Violences faites aux femmes: «En France, les chiffres sont alarmants»

Petite_Mina

Inclassable
En proclamant le 25 novembre Journée internationale pour l'élimination de la violence contre les femmes, les Nations Unies souhaitaient alerter la communauté internationale. En France, la situation semble avoir peu évolué. Entretien avec Françoise Brié, vice-présidente de la Fédération Nationale Solidarité Femme.


156 femmes sont mortes en 2008 sous les coups de leur compagnon – soit une femme tuée tous les deux jours et demi –, et 675.000 femmes ont été victimes de violences lors des deux dernières années, soit de leur compagnon, soit d'un autre membre de la famille.

Des chiffes alarmants et pourtant, Françoise Brié, vice-présidente de la Fédération Nationale Solidarité Femme et directrice d'un centre d'accueil et d'hébergement (92), constate l'insuffisance des actions pour lutter contre ce type de violence.

Où en sommes-nous concernant les violences faites aux femmes en France?

La France est fortement touchée par les violences faites aux femmes. Les chiffres sont très alarmants, sur le plan des violences conjugales notamment. En 2008, plus de 18.000 appels ont été traités par le 3919 (numéro national unique destiné aux victimes ou témoins de violences conjugales). Les femmes âgées de moins de 40 ans sont les plus nombreuses à appeler, tous milieux sociaux confondus. Le 3919 reçoit aussi des appels de femmes cadres ou de professions libérales, contrairement aux idées reçues.

Comment l'expliquer?

Notre société reste machiste dans sa façon d'aborder les relations de couple. Certains hommes se considèrent comme les propriétaires du corps et de l'esprit des femmes. La domination masculine est encore très prégnante, y compris dans les sphères de pouvoir.
La société favorise donc la violence à l'égard des femmes, et cela est valable pour toutes les formes de violences, que ce soit le viol, le harcèlement sexuel au travail ou les mariages forcés.
Ce phénomène de violence a longtemps été passé sous silence, aujourd'hui la honte doit changer de camp. Comment peut-on encore observer des femmes détruites physiquement et psychologiquement dans une société dite évoluée?


Y-a-t-il eu certaines améliorations?

Oui, on observe quelques améliorations. Concernant les victimes, un certain nombre de femmes plus âgées (au-dessus de 40 ans) commencent à parler, par exemple. Il s'agit de femmes qui sont victimes de violences depuis une quinzaine ou une vingtaine d'année et qui n'avaient pas la possibilité de parler avant.
Du côté des aides, il y a des plus en plus de personnes qui se saisissent du problème, mais cela reste insuffisant. La difficulté est que ce problème soit traité par des professionnels très bien formés, et qu'il y ait une mise en réseau des acteurs. Les professionnels de santé, par exemple, ont un rôle de repérage, d'information à jouer. Beaucoup de femmes n'osent pas en parler lorsqu'elles sont victimes de violence, et le corps médical peut repérer ces situations.

Que proposez-vous?

Déjà, il faudrait que la loi de 2006 relative aux violences conjugales soit appliquée. Ensuite, la prévention vis à vis des jeunes me semble indispensable. C'est à travers eux que nous pourront rompre les stéréotypes, et établir de nouvelles relations hommes-femmes.
Par ailleurs, on commence à peine à prendre conscience des effets négatifs des violences conjugales sur les enfants de victimes. La sécurité de la femme et de ses enfants doivent aller de pair. Dans certaines situations, des enfants sont placés. Il faut être vigilant là-dessus.
On souhaite également que les femmes ne soient plus obligées de donner leur adresse lorsqu'elles quittent le domicile familiale afin que le père puisse voir ses enfants.

La diffusion d'un portable d'urgence pour les femmes battues constitue aussi une solution?

Le portable d'urgence est un outil qui peut être utile dans les cas où le conjoint a été condamné et ne vit plus au domicile de la victime. Mais, en soi c'est insuffisant, il est important qu'un dispositif soit mis en place autour de cette mesure, si elle est appliquée sur l'ensemble du territoire.

Numéro de téléphone national unique : 3919 (prix d'un appel local), accessible du lundi au samedi de 8h à 22h, les jours fériés de 10h à 20h.

