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36, quai des orfèvres : non-lieu général dans l'affaire de viol présumé
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[QUOTE="Drianke, post: 16123033, member: 174325"] [B]Viol au «36»: 7 ans de prison requis contre les deux policiers[/B] [B][/B] [B][/B] L'avocat général estime que les accusés ont «chosifié la plaignante. La défense, elle, plaide l'acquittement. Verdict ce jeudi. À l'issue de trois semaines d'une audience brouillardeuse où la cour d'assises a exploré, à tâtons, le sordide dossier du viol présumé d'une touriste canadienne au siège de la PJ parisienne, l'avocat général se lève. Son long réquisitoire (trois heures) présente l'immense mérite d'offrir, enfin, une clarté aux jurés. Certes, émanant du ministère public, la lumière désigne la prison pour les deux accusés, Antoine Q. et Nicolas R. Mais la pensée implacable de Philippe Courroye rend la partie très difficile pour la défense, qui ne peut plus se contenter de plaider la stérilité des débats. L'avocat général affirme avoir pesé «au trébuchet et en toute impartialité» les éléments de la procédure. Il ne feint pas d'ignorer la «personnalité non linéaire» de la partie civile, Emily S., qui n'a «pas le vécu d'une jeune fille rangée». Mais, très vite, il entraîne la cour au Galway, le pub où les protagonistes se sont rencontrés le 22 avril 2014 au soir. Ce sont bien les fonctionnaires de la BRI, en goguette avec plusieurs collègues, qui abordent la jeune femme dans un rituel vulgaire de «drague de bar». Leur comportement? Celui de «mâles dominants en période de rut», fustige le magistrat, qui note qu'Emily S., si elle ne les éconduit pas, ne les provoque d'aucune manière. Quelques heures alcoolisées passent. Ils l'emmènent au 36, quai des Orfèvres, pour «aller plus loin et transformer l'essai en profitant de la vulnérabilité d'Emily S., qui a beaucoup bu. Leur bureau, c'est une citadelle d'impunité: une fois entrés, le pont-levis est fermé». Cinq versions des faits Pourquoi faut-il croire la plaignante, interroge M. Courroye? Parce qu'elle a dénoncé immédiatement les faits, une fois redescendue au rez-de-chaussée du «36». Elle était alors en «état de choc». Par la suite, elle ne variera pas sur le fond: elle a bien été violée par plusieurs policiers, dans deux bureaux de la BRI situés au 5e étage. L'ADN, bien qu'il ne soit pas aussi déterminant que dans d'autres affaires, permet d'établir l'existence de relations sexuelles. La téléphonie aussi, que ce soit au travers de SMS préservés ou de contenus effacés dont on ne peut que déduire le contenu compromettant. «C'est une touseuse [partouzeuse], dépêche», écrit Nicolas R. à un troisième collègue alors qu'Emily S. est au 5e étage. «Antoine, Nico et Gamin [sobriquet de ce fonctionnaire non poursuivi] ont monté une gonzesse pour la fourrer sauf qu'elle dit que c'est un viol», échangent deux autres................................. [URL]http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/01/30/01016-20190130ARTFIG00315-viol-au-36-7-ans-de-prison-requis-contre-les-deux-policiers.php[/URL] [/QUOTE]
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