Ce verset interdit l’ivresse, mais montre aussi que l’excès est dans le vin lui-même. La question n’est pas combien nous buvons, mais que le vin est excessif par nature. Le mot " excès " est " asotia " signifiant : " débauché et vivant dans la débauche " (EPHESIENS 5:18 ; 1 PIERRE 4:4 ; LUC 15:13)

Dans les critères de choix d’un surveillant, Paul dit qu’un candidat doit être : " me paroinos " ou " ni adonné au vin " (1 TIMOTHEE 3:3 ; TITE 1:7 qui sont des traductions littérales !). Les diacres doivent être " éloignés (…) des excès du vin, d’un gain sordide,… " (1 TIMOTHEE 3:8).

Cette Ecriture semble dire qu’un peu d’alcool est acceptable ; mais cela nierait tout ce dont nous avons parlé. Elle signifie plus probablement que les diacres ne devraient pas boire de jus de raisin en excès, ni avoir d’autres désirs immodérés qui les rendent inaptes au ministère.

Paul a dit à Timothée : " Ne continue pas à ne boire que de l’eau ; mais fais usage d’un peu de vin, à cause de ton estomac… " (1 TIMOTHEE 5:23). Timothée devait vivre comme un Nazaréen, ne buvant que de l’eau. Paul lui dit d’utiliser du jus de raisin car cela est apaisant. Ce verset n’est cependant pas une excuse pour les personnes qui n’ont pas de problème d’estomac.
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Résumé

Paul a dit qu’il ne voulait ni manger de viande, ni boire de vin ni rien faire qui puisse causer pour un frère une occasion de chute (ROMAINS 14:21). Lorsqu’un alcoolique est sorti de sa dépendance, nous n’avons pas le droit de causer sa rechute.

La Bible parle du : " vin de la fureur de Dieu " (APOCALYPSE 14:10). Si le vin est un symbole de fureur, pourquoi y toucherions-nous ? Nous sommes appelés à la paix et à la sanctification.

Nous sommes des ministres de la réconciliation et non de la colère.

Cela fait réfléchir de réaliser que le péché de Noé détruit encore des familles aujourd’hui, près de 4300 ans plus tard. N’avons-nous rien appris de nos erreurs ? La consommation modérée d’alcool n’est pas la réponse de Dieu. En revanche, l’abstinence l’est ! Un alcoolique l’est devenu en ayant d’abord bu UN SEUL verre ! L’église ne devrait pas admettre ou permettre cette première étape dans son enseignement. Elle devrait plutôt soutenir la position distincte de la Parole de Dieu, en reconnaissant que Jésus est la Parole devenu chair et a qui habité parmi nous !

Assemblée Chrétienne d’Auckland, Nouvelle Zélande

http://www.cai.org/fr/etudes-bibliques/les-chretiens-peuvent-ils-boire-’alcool
 
Chose intéressante à lire, c'est d'un site chrétien :
L’alcool engendre une malédiction.

L’emploi de l’alcool dans l’Ancien Testament a des résultats tragiques. L’ivresse de Noé entraîna sa honte et l’amena à maudire son petit-fils. Les filles de Lot burent de l’alcool pour commettre l’inceste avec lui et elles enfantèrent Ammon et Moab, dont les enfants tourmentèrent Israël durant des siècles. Le peuple d’Israël a bu du vin et a forniqué, tout en adorant le veau d’or, et des milliers de personnes moururent (GENESE 9:18-27 ; GENESE 19:31-38 ; EXODE 32:6,25,28,35). Amnon, un autre buveur, séduisit sa demi-sœur Tamar et apporta le malheur à David lorsqu’Absalom la vengea (2 SAMUEL 13:13-28). Les enfants de Job moururent en buvant du vin ainsi que Belschatsar lorsqu’il utilisa les coupes sacrées du temple pour sa dernière beuverie. (JOB 1:13,18-19 ; DANIEL 5:2-5).

Esaïe prédît un désastre à Israël s’ils buvaient, faisant contraste entre les buveurs et ceux qui ont une soif spirituelle que Dieu pourrait étancher par l’effusion du Saint-Esprit. (ESAIE 5:11-12,22-25 ; ESAIE 28:7-8,9-13 ; 1 CORINTHIENS 14:21). Jérémie a dit que Dieu mettrait " des outres de vin " à la libre disposition de la nation pour la détruire. (JEREMIE 13:12-15). Et combien cela est-il vrai chez nous aujourd’hui ! Plus tard, il a vu le vin de Babylone détruire la nation ; et 600 ans plus tard Jean a lui aussi vu Babylone continuer à corrompre les nations avec sa coupe d’or. (JEREMIE 51:7 ; APOCALYPSE 17:3-6). Michée mit en garde contre les faux prophètes menteurs qui prophétisent sur le vin et sur les boissons fortes (MICHEE 2:11). Ceux-ci enseignent encore la " modération " et conduisent un grand nombre à la damnation. Il est temps que les vrais prophètes prêchent à nouveau la sainteté Biblique.
Quel est l’enseignement de Dieu ?