Libération 24/11/2009
 
Violences conjugales : nouveau délit, bracelet électronique testé

François Fillon a annoncé mercredi vouloir créer un délit de "violences psychologiques au sein du couple" et tester le bracelet électronique pour contrôler les conjoints violents, afin d'intensifier la lutte contre les violences conjugales.

"En matière pénale, le délit de violences psychologiques au sein du couple va être consacré par le législateur", a déclaré le Premier ministre dans un discours prononcé à Matignon à l'occasion de la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.

"C'est une avancée considérable: la création de ce délit va permettre de prendre en compte les situations les plus sournoises, ces situations qui ne laissent pas de traces à l'oeil nu, mais qui mutilent l'être intérieur des victimes", a-t-il poursuivi.

En matière civile, le chef du gouvernement a annoncé vouloir créer un "régime juridique de référé-protection" afin de protéger certaines femmes victimes avant même que celles-ci n'aient décidé de porter de plainte. L'un des problèmes récurrents de ce type de violences est en effet que les victimes hésitent ou tardent à porter plainte contre leur agresseur.

Dans le même esprit, les mesures d'éloignement des auteurs de violences, actuellement applicables aux seuls conjoints mariés, vont désormais être étendues aux personnes pacsées ou vivant en concubinage.

"L'ensemble de ces modifications" légales "sera introduit dans notre droit avant l'été 2010, si toutefois les parlementaires travaillent à un rythme suffisant", a lancé le Premier ministre.

Par ailleurs, "sur la base de l'exemple espagnol, nous allons lancer l'expérimentation d'un dispositif de surveillance électronique pour contrôler l'effectivité de la mesure d'éloignement du conjoint violent", a poursuivi le chef du gouvernement.

Cette mesure sera testée "dès le début de l'année 2010" comme "une alternative aux poursuites ou une modalité d'exercice de la peine", a détaillé François Fillon.

En Espagne, ce dispositif concerne 12.000 femmes victimes. Concrètement, le conjoint violent est muni d'un bracelet électronique et la victime se voit dotée d'un boîtier, qui sonne si son agresseur approche de trop près son domicile ou son lieu de travail. Ce même boîtier est muni d'un dispositif lui permettant d'alerter la police dès qu'elle est menacée.

"La violence faite aux femmes a ceci de retors qu'elle se manifeste dans l'intimité, à l'écart des regards, et que la douleur qu'elle provoque est difficile à partager car la honte réduit au silence", a déclaré M. Fillon.

Or l'Etat "a pour mission de veiller à ce que les plus faibles soient protégés", "au delà des portes fermées, par delà la chappe de silence" qui entoure ces faits, a-t-il poursuivi.

Le gouvernement a choisi d'attribuer pour 2010 le label "grande cause nationale" à un collectif de 25 associations de lutte contre les violences faites aux femmes, ce qui leur permettra d'obtenir des diffusions gratuites pour leurs campagnes appelant à la générosité publique.

En 2008 en France, 157 femmes ont perdu la vie sous les coups de leur conjoin

http://news.fr.msn.com/m6-actualite/article.aspx?cp-documentid=151055777
 

giovani 005

coming back
triste constat !

cela dit, ça semble être le cheval de bataille pour attaquer sournoisement la communauté musulmane et ainsi engendrer du capital politique !!!!
 

h_meo

lien France Palestine
VIB
Si on ne peut plus taper sur une femme sans que cela soit comptabilisé ...
ils n'ont rien à faire ou pas .... ils devraient compte le nombre de fois où je demande une bierre et elle refuse .. :D
 

astronome

indépendance
En proclamant le 25 novembre Journée internationale pour l'élimination de la violence contre les femmes, les Nations Unies souhaitaient alerter la communauté internationale. En France, la situation semble avoir peu évolué. Entretien avec Françoise Brié, vice-présidente de la Fédération Nationale Solidarité Femme.


156 femmes sont mortes en 2008 sous les coups de leur compagnon – soit une femme tuée tous les deux jours et demi –, et 675.000 femmes ont été victimes de violences lors des deux dernières années, soit de leur compagnon, soit d'un autre membre de la famille.

Des chiffes alarmants et pourtant, Françoise Brié, vice-présidente de la Fédération Nationale Solidarité Femme et directrice d'un centre d'accueil et d'hébergement (92), constate l'insuffisance des actions pour lutter contre ce type de violence.

Où en sommes-nous concernant les violences faites aux femmes en France?

