Wikileaks : scandale des écoutes telephonique

Abutactac

Amour, gloire et beauté..
VIB
Les américains ont montrer qu il n avait pas confiance a " ses alliés " .. La NSA aurait espionner les citoyens français et leurs gouvernements
 

Courir

Tas beau courir, Tu ne me rattrapes pas
VIB
les satellites leurs appartient
comme ce qui est marrant la devise dollars qui est imposé pour la vente du pétrole ce qui revient aux américains la recette
A comprendre !!!!!!!!!!!!
demain ils ont droit d’accès a tous les comptes bancaires
 

HeySunshine

💃🏻
VIB
Ils ont eu le temps d'espionner 3 présidents avant que la France puisse s'en apercevoir...
Enfin, avant que le scandale éclate.. Parce que la France ne s'est doutée de rien:prudent:
C'est ce qui me surprend le plus...

Parce que les USA qui espionnent ses alliés, c'est pas si surprenant que ça en soi!:rolleyes:
 
Les états unis espionne la France car ils ont les moyens de le faire tout comme la France espionne son garde-manger africain (empire coloniale) pour s'assurer de maintenir son influence

Tout ça c'est qu'une question de moyen matériel technologique et financier

Si le Burundi avait les moyens d'espionner le monde entier il l'aurait fait sans hésiter.
C'est comme ça
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
c'est un monde de crapules, personne n'a confiance en son allié.... tout le monde épie tout le monde, attendant le moment favorable à telle ou telle action
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
En même temps, l'ambassade des Etats Unis est à 500 mètres de l'Elysée , ils n'ont qu'a ouvrir la fenêtre pour voir Paul Bismuth gifler Cécilia ou voir Hollande manger des Knacki

Tu ne sais pas a quel point t'as raison! :)

Sur le toit de l'ambassade US a Berlin se trouverait une station d'ecoute de la NSA dirigee contre les institutions politiques (parlement, ministeres, ...). Lorsque les officiels allemands ont demande de visiter cette installation presumee, ils se sont vu refuse poliment mais fermement ce privilege. On peut donc penser qu'il n'y a pas de fumee sans feu.

Pour l'ambassade US a Paris, ca pourrait etre pareil...
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
Mam apparement s en douter elle n est pas surprise ! Mais bon espionner 3 chefs d états faut le faire qd meme !
Espionner des chefs d'Etats (quand on en a les moyens), c'est tout a fait normal, et ca a toujours existe, de tous temps. Espionner 99,999%+ de la population, ca c'est le veritable scandale de notre temps. La NSA fait de la surveillance de masse, le GCHQ aussi, et hier le parlement francais a decide que la France va en faire de meme (si j'ai bien compris).
 
Ils ont eu le temps d'espionner 3 présidents avant que la France puisse s'en apercevoir...
Enfin, avant que le scandale éclate.. Parce que la France ne s'est doutée de rien:prudent:
C'est ce qui me surprend le plus...

Parce que les USA qui espionnent ses alliés, c'est pas si surprenant que ça en soi!:rolleyes:
Ils sont au courant depuis longtemps puisque ce gouv de collabos comme les précédents soutiennent l'entité.
Tout comme il y a des traitres qui travaillent chez des opérateurs de télécoms qui refourguent des informations
sans le consentement de la personne .
 
De tte façon il va rien se passer ils font de la comédie pour rien.. La France a perdu sa souveraineté
Parce que le peuple a voté pas tous pour des vendus depuis le décès du général . Suffit de voir les résultats et à qui profite
tous ces crimes . Il a les dirigeants qu'il mérite .C'est aussi une punition mais c'est un autre débat .
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Mam apparement s en douter elle n est pas surprise ! Mais bon espionner 3 chefs d états faut le faire qd meme !
Salam Abazaa,
Ils surveillent tous les chefs d’état et même mr tout le monde, au cas ou il deviendrait chef d'état :eek:

Espionner des chefs d'Etats (quand on en a les moyens), c'est tout a fait normal, et ca a toujours existe, de tous temps. Espionner 99,999%+ de la population, ca c'est le veritable scandale de notre temps. La NSA fait de la surveillance de masse, le GCHQ aussi, et hier le parlement francais a decide que la France va en faire de meme (si j'ai bien compris).
Salam farid,
Tous service de renseignement en reverrait. Si ça n'a jamais était fait c'est que la technologie ne le permettait pas.
Aujourd'hui le rêve est devenu réalité.

