L’homme de 54 ans a reconnu les faits et a été mis en examen
L’ancien candidat de jeux télévisés Christian Quesada, grand gagnant des "12 coups de midi" sur TF1, a été mis en examen et écroué mercredi pour "corruption de mineur" et "détention et diffusion d’images pédopornographiques". L’homme de 54 ans, qui avait été placé en garde à vue lundi, a reconnu les faits. Il a été placé en détention provisoire à l’issue de sa mise en examen.
"Des centaines d’images et vidéos compromettantes de mineurs et d’enfants subissant des viols et agressions sexuelles, qu’il échangeait avec d’autres internautes, ont été retrouvées sur ses ordinateurs", indique le procureur de la République de Bourg-en-Bresse Christophe Rode. "Il se rend compte de gravité des faits mais explique avoir seulement consulté ces images et n’avoir jamais commis d’agression sexuelle", précise le magistrat.
Les enquêteurs sont remontés jusqu’à lui suite à la plainte d’une jeune fille mineure qui expliquait avoir dialogué sur internet avec un autre personne se faisant passer pour un mineur. "Il lui demandait de se dévêtir, de lui envoyer des photos dénudées et lui a fait des propositions ouvertement sexuelles", ajoute le magistrat.
Le parisien
L’ancien candidat de jeux télévisés Christian Quesada, grand gagnant des "12 coups de midi" sur TF1, a été mis en examen et écroué mercredi pour "corruption de mineur" et "détention et diffusion d’images pédopornographiques". L’homme de 54 ans, qui avait été placé en garde à vue lundi, a reconnu les faits. Il a été placé en détention provisoire à l’issue de sa mise en examen.
"Des centaines d’images et vidéos compromettantes de mineurs et d’enfants subissant des viols et agressions sexuelles, qu’il échangeait avec d’autres internautes, ont été retrouvées sur ses ordinateurs", indique le procureur de la République de Bourg-en-Bresse Christophe Rode. "Il se rend compte de gravité des faits mais explique avoir seulement consulté ces images et n’avoir jamais commis d’agression sexuelle", précise le magistrat.
Les enquêteurs sont remontés jusqu’à lui suite à la plainte d’une jeune fille mineure qui expliquait avoir dialogué sur internet avec un autre personne se faisant passer pour un mineur. "Il lui demandait de se dévêtir, de lui envoyer des photos dénudées et lui a fait des propositions ouvertement sexuelles", ajoute le magistrat.
Le parisien