La France est fortement touchée par les violences faites aux femmes. Les chiffres sont très alarmants, sur le plan des violences conjugales notamment. En 2008, plus de 18.000 appels ont été traités par le 3919 (numéro national unique destiné aux victimes ou témoins de violences conjugales). Les femmes âgées de moins de 40 ans sont les plus nombreuses à appeler, tous milieux sociaux confondus. Le 3919 reçoit aussi des appels de femmes cadres ou de professions libérales, contrairement aux idées reçues.

Comment l'expliquer?

Notre société reste machiste dans sa façon d'aborder les relations de couple. Certains hommes se considèrent comme les propriétaires du corps et de l'esprit des femmes. La domination masculine est encore très prégnante, y compris dans les sphères de pouvoir.
La société favorise donc la violence à l'égard des femmes, et cela est valable pour toutes les formes de violences, que ce soit le viol, le harcèlement sexuel au travail ou les mariages forcés.
Ce phénomène de violence a longtemps été passé sous silence, aujourd'hui la honte doit changer de camp. Comment peut-on encore observer des femmes détruites physiquement et psychologiquement dans une société dite évoluée?


Y-a-t-il eu certaines améliorations?

Oui, on observe quelques améliorations. Concernant les victimes, un certain nombre de femmes plus âgées (au-dessus de 40 ans) commencent à parler, par exemple. Il s'agit de femmes qui sont victimes de violences depuis une quinzaine ou une vingtaine d'année et qui n'avaient pas la possibilité de parler avant.
Du côté des aides, il y a des plus en plus de personnes qui se saisissent du problème, mais cela reste insuffisant. La difficulté est que ce problème soit traité par des professionnels très bien formés, et qu'il y ait une mise en réseau des acteurs. Les professionnels de santé, par exemple, ont un rôle de repérage, d'information à jouer. Beaucoup de femmes n'osent pas en parler lorsqu'elles sont victimes de violence, et le corps médical peut repérer ces situations.

Que proposez-vous?

Déjà, il faudrait que la loi de 2006 relative aux violences conjugales soit appliquée. Ensuite, la prévention vis à vis des jeunes me semble indispensable. C'est à travers eux que nous pourront rompre les stéréotypes, et établir de nouvelles relations hommes-femmes.
Par ailleurs, on commence à peine à prendre conscience des effets négatifs des violences conjugales sur les enfants de victimes. La sécurité de la femme et de ses enfants doivent aller de pair. Dans certaines situations, des enfants sont placés. Il faut être vigilant là-dessus.
On souhaite également que les femmes ne soient plus obligées de donner leur adresse lorsqu'elles quittent le domicile familiale afin que le père puisse voir ses enfants.

La diffusion d'un portable d'urgence pour les femmes battues constitue aussi une solution?

Le portable d'urgence est un outil qui peut être utile dans les cas où le conjoint a été condamné et ne vit plus au domicile de la victime. Mais, en soi c'est insuffisant, il est important qu'un dispositif soit mis en place autour de cette mesure, si elle est appliquée sur l'ensemble du territoire.

Numéro de téléphone national unique : 3919 (prix d'un appel local), accessible du lundi au samedi de 8h à 22h, les jours fériés de 10h à 20h.

Libération 24/11/2009
"On souhaite également que les femmes ne soient plus obligées de donner leur adresse lorsqu'elles quittent le domicile familiale afin que le père puisse voir ses enfants. "

Oui c'est çà , il leur suffit de se tailler et de laisser leurs enfants sans pères ... et leurs pères sans enfants ; elle est belle la logique féminine du droit de visite !
 
"On souhaite également que les femmes ne soient plus obligées de donner leur adresse lorsqu'elles quittent le domicile familiale afin que le père puisse voir ses enfants. "

Oui c'est çà , il leur suffit de se tailler et de laisser leurs enfants sans pères ... et leurs pères sans enfants ; elle est belle la logique féminine du droit de visite !

Entièrement d'accord.....certaines mères profitent de la garde pour utiliser l'enfant ....et c'est là où il a vraiment danger !
 
