Yasmina Baddou va devoir expliquer comment elle a payé ses deux appartements parisien

Batboutatoune

Btibita au miel
VIB
L’Instance nationale de protection des biens publics (INPBPM), une association marocaine créée en 2006 et dont la raison d’être, comme l’indique son nom, est la « protection des biens publics », va déposer lundi prochain, 21 janvier, une plainte contre l’ancienne ministre istiqlalienne de la santé Yasmina Baddou pour l’achat de deux appartements dans un quartier huppé de Paris, le 8e arrondissement de la capitale française.

Ces deux appartements ont coûté à l’ancienne ministre et à son mari, Ali Fassi-Fihri, l’actuel directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), et président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), la bagatelle de deux milliards de centimes (20 millions de DH, 1 700 000 euros).

Or, Yasmina Baddou, qui est avocate de profession, et son époux Ali Fassi Fihri, qui est fonctionnaire de l’Etat, ne peuvent pas prétendre avoir « économisé » cet argent. C’est impossible avec cette somme et leurs salaires sont connus. Ils ne peuvent pas non plus prétendre avoir touché un héritage. Aucun de leurs quatre parents n’était millionnaire à ce point.

Et même si c’était le cas, comment ont-ils fait pour faire sortir autant d’argent du Maroc pour payer ces deux appartements ? L’Office des changes, le seul organisme marocain qui autorise ce genre de transactions, a-t-il donné son accord ?

C’est tout cet imbroglio que doit démêler, s’il reçoit bien entendu le feu vert d’en haut, le procureur général auprès de la cour d’appel de Rabat qui devrait recevoir la plainte lundi.

A titre de rappel, on se souvient que quand Chakib El Khayari, le jeune président de l’Association Rif des droits de l’homme (ARDH), a dénoncé l’implication de certaines hautes autorités dans l’endémique trafic de drogue dans le nord du Maroc, la justice et l’administration des Douanes marocaines l’avaient poursuivi pour « infraction au code des changes et dépôt de fonds dans une banque étrangère sans l’autorisation de l’Office des changes ». En fait il s’agissait de la misérable somme de 200 euros (un peu plus de 2 000 DH…) touchés par El Khayari pour son travail de « fixer » (accompagnateur) pour un quotidien espagnol. Aucune comparaison avec les deux milliards de Yasmina.

La justice et l’administration des douanes marocaines vont-elles se montrer avec Yasmina Baddou et Ali Fassi-Fihri aussi zélées qu’elles l’ont été avec Chakib El Khayari ?

URL courte: http://www.demainonline.com/?p=24390
 

Tharbat

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L’Instance nationale de protection des biens publics (INPBPM), une association marocaine créée en 2006 et dont la raison d’être, comme l’indique son nom, est la « protection des biens publics », va déposer lundi prochain, 21 janvier, une plainte contre l’ancienne ministre istiqlalienne de la santé Yasmina Baddou pour l’achat de deux appartements dans un quartier huppé de Paris, le 8e arrondissement de la capitale française.

Ces deux appartements ont coûté à l’ancienne ministre et à son mari, Ali Fassi-Fihri, l’actuel directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), et président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), la bagatelle de deux milliards de centimes (20 millions de DH, 1 700 000 euros).

Or, Yasmina Baddou, qui est avocate de profession, et son époux Ali Fassi Fihri, qui est fonctionnaire de l’Etat, ne peuvent pas prétendre avoir « économisé » cet argent. C’est impossible avec cette somme et leurs salaires sont connus. Ils ne peuvent pas non plus prétendre avoir touché un héritage. Aucun de leurs quatre parents n’était millionnaire à ce point.

Et même si c’était le cas, comment ont-ils fait pour faire sortir autant d’argent du Maroc pour payer ces deux appartements ? L’Office des changes, le seul organisme marocain qui autorise ce genre de transactions, a-t-il donné son accord ?

C’est tout cet imbroglio que doit démêler, s’il reçoit bien entendu le feu vert d’en haut, le procureur général auprès de la cour d’appel de Rabat qui devrait recevoir la plainte lundi.

A titre de rappel, on se souvient que quand Chakib El Khayari, le jeune président de l’Association Rif des droits de l’homme (ARDH), a dénoncé l’implication de certaines hautes autorités dans l’endémique trafic de drogue dans le nord du Maroc, la justice et l’administration des Douanes marocaines l’avaient poursuivi pour « infraction au code des changes et dépôt de fonds dans une banque étrangère sans l’autorisation de l’Office des changes ». En fait il s’agissait de la misérable somme de 200 euros (un peu plus de 2 000 DH…) touchés par El Khayari pour son travail de « fixer » (accompagnateur) pour un quotidien espagnol. Aucune comparaison avec les deux milliards de Yasmina.