La question que je me pose concernant nos chefs d'états, est:
Pourquoi ils n'utilisent pas des systèmes sécurisés?
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
"Libération" et Mediapart racontent les coulisses des révélations sur la NSA

Les documents obtenus par WikiLeaks prouvent que la NSA a espionné les communications de l’Elysée, entre 2006 et 2012. Récit d’une semaine un peu spéciale au sein des rédactions de Mediapart et "Libération", qui ont révélé l’affaire.

C’est un travail de plusieurs jours". Fabrice Arfi, journaliste d’investigation à Mediapart, reste vague sur le jour où les journalistes ont réussi à obtenir les documents top secrets de l’agence de renseignement américaine (NSA), de la part de WikiLeaks. Idem du côté de "Libération" : "On ne peut pas indiquer la date précise pour des raisons de sécurité. Moins on en dit, mieux c’est", explique Johan Hufnagel, numéro deux du journal. Making off d'une affaire d'espionnage qui est aussi une histoire de médias. # Le choix des médias
"Ca fait moins d’une semaine" que les deux rédactions détiennent ces documents. Côté Mediapart, Fabrice Arfi raconte :

WikiLeaks était en contact depuis quelque temps avec l’un de nos rédacteurs, et les choses se sont faites naturellement."
Côté "Libération", on dit avoir été approché par un journaliste free-lance qui a fait le lien avec le célèbre site web lanceur d’alerte.

Ce sont donc Mediapart et "Libération" qui ont été choisis pour assurer le grand retour sur scène de WikiLeaks. Pourquoi pas "Le Monde", habitué des avant-premières du site de Julian Assange (documents secrets de la guerre en Irak, télégrammes diplomatiques américains...) ? Johan Hufnagel explique :

Notre travail est très lisible au sujet de la loi renseignement. On s’est positionné, on a recruté des journalistes spécialisés, et je pense que ça a probablement aidé WikiLeaks à faire son choix."# Des vérifications méticuleuses
Les équipes se sont très vite mobilisées. "Une bonne dizaine de personnes" pour Mediapart. Certains travaillent de chez eux, d’autres arrivent très tôt le matin et repartent tard dans la soirée. Fabrice Arfi :

On a eu des très grosses journées, et peu de temps pour dormir."
A "Libération", l'ambiance est aussi particulière. "On était une dizaine aussi. Puis ça s’est élargi. Mais tout est resté confidentiel", détaille Hufnagel. Les journalistes concernés ne peuvent pas divulguer les sujets de leurs articles à leurs collègues. "Trop risqué".

Si la charge de travail est lourde, le climat est "génial" à Mediapart. Tout comme à "Libé" :

C’est hyper excitant de travailler sur des documents classés secrets. C’est exceptionnel."
"Ce sont des moments formidables qui créent un collectif très soudé", estime Fabrice Arfi.

Les tâches sont réparties en toute discrétion, et en fonction des spécialités des rédacteurs. "La rubrique internationale s’attaque aux sujets 'Etats-Unis'. Les journalistes politiques s’occupent des articles sur Nicolas Sarkozy ou François Hollande", précise Fabrice Arfi. Toute information donnée par les documents bruts - notes de synthèse de la NSA, extrait de base de données - est recoupée.

On doit identifier les sigles utilisés par la NSA, vérifier les dates des entrevues dont parle les documents. On regarde si tel président a bien rencontré telle personne le jour J, ce qui crédibilise la conversation rapportée par la NSA."
Autre vérification : les téléphones portables qui figurent dans l’extrait de la base de données de la NSA et qui sont censés appartenir à des ministres, anciens hauts fonctionnaires, ou encore des diplomates. "On a comparé les numéros avec ceux que l’on avait déjà, ou alors on s’est assuré qu’ils étaient corrects", explique Fabrice Arfi.

# Un timing militant
La plupart des journalistes de Mediapart sont restés en contact permanent avec leurs confrères de "Libération". Afin d’éviter les "mauvaise manières", et donc s’accorder sur les sujets qui vont tomber. Le mardi midi, quelques heures avant que ces révélations affolent le net, les journalistes du pure player rejoignent les locaux du quotidien, dans le 3e arrondissement de Paris. "Qui appelle qui ? Va-t-on aux rendez-vous ensemble ?", les questions de logistiques sont abordées.

