Prier pour le mort, demander pardon pour lui, donner l’aumône en son nom, comptent parmi les choses dont Dieu fait qu’elles profitent aux morts dans leur tombe et qu’elles les protègent. Il y a de nombreux hadîth-s qui en parlent, et de nombreuses personnes vertueuses et excellentes en témoignent dans leurs rêves.
Sa`d ibn `Ubâda, que Dieu soit satisfait de lui, a dit un jour au Messager de Dieu, que les bénédictions et la paix de Dieu soient sur lui : « L’âme de ma mère est partie soudainement, et si elle avait pu parler, elle aurait donné une aumône. Cela lui serait-il profitable si je le faisais en son nom ? » « Oui ! », dit-il . Aussi, creusa-t-il un puits [pour que les gens y puisent de l’eau], disant : « C’est au nom de la mère de Sa`d. »
Un autre homme lui dit : « Ô Messager de Dieu ! Mes parents sont morts. Reste-t-il quelque chose que je puisse faire qui soit bon pour eux ? » Il répondit : « Il y a quatre choses : prier et demander pardon pour eux, tenir les promesses qu’ils avaient faites, être bon avec leurs amis et prêter l’attention qui convient aux liens de parenté dont ils étaient les seuls à pouvoir s’occuper. »
Et le Prophète a dit, que les bénédictions et la paix de Dieu soient sur lui : « Si ce n’avait été pour les vivants, les morts auraient été perdus », c’est-à-dire en raison des prières et des requêtes de pardon et de miséricorde qu’ils reçoivent.
Et il a dit, que les bénédictions et la paix de Dieu soient sur lui : « Ma nation est une nation couverte par la miséricorde. Ses membres entrent dans leur tombe chargés de péchés comme les montagnes, et ils quittent leur tombe pardonnés, parce que les vivants ont demandé pardon pour les morts. »
On rapporte que les dons d’aumônes, de prières et de récitations du Qur’ân adressées par les vivants aux morts les atteignent portés par des anges sur des plateaux de lumière, couverts de mouchoirs de soie, et ils leur disent : « Ce don vient de untel », et ainsi ils éprouvent joie et plaisir.
Un homme mort fut un jour vu dans un rêve et, comme on l’interrogeait sur sa situation, il dit qu’il avait été reçu par un ange qui tenta de lui brûler son visage avec une flamme qu’il tenait à la main. Mais un des vivants lui dit : « Dieu a untel en Sa miséricorde ! » et la flamme disparut.
Sa`d ibn `Ubâda, que Dieu soit satisfait de lui, a dit un jour au Messager de Dieu, que les bénédictions et la paix de Dieu soient sur lui : « L’âme de ma mère est partie soudainement, et si elle avait pu parler, elle aurait donné une aumône. Cela lui serait-il profitable si je le faisais en son nom ? » « Oui ! », dit-il . Aussi, creusa-t-il un puits [pour que les gens y puisent de l’eau], disant : « C’est au nom de la mère de Sa`d. »
Un autre homme lui dit : « Ô Messager de Dieu ! Mes parents sont morts. Reste-t-il quelque chose que je puisse faire qui soit bon pour eux ? » Il répondit : « Il y a quatre choses : prier et demander pardon pour eux, tenir les promesses qu’ils avaient faites, être bon avec leurs amis et prêter l’attention qui convient aux liens de parenté dont ils étaient les seuls à pouvoir s’occuper. »
Et le Prophète a dit, que les bénédictions et la paix de Dieu soient sur lui : « Si ce n’avait été pour les vivants, les morts auraient été perdus », c’est-à-dire en raison des prières et des requêtes de pardon et de miséricorde qu’ils reçoivent.
Et il a dit, que les bénédictions et la paix de Dieu soient sur lui : « Ma nation est une nation couverte par la miséricorde. Ses membres entrent dans leur tombe chargés de péchés comme les montagnes, et ils quittent leur tombe pardonnés, parce que les vivants ont demandé pardon pour les morts. »
On rapporte que les dons d’aumônes, de prières et de récitations du Qur’ân adressées par les vivants aux morts les atteignent portés par des anges sur des plateaux de lumière, couverts de mouchoirs de soie, et ils leur disent : « Ce don vient de untel », et ainsi ils éprouvent joie et plaisir.
Un homme mort fut un jour vu dans un rêve et, comme on l’interrogeait sur sa situation, il dit qu’il avait été reçu par un ange qui tenta de lui brûler son visage avec une flamme qu’il tenait à la main. Mais un des vivants lui dit : « Dieu a untel en Sa miséricorde ! » et la flamme disparut.