La justice et l’administration des douanes marocaines vont-elles se montrer avec Yasmina Baddou et Ali Fassi-Fihri aussi zélées qu’elles l’ont été avec Chakib El Khayari ?

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et pas de " 3afa Allaho 3amma salaf" Allah yedi3likoum :fou:
 
A ces prix-là, vue le prix de l’immobiliers en France surtout dans les quartiers huppés, ça ne doit pas être non plus des appartements de haut standing
 
comment ont-ils fait pour faire sortir autant d’argent du Maroc pour payer ces deux appartements ? L’Office des changes, le seul organisme marocain qui autorise ce genre de transactions, a-t-il donné son accord ?
C'est ce point qui me dérange, L'office est très souple avec les haut placés et très sévère avec le citoyen lambda.

Et Si les joueurs touchent des millions, pourquoi Fassi Fihri ne mérite pas les deux ptit appart à Paris ??
Ceci sans aucun résultat en Foot, j'imagine qu'il aurait une Villa sur la côte d'Azur si l'équipe nationale a gagné une coupe d'Afrique.
d'un autre côté, les contrat publiques d'achat de médocs, de vaccin et d'équipement tout passe par le Ministère de santé. et en grande partie ca provient de la France.
 

_coucou

Athée grace à Dieu !
VIB
L’Instance nationale de protection des biens publics (INPBPM), une association marocaine créée en 2006 et dont la raison d’être, comme l’indique son nom, est la « protection des biens publics », va déposer lundi prochain, 21 janvier, une plainte contre l’ancienne ministre istiqlalienne de la santé Yasmina Baddou pour l’achat de deux appartements dans un quartier huppé de Paris, le 8e arrondissement de la capitale française.

Ces deux appartements ont coûté à l’ancienne ministre et à son mari, Ali Fassi-Fihri, l’actuel directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), et président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), la bagatelle de deux milliards de centimes (20 millions de DH, 1 700 000 euros).

Or, Yasmina Baddou, qui est avocate de profession, et son époux Ali Fassi Fihri, qui est fonctionnaire de l’Etat, ne peuvent pas prétendre avoir « économisé » cet argent. C’est impossible avec cette somme et leurs salaires sont connus. Ils ne peuvent pas non plus prétendre avoir touché un héritage. Aucun de leurs quatre parents n’était millionnaire à ce point.

Et même si c’était le cas, comment ont-ils fait pour faire sortir autant d’argent du Maroc pour payer ces deux appartements ? L’Office des changes, le seul organisme marocain qui autorise ce genre de transactions, a-t-il donné son accord ?

C’est tout cet imbroglio que doit démêler, s’il reçoit bien entendu le feu vert d’en haut, le procureur général auprès de la cour d’appel de Rabat qui devrait recevoir la plainte lundi.

A titre de rappel, on se souvient que quand Chakib El Khayari, le jeune président de l’Association Rif des droits de l’homme (ARDH), a dénoncé l’implication de certaines hautes autorités dans l’endémique trafic de drogue dans le nord du Maroc, la justice et l’administration des Douanes marocaines l’avaient poursuivi pour « infraction au code des changes et dépôt de fonds dans une banque étrangère sans l’autorisation de l’Office des changes ». En fait il s’agissait de la misérable somme de 200 euros (un peu plus de 2 000 DH…) touchés par El Khayari pour son travail de « fixer » (accompagnateur) pour un quotidien espagnol. Aucune comparaison avec les deux milliards de Yasmina.

La justice et l’administration des douanes marocaines vont-elles se montrer avec Yasmina Baddou et Ali Fassi-Fihri aussi zélées qu’elles l’ont été avec Chakib El Khayari ?

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comme disait un taxi au Maroc " il y a des problèmes de délinquance au Maroc"

j'ai l'impression qu'on ne parlait pas de la même chose :D

bel article, beau parallèle:cool:
on attend la suite
 

_coucou

Athée grace à Dieu !
VIB
C'est ce point qui me dérange, L'office est très souple avec les haut placés et très sévère avec le citoyen lambda.

Et Si les joueurs touchent des millions, pourquoi Fassi Fihri ne mérite pas les deux ptit appart à Paris ??
Ceci sans aucun résultat en Foot, j'imagine qu'il aurait une Villa sur la côte d'Azur si l'équipe nationale a gagné une coupe d'Afrique.
d'un autre côté, les contrat publiques d'achat de médocs, de vaccin et d'équipement tout passe par le Ministère de santé. et en grande partie ca provient de la France.
oui
c'est justement ce qui doit inquiéter beaucoup de monde, cette relation ministère de la santé <=> milliards

c'est inquiétant !
 