La date de publication, en revanche, est "arrivée assez tôt dans les discussions", indique Johan Hufnagel. Les articles seront publiés mardi soir. Coup d’envoi : 22 heures. Un rapport avec le projet de loi sur le renseignement voté le lendemain après-midi ? "Disons que c’est une bonne coïncidence !", s’amuse "Libération". "La décision a été tripartite", explique Fabrice Arfi.

http://actualites.nouvelobs.com/esp...a-_-edito&from=wm#xtor=EREC-210-[WM]-20150625

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Selon des documents "Top Secret" de la NSA divulgués par WikiLeaks, Mediapart et "Libération", les Etats-Unis ont espionné les trois derniers présidents français et certains de leurs collaborateurs.

Des documents classés "Top Secret" destinés à des responsables de la NSA et de la communauté américaine du renseignement. Des comptes-rendus provenant du bureau des "Summary Services", ou "service des synthèses". Sans révélation fracassante, mais qui prouvent que les Etats-Unis, au moins de 2006 à mai 2012, ont été jusqu'à écouter les conversations privées des présidents français et de certains de leurs collaborateurs.

Ces documents, obtenus par Wikileaks qui les a regroupés sous le titre "Espionnage Elysée", consistent notamment en cinq rapports d'analyse de la NSA, ont expliqué mercredi 24 juin "Libération" et Mediapart qui les révèlent. Quel est le rôle de la NSA ? Comment fonctionne WikiLeaks ? Qu'est devenu Julian Assange, son fondateur ?

# La NSA, c'est quoi ?

Le plus grand centre d'interception des Etats-Unis

La très puissante autant que discrète NSA, pour National Security Agency (Agence nationale de sécurité) est une des 17 agences de renseignement des Etats-Unis, et pas la moindre.

Créée en 1952 sur la base de l'AFSA (Armed Secret Forces Services) pour empêcher un nouveau Pearl-Harbor, elle est rattachée au département de la Défense. Son siège est à Fort Meade (Maryland), mais elle a inauguré à l'automne 2013 un énorme "data center" à Bluffdale (Utah), qui est le plus grand centre d'interception des communications des Etats-Unis. Prix estimé : 2 milliards de dollars.

La NSA surveille et protège les communications, chiffre et sécurise les informations confidentielles des Américains dans le monde, intercepte et décrypte les messages de puissances étrangères,... Elle assure la sécurité des systèmes informatiques et des données du gouvernement, tout en assurant un rôle de surveillance d'Internet au niveau mondial.


Son credo : l'ultra-discrétion

Celle qu'on a surnommée "No Such Agency" ("une telle agence n'existe pas") ne fut officiellement reconnue que cinq ans après sa création. Elle a toujours exigé un niveau de secret maximal. Encore renforcé après les attentats du 11-septembre 2001.


10 milliards de dollars de budget

On ignore de quels moyens la NSA dispose précisément. En 2013, "Le Monde" évoquait toutefois des "dizaines de milliers d'employés" et un budget annuel avoisinant les 10 milliards de dollars.


Edward Snowden, réfugié en Russie

En juin 2013, scandale. Les révélations du jeune lanceur d'alerte Edward Snowden, ancien consultant de la CIA et ancien collaborateur de la NSA, mettent à jour, preuves à l'appui, les pratiques sans limite de l'agence, concernant la surveillance d'Internet, des téléphones portables et autres moyens de communication.

Des articles publiés en juin 2013 par le "Guardian" et le "Washington Post" révèlent que la NSA - et le FBI - collecte et analyse depuis des années les données en ligne de millions de citoyens aux Etats-Unis et dans le monde. Notamment via son programme Prism, censé contribuer à la lutte contre le terrorisme, qui scanne les échanges via Facebook, Google, YouTube... Edward Snowden, âgé de 32 ans, s'est depuis réfugié en Russie.


Plus de 70 millions d'enregistrements de données téléphoniques françaises

Selon les documents du même Edward Snowden, entre décembre 2012 et janvier 2013, plus de 70 millions d'enregistrements de données téléphoniques françaises ont été réalisés par la NSA.


Des pouvoirs limités depuis juin 2015

Début juin 2015, la NSA a perdu une partie de ses outils avec l'adoption par le Congrès américain d'une réforme de la collecte des données téléphoniques. A l'issue de plusieurs jours d'intenses tractations, le Sénat a donné son feu vert à l'USA Freedom Act, une législation ayant pour objectif de limiter le programme de la NSA en matière de collecte des métadonnées des appels téléphoniques (heure, durée, numéro appelé). C'était la plus critiquée des mesures de surveillance mises en place dans le cadre du Patriot Act, voté juste après le 11-Septembre.