Attends je rêve ; on est d'accord sur un point ; Champagne ... ou Champomy si tu préfères , je voudrais pas vexer ! LOL


:eek:

On ne peut pas être toujours d'accord avec tout le monde....nous avons chacun nos idées et nous sommes là pour échanger !

mais je suis une mère et j'ai des fréres....et je n'admettrais jamais qu'on puisse séparer un père de ses enfants ( la mère n'a pas plus de droit sous prétexte qu'elle les a mis au monde )
 

Petite_Mina

Inclassable
ne pas donner l'adresse, ce n'est pas interdire la garde.. mais les visites, les droits de garde se font dans des conditions particulières, et des endroits neutres..

la mère n'a pas plus de droit, elle a juste le droit à la protection d'un homme qui la battait, et meme pour ces enfants, je pense que c'est mieux..
on prend une phrase, et on la lance comme ça, en l'isolant du reste, alors oui on peut donner le sens qu'on veut..

ça ne change donc pas sur bladi..
 
:eek:

On ne peut pas être toujours d'accord avec tout le monde....nous avons chacun nos idées et nous sommes là pour échanger !

mais je suis une mère et j'ai des fréres....et je n'admettrais jamais qu'on puisse séparer un père de ses enfants ( la mère n'a pas plus de droit sous prétexte qu'elle les a mis au monde )

N'importe quoi! Si le père est dans l'impossibilité de voir ses enfants c'est en raison qu'il ne tient pas ses engements (régulièrement le versement de la pension alimentaire pour ses enfants). Si le père n'a rien à se reprocher, un juge peut contrainde la mère au droit de visite du père.
 

Petite_Mina

Inclassable
bis repetita, le sujet c'est les femmes violentées.. est ce qu'il faut vous faire un dessin..

on parle pas de l'interdiction de visite, ouh la... mais ça s'arrange pas par ici :rolleyes:
 
ne pas donner l'adresse, ce n'est pas interdire la garde.. mais les visites, les droits de garde se font dans des conditions particulières, et des endroits neutres..

la mère n'a pas plus de droit, elle a juste le droit à la protection d'un homme qui la battait, et meme pour ces enfants, je pense que c'est mieux..
on prend une phrase, et on la lance comme ça, en l'isolant du reste, alors oui on peut donner le sens qu'on veut..

ça ne change donc pas sur bladi..

Excuse Mina...mais quand tu lis la proposition dans le texte....la phrase est lancée brut sans nul autre message à la suite, ni conditions !

Pour avoir connu plus d'un père à qui les mères interdisent le droit de garde ( et cela même sans qu'elles aient été maltraitées ) ces même mères qui ne sont pas inquiétées ou qui parfois vont jusqu'à accusé le père de comportement plus que douteux...mais ce n'est pas ainsi qu'on préserve les enfants et encore moins la femme !
 
N'importe quoi! Si le père est dans l'impossibilité de voir ses enfants c'est en raison qu'il ne tient pas ses engements (régulièrement le versement de la pension alimentaire pour ses enfants). Si le père n'a rien à se reprocher, un juge peut contrainde la mère au droit de visite du père.

Fouraise...il y a la loi et ce qui se passe dans la réalité !

je n'irai dans le détail de la vie des personnes qui me sont tres proches...mais ce n'est pas des cas isolés !
 
Fouraise...il y a la loi et ce qui se passe dans la réalité !

je n'irai dans le détail de la vie des personnes qui me sont tres proches...mais ce n'est pas des cas isolés !

On va pas entrer en matière sur des cas isolés.

Au nom de quoi un père qui tient ses obligations ne pourrait-il pas actionner la justice suite au refus de leur mère à son droit de visite?
 
On va pas entrer en matière sur des cas isolés.

Au nom de quoi un père qui tient ses obligations ne pourrait-il pas actionner la justice suite au refus de leur mère à son droit de visite?


Je t'invite à lire ce lien et bcp d'autres existent sur le Net !

C'est grace à ce type d'assoc que des pères réussissent parfois à récupérer 2 week end dans le mois leurs enfants !

http://www.sospapa.net/pages2/sommaire/sommaire2.html

Quand un père ne rend pas l'enfant en temps et en heure...il est convoqué la semaine même par le commissariat de son domicile !

