Zacharie, l’enfant aurait été bien soigné selon l’ars.

Après enquête l’Agence Régionale de la Santé, conclue dans un communiqué qu’il n’y a pas eu de dysfonction dans la prise en charge du jeune Zacharie, décédé à l’hôpital quelques heures après une admission mouvementée et un calvaire subi par le petit malade et ses parents.
Pour l’ARS le protocole de prise en charge a été respecté, au niveau du SAMU, où le médecin coordinateur après avoir t entendu la mère lui conseilla d’aller dans un service d’urgence pour faire examiner son enfant, puis à l’hôpital ou le petit avait été pris en charge par une équipe composée de nombreux médecins.

Jugement hallucinant qui remet en question la définition même de l’urgence et le rôle du SAMU. Est une urgence tout cas qui peut évoluer de façon imprévisible et cataclysmique qui sitôt diagnostiquer dans être pris en charge par des médecins formés pour dans les délais les plus brefs. Le SAMU a été créé pour cela. Un coordinateur qui est en présence d’un de ces cas est tenu à mettre en branle la prise en charge. Soit le SMUR, une équipe médicale qui part immédiatement au domicile du malade ou selon le cas, une ambulance médicalisée ou les pompiers. Un urgentiste qui commande la chaine prévue, qui au bout du fil vous conseille d’aller consulter un autre service d’urgence commet une faute grave en ôtant au malade ses chances de survie.
 
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