# Et WikiLeaks alors ?

Un site pour les documents qui fuitent

Lancé fin 2006 par l'Américain John Young et l'Australien Julian Assange, Wikileaks.org est un site internet participatif qui publie des documents confidentiels provenant de fuites ("leaks") dont il veille à préserver l'anonymat.


Son credo : la transparence

Le site, qui prône la transparence, invite à se manifester "tous les responsables publics, bureaucrates, employés d'entreprise qui ont connaissance d'informations gênantes, que leur institution cherche à dissimuler mais que le public doit connaître".


Quelques employés et des donateurs

Obscur. Selon les propos de Julian Assange au "Guardian" en juillet 2010, le site disposait de cinq employés à temps plein et d'une quarantaine de personnes "contribuant très régulièrement". Peu après, Reporters sans frontières, entre autres, dénonce son irresponsabilité après qu'ont été publiés les noms de civils irakiens aidant les Etats-Unis.

Le site, qui vit grâce à ses donateurs, travaille ensuite en collaboration avec différents grands quotidiens étrangers de référence. "The Guardian", "Der Spiegel", le "New York Times". Puis "Le Monde" et "El Pais". Concernant les informations de ce mardi, Mediapart et "Libération."


Dutroux, Afghanistan, Sony...

Le site publie son premier document en décembre 2006 : une note concernant un ordre d’assassinat politique en Somalie. En juillet 2009, c'est le rapport d'enquête de l'affaire Dutroux. Un an plus tard, WikiLeaks se fait connaître du grand public en diffusant des documents militaires américains sur les guerres en Afghanistan et en Irak. Notamment la vidéo, en avril 2010, d'une bavure américaine en Irak. Pour les renseignements américains, qui rédigent un rapport suggérant sa fermeture, le site représente "une menace envers l'armée américaine".

Le site publiera ensuite, entre autres, plus de 90.000 documents sur la guerre en Afghanistan. En décembre 2014, il a divulgué des manuels de la CIA pour agents en opération. Plus récemment, des documents volés à la société Sony Pictures par des pirates informatiques anonymes. La publication la plus emblématique reste cependant celle, en 2010, de 700.000 documents diplomatiques fournis par un jeune soldat américain, Bradley Manning.

.../...
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
.../... suite et fin


Le cas Chelsea (ex-Bradley) Manning

En août 2013, le soldat de deuxième classe a été condamné à 35 ans de prison. Il a été reconnu coupable d'espionnage pour avoir transmis à WikiLeaks plus de 700.000 documents. "Je suis désolé d'avoir fait du mal à des gens. Je suis désolé d'avoir fait du tort aux Etats-Unis", a-t-il déclaré au tribunal militaire chargé de le juger. Elle s'appelle désormais Chelsea.


Julian Assange, réfugié à l'ambassade d'Equateur à Londres

Personnalité trouble et énigmatique, l'ex-hacker, cofondateur et porte-parole de Wikileaks a été arrêté en décembre 2010 par la police britannique. Deux Suédoises l'accusent de viols et agressions sexuelles, ce qu'il nie. Il est réfugié dans l'ambassade d'Equateur à Londres depuis trois ans maintenant. Il craint, s'il se rend en Suède, d'être extradé vers les Etats-Unis pour y répondre des publications sur son site de ces milliers de documents classés secret défense. S'il est vivement critiqué par certains, il bénéficie par ailleurs de nombreux soutiens.

Céline Rastello

mam
 
Tu ne sais pas a quel point t'as raison! :)

Sur le toit de l'ambassade US a Berlin se trouverait une station d'ecoute de la NSA dirigee contre les institutions politiques (parlement, ministeres, ...). Lorsque les officiels allemands ont demande de visiter cette installation presumee, ils se sont vu refuse poliment mais fermement ce privilege. On peut donc penser qu'il n'y a pas de fumee sans feu.

Pour l'ambassade US a Paris, ca pourrait etre pareil...

Je sais :D

C'est certainement le cas pour l'ambassade US à Paris aussi
C'est pas pour rien que tu ne trouveras aucune ambassade à des kilomètres à la ronde autour de la maison blanche, pas folle la guêpe
 
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