Quand la mère ne présente pas l'enfant au père....tu dois attendre pres de 2 mois avant qu'elle ne soit convoquée par ce même commissariat ! et le temps de saisir le JAF en référée....il peut se passer jusqu'à 4 à 6 mois
 

astronome

indépendance
ne pas donner l'adresse, ce n'est pas interdire la garde.. mais les visites, les droits de garde se font dans des conditions particulières, et des endroits neutres..

la mère n'a pas plus de droit, elle a juste le droit à la protection d'un homme qui la battait, et meme pour ces enfants, je pense que c'est mieux..
on prend une phrase, et on la lance comme ça, en l'isolant du reste, alors oui on peut donner le sens qu'on veut..

ça ne change donc pas sur bladi..
Ce que je voulais souligner , c'est le prétexte que certaines pourraient évoquer pour se débarasser une fois pour toute de leur conjoint ... et du père de leur(s) enfant(s).

On prends une phrase : " mon mec me bat", et on la lance comme çà ... alors oui on peut donner le sens qu'on veut !
 
Je t'invite à lire ce lien et bcp d'autres existent sur le Net !

C'est grace à ce type d'assoc que des pères réussissent parfois à récupérer 2 week end dans le mois leurs enfants !

http://www.sospapa.net/pages2/sommaire/sommaire2.html

Quand un père ne rend pas l'enfant en temps et en heure...il est convoqué la semaine même par le commissariat de son domicile !

Quand la mère ne présente pas l'enfant au père....tu dois attendre pres de 2 mois avant qu'elle ne soit convoquée par ce même commissariat ! et le temps de saisir le JAF en référée....il peut se passer jusqu'à 4 à 6 mois

Tu fais mention de cas éparses, mais en grande majorité les mères respectent le droit de visite des pères.

Souviens-toi du branle-bas mis en place contre cette mère russe qui avait tenté de s'enfuir avec sa fille en son pays, mais s'était arrêtée en Hongrie. En aucun cas, la justice est laxiste envers les mères. En revanche, il peut effectivement y avoir des craintes par les mères que leurs enfants soient enlevés et amener au pays d'origine de leurs pères (cas fréquents dans les unions conjugales franco-maghrébins) et leurs peurs sont justifiées. En l'espèce, l'Etat met à dispostion aux pères et aux enfants des centres spécialisés afin que les visites puissent avoir lieu et sous surveillance.

Donc, si on ne s'arrête pas qu'à quelques cas exceptionnels, c'est de la mauvaise foi qu'insinuer que les mères seraient privilégiées par la justice.
 
Tu fais mention de cas éparses, mais en grande majorité les mères respectent le droit de visite des pères.

Souviens-toi du branle-bas mis en place contre cette mère russe qui avait tenté de s'enfuir avec sa fille en son pays, mais s'était arrêtée en Hongrie. En aucun cas, la justice est laxiste envers les mères. En revanche, il peut effectivement y avoir des craintes par les mères que leurs enfants soient enlevés et amener au pays d'origine de leurs pères (cas fréquents dans les unions conjugales franco-maghrébins) et leurs peurs sont justifiées. En l'espèce, l'Etat met à dispostion aux pères et aux enfants des centres spécialisés afin que les visites puissent avoir lieu et sous surveillance.

Donc, si on ne s'arrête pas qu'à quelques cas exceptionnels, c'est de la mauvaise foi qu'insinuer que les mères seraient privilégiées par la justice.

Ce n'est pas de la mauvaise foi....c'est juste la réalité sur le terrain !

Bref....trop fatiguée pour débattre plus longuement sur ce sujet qui m'est pénible...
 

giovani 005

coming back
"On souhaite également que les femmes ne soient plus obligées de donner leur adresse lorsqu'elles quittent le domicile familiale afin que le père puisse voir ses enfants. "

Oui c'est çà , il leur suffit de se tailler et de laisser leurs enfants sans pères ... et leurs pères sans enfants ; elle est belle la logique féminine du droit de visite !

Bravo l'astronome !

tu viens de découvrir le vrai visage des féministe !!!!
 

giovani 005

coming back
ne pas donner l'adresse, ce n'est pas interdire la garde.. mais les visites, les droits de garde se font dans des conditions particulières, et des endroits neutres..

la mère n'a pas plus de droit, elle a juste le droit à la protection d'un homme qui la battait, et meme pour ces enfants, je pense que c'est mieux..
on prend une phrase, et on la lance comme ça, en l'isolant du reste, alors oui on peut donner le sens qu'on veut..