Dieu dit à Aaron et à ses fils, les prêtres d’Israël, qu’ils mourraient s’ils buvaient de QUELCONQUE vin ou boisson forte avant d’entrer dans le tabernacle. Ils devaient différencier le saint du profane, le pur de l’impur. Aujourd’hui, ce sont les croyants qui représentent le tabernacle, le temple de Dieu, chaque jour de leur vie (LEVITIQUE 10:9-10 ; 1 CORINTHIENS 3:16-17 ; 1 CORINTHIENS 7:9-20). Nous sommes constamment en présence de Dieu et Il est en nous ! Il n’a pas changé son attitude envers l’alcool. Nous entachons cette relation si nous en buvons.

De la même manière, les rois et les juges ne buvaient d’AUCUNE façon au risque d’affecter leur jugement (PROVERBES 31:4-5 ; OSEE 7:5-7). Ceux qui se séparaient du monde pour Dieu, les Nazaréens, ne devaient toucher à rien de la vigne, pas même au raisin ou aux feuilles de vigne. Samson, Samuel et Jean-Baptiste étaient tous Nazaréens (NOMBRES 6:2-3 ; JUGES 13:3-7 ; 1 SAMUEL 1:11 ; LUC 1:15). Les petits-fils de Récab s’engagèrent à ne jamais boire, comme leur père le leur avait demandé et Dieu s’étonna que Son peuple ne Lui obéisse pas de la même manière. Il promit de bénir les fidèles Récabites au moment où Il a jugé la nation désobéissante qu’est Juda (JEREMIE 35:2-10, 12-19). Dans chacun des cas cités ci-dessus, AUCUNE boisson alcoolisée n’était acceptable.

noé n'a jamais été un ivrogne, loth un pédophile incestueux et sulaymane un dépravé redevenu paien !

Allah t'a pourtant expliquer qu'il ne faut pas suivre ce que disent les shaytans sur le règne de ses apôtres !

mais visiblement il t'a aussi rendu sourd et aveugle ...
 

firar

VIB
L’acception du mot grec «oinos». Des exemples du double usage d’oinos abondent dans le grec séculier. Dans son livre «Météréologiques», Aristote (384-322 av. J.-C.) parle de jus de raisin non fermenté (glukus) en disant: Ce n’est du vin [oinos] que de nom; ce n’en est pas en réalité. Car il n’a pas le suc de vin, et c’est pourquoi il ne grise pas, ce que fait le premier vin venu. Dans ce texte, Aristote nous informe explicitement que le jus de raisin non fermenté était appelé «oinos - vin», même s’il ne goûtait pas et n’enivrait pas comme du vin ordinaire.
Dans la Septante, une traduction Grecque de l’Ancien Testament du troisième ou deuxième siècle av. J.-C., «le mot hébreu pour du jus de raisin - tirôche est traduit au moins 33 fois par le mot grec oinos - vin, et l’adjectif "nouveau" n’est pas présent. Donc, Oinos sans détermination, peut facilement signifier le vin non fermenté dans le Nouveau Testament.»

Depuis l’abrogation de la loi sur la prohibition (1933) aux Etats Unis, la plupart des églises évangéliques ont graduellement abandonné leur prise de position sur l’abstinence totale pour en adopter une de modération envers l’usage d’alcool. Un facteur majeur ayant contribué à cette prise de position a été l’affaiblissement de la conviction que l’abstinence totale est un précepte biblique et moral qui doit être respecté comme tout autre précepte divin. Billy Graham a soutenu cette opinion quand il a déclaré: «Je ne crois pas que la Bible enseigne l’antialcoolisme... Jésus a bu du vin. Jésus a changé l’eau en vin à une noce. Ce n’était pas du jus de raisin comme plusieurs essaient de le soutenir.»

N’ayant plus de conviction contraignante biblique et morale pour rester ou devenir abstinent, les chrétiens cèdent de plus en plus à la pression sociale pour justifier leur consommation de boissons alcoolisées.

Tu n'a pas assez te tes f... à t'occuper.
Laisse tes anciens condisciples se prendre en charge comme ils le veulent.
Je suppose qu'avant de te convertir tu étais chrétien de quelque obédience que ce fut.
Qu'Allah est pitié de toi
 
Il ne faut pas oublier qu'à l'époque, l'eau n'était pas biologiquement sûre. C'est pourquoi les gens buvaient de l'eau et du vin mélangés, pour tuer les germes.

Donc la prohibition totale de l'alcool n'avait aucun sens.
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
noé n'a jamais été un ivrogne, loth un pédophile incestueux et sulaymane un dépravé redevenu paien !

Allah t'a pourtant expliquer qu'il ne faut pas suivre ce que disent les shaytans sur le règne de ses apôtres !

mais visiblement il t'a aussi rendu sourd et aveugle ...
Je ne suis pas de sheytan, ça s'adresse au chrétien avec des arguments de Chrétiens. Pour moi, les arguments sont dans le Qur'an, pour moi, les Prophètes d'Allah Azzawajel, n'ont jamais commis de telles choses.

J'espère toi que t'écoutes pas trop ton sheytan.
 
Je ne suis pas de sheytan, ça s'adresse au chrétien avec des arguments de Chrétiens. Pour moi, les arguments sont dans le Qur'an, pour moi, les Prophètes d'Allah Azzawajel, n'ont jamais commis de telles choses.

J'espère toi que t'écoutes pas trop ton sheytan.

quelles sont les arguments dans le coran au sujet des prophètes que tu pourrais démontrer ????
 
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