Elle va se justifier en disant qu elle a hérité de sa grand-mere maternelle qui etait
trader devises à la bourse de New-york et qui a fait fortune dans le commerce de
diamant dans le Congo belge...

Ou alors elle va dire qu elle a gagné au loto...
 
Benky dira :D : Pas de vengeance, pas de calculs nous pardonnons les actions de ce couple dévié et de tous les autres que nous connaissons ,. Cherchons de prier pour lui. La justice divine & plus efficace…AMEN :D


On peut pardonner tout en saisisant la justice francaise pour qu elle lance une enquete
pour "bien mal acquis".

Actuellement il y a certaines affaires de bien mal acquis concernant des potentats africain..

C’est l’affaire dite des « biens mal acquis » qui vise feu Omar Bongo (Gabon), Denis Sassou Nguesso (Congo) et Teodoro Obiang Nguema (Guinée-Equatoriale)

voila le lien :http://www.ecrans.fr/Des-Biens-mal-acquis-qui-croyaient,15806.html
 

SynthaxError

Un chleuh dans la kasbah
VIB
L’Instance nationale de protection des biens publics (INPBPM), une association marocaine créée en 2006 et dont la raison d’être, comme l’indique son nom, est la « protection des biens publics », va déposer lundi prochain, 21 janvier, une plainte contre l’ancienne ministre istiqlalienne de la santé Yasmina Baddou pour l’achat de deux appartements dans un quartier huppé de Paris, le 8e arrondissement de la capitale française.

Ces deux appartements ont coûté à l’ancienne ministre et à son mari, Ali Fassi-Fihri, l’actuel directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), et président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), la bagatelle de deux milliards de centimes (20 millions de DH, 1 700 000 euros).

Or, Yasmina Baddou, qui est avocate de profession, et son époux Ali Fassi Fihri, qui est fonctionnaire de l’Etat, ne peuvent pas prétendre avoir « économisé » cet argent. C’est impossible avec cette somme et leurs salaires sont connus. Ils ne peuvent pas non plus prétendre avoir touché un héritage. Aucun de leurs quatre parents n’était millionnaire à ce point.

Et même si c’était le cas, comment ont-ils fait pour faire sortir autant d’argent du Maroc pour payer ces deux appartements ? L’Office des changes, le seul organisme marocain qui autorise ce genre de transactions, a-t-il donné son accord ?

C’est tout cet imbroglio que doit démêler, s’il reçoit bien entendu le feu vert d’en haut, le procureur général auprès de la cour d’appel de Rabat qui devrait recevoir la plainte lundi.

A titre de rappel, on se souvient que quand Chakib El Khayari, le jeune président de l’Association Rif des droits de l’homme (ARDH), a dénoncé l’implication de certaines hautes autorités dans l’endémique trafic de drogue dans le nord du Maroc, la justice et l’administration des Douanes marocaines l’avaient poursuivi pour « infraction au code des changes et dépôt de fonds dans une banque étrangère sans l’autorisation de l’Office des changes ». En fait il s’agissait de la misérable somme de 200 euros (un peu plus de 2 000 DH…) touchés par El Khayari pour son travail de « fixer » (accompagnateur) pour un quotidien espagnol. Aucune comparaison avec les deux milliards de Yasmina.

La justice et l’administration des douanes marocaines vont-elles se montrer avec Yasmina Baddou et Ali Fassi-Fihri aussi zélées qu’elles l’ont été avec Chakib El Khayari ?

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D'après certaines source, la meuf se serait évanouie après avoir lu dans un journal marocain qu'ils ont découvert que le couple avait 2 appartements en plein Paris, quartier bourgeois...

Ca veut tout dire...

Ce qui en gras sur la citation montre qu'ils vont s'en tirer, le dossier sera clot comme bon nombre d'affaires étouffés. Seuls les petit s'en prennent plein la gueule et ce pour des sommes dérisoires de 200€ :prudent:
 
Vous vous croyez en Scandinavie ou quoi ! Dans un pays du tiers-monde comme le Maroc, ce sont les pauvres qui paient et non les voleurs de l'Etat ! Madame BADDOU continue à viv re tranquillement, ses enfants étudient à Paris et occupent les Villas qu'elle a achetés avec je ne sais quel argent !

Continuez à rêver qu'elle sera jugée par le Makhzen !
 
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