ça ne change donc pas sur bladi..

mdrrrrrrrrrr

wallah que vous n'allez pas nous gaver de vos conneries !

on connait tous vos réelles intentions !

la mère, la fille, la grand-mère etc etc..toujours les femmes qui doivent marcher sur le tapis dorés selon vous !
 

Petite_Mina

Inclassable
Excuse Mina...mais quand tu lis la proposition dans le texte....la phrase est lancée brut sans nul autre message à la suite, ni conditions !

Pour avoir connu plus d'un père à qui les mères interdisent le droit de garde ( et cela même sans qu'elles aient été maltraitées ) ces même mères qui ne sont pas inquiétées ou qui parfois vont jusqu'à accusé le père de comportement plus que douteux...mais ce n'est pas ainsi qu'on préserve les enfants et encore moins la femme !

oui mais tu fais de l'extrapolation Astéroide.. on parle d'adresse.. et le sujet c'est la violence faite aux femmes..

Ensuite, j'estime aussi qu'un père a des droits, des devoirs et des obligations aussi...

mais ici on parle de préserver une femme violentée, c'est juste une nuance qui a son importance.
 

Petite_Mina

Inclassable
Ce que je voulais souligner , c'est le prétexte que certaines pourraient évoquer pour se débarasser une fois pour toute de leur conjoint ... et du père de leur(s) enfant(s).

On prends une phrase : " mon mec me bat", et on la lance comme çà ... alors oui on peut donner le sens qu'on veut !

tu exageres enormément... une femme qui dit mon mec me bat, a souffert enormément avant de le dire, et d'accepter cette humiliation et cette souffrance. Combien de femmes battues appellent au secours, sans suite..

tu donnes le sens que tu veux, mais il est orienté, et tu interpretes.. que tu le veuilles ou non, des femmes sont battues, et elles ont le droit d'etre protégées et vivre en sécurité.
 
"On souhaite également que les femmes ne soient plus obligées de donner leur adresse lorsqu'elles quittent le domicile familiale afin que le père puisse voir ses enfants. "

Oui c'est çà , il leur suffit de se tailler et de laisser leurs enfants sans pères ... et leurs pères sans enfants ; elle est belle la logique féminine du droit de visite !

il y a une différence entre ne pas donner son adresse personnelle et refuser le droit de garde.
 

Petite_Mina

Inclassable
mdrrrrrrrrrr

wallah que vous n'allez pas nous gaver de vos conneries !

on connait tous vos réelles intentions !

la mère, la fille, la grand-mère etc etc..toujours les femmes qui doivent marcher sur le tapis dorés selon vous !

dommage d'en arriver là, et de vivre dans le monde que tu t'es crée.. relis tes inter, un gros complexe latent et meme puant..une interprétation, et une victimisation..

Laisse Dieu tranquille surtout dans une phrase comme la tienne..

Le paradis est sous le pied de vos mères.. et une femme est mère ou peut l'etre potentiellement.. donc oui elles méritent le tapis rouge et doré..

Nos intentions, si tu pouvais développer dans la mesure de tes possibilités bien sur..
 
mdrrrrrrrrrr

wallah que vous n'allez pas nous gaver de vos conneries !

on connait tous vos réelles intentions !

la mère, la fille, la grand-mère etc etc..toujours les femmes qui doivent marcher sur le tapis dorés selon vous !

ne pas etre battues et menacer par leur cojoint leur suffirons je pense.
a ton avis quel degré de peur il faut avoir pour ne pas vouloir que le pere de ses enfants sache ou on habite ?
 
Ce que je voulais souligner , c'est le prétexte que certaines pourraient évoquer pour se débarasser une fois pour toute de leur conjoint ... et du père de leur(s) enfant(s).

On prends une phrase : " mon mec me bat", et on la lance comme çà ... alors oui on peut donner le sens qu'on veut !

il faut des preuves tout de meme.
temoignage, dossier medical.

en general il faut un certains temps avant que la femme decide d epartir, et la maltraitance laisse des marques, des traces.
 
« Génération familles » : La violence dans le couple lundi sur M6

Le second numéro du magazine « Générations famille », présenté par Karine Le Marchand lundi 7 décembre à 20:40 sur M6, sera consacré à la violence dans le couple. Comment s'installe la violence dans le couple ? Quelles conséquences a-t-elle ...
 
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