36, quai des orfèvres : non-lieu général dans l'affaire de viol présumé

Ente "potes" on s'entraide n'est ce pas ?
La justice des riches et des pauvres mais l'Autre n'oublie rien du tout .
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L'affaire ne sera pas jugée devant une cour d'assises. Ce mercredi matin, dans leur ordonnance, les juges d'instruction chargés du dossier du viol présumé au 36 quai des Orfèvres ont décidé d'un non-lieu général. Le parquet avait requis que cette affaire soit renvoyée aux assises pour que deux des fonctionnaires de la BRI incriminés soient jugés pour “viol en réunion”. Il a encore la possibilité de faire appel, mais ne s'est pas encore prononcé à ce propos.
En avril 2014, une touriste canadienne avait accusé des policiers de l'avoir violée au sein même du 36, quai des Orfèvres, siège légendaire et centenaire de la police judiciaire parisienne. Deux hommes de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) ont été mis en examen pour viol en réunion et placés sous contrôle judiciaire. L'un d'eux avait reconnu une relation sexuelle consentie mais contesté “fermement” tout viol, l'autre avait démenti tout rapport.
Une vaste opération de prélèvements ADN
Le 22 avril 2014, dans un pub irlandais en face du siège de la police judiciaire parisienne, le fameux 36, quai des Orfèvres, des policiers de la BRI s'étaient liés avec la jeune femme. En pleine nuit, les fonctionnaires, qui n'étaient pas en service, lui avaient fait visiter les locaux du “36”. Un peu plus tard, elle en était ressortie en larmes, extrêmement choquée. Elle avait porté plainte pour viol.
Des empreintes génétiques des deux mis en examen avaient été retrouvées sur les sous-vêtements de la jeune femme, ainsi qu'une troisième, inconnue. Une vaste opération de prélèvements ADN sur des fonctionnaires de la PJ avait eu lieu en septembre 2015, mais n'avait rien donné. L'analyse des téléphones portables des suspects a affaibli leur défense, des vidéos et textos “explicites” ayant disparu, selon des sources proches du dossier.
l'express
 
Il a encore la possibilité de faire appel, mais ne s'est pas encore prononcé à ce propos.

"Le parquet de Paris a fait appel, après le non-lieu général prononcé mercredi par les juges, pour les deux policiers de la BRI poursuivis pour le viol d'une touriste canadienne il y a deux ans. L'avocate de la victime présumée, Maître Sophie Obadia va elle aussi faire appel de cette décision "totalement ahurissante", selon elle."
http://www.franceinfo.fr/fil-info/a...alement-ahurissante-pour-maitre-obadia-807147
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Viol au «36»: 7 ans de prison requis contre les deux policiers



L'avocat général estime que les accusés ont «chosifié la plaignante. La défense, elle, plaide l'acquittement. Verdict ce jeudi.

À l'issue de trois semaines d'une audience brouillardeuse où la cour d'assises a exploré, à tâtons, le sordide dossier du viol présumé d'une touriste canadienne au siège de la PJ parisienne, l'avocat général se lève. Son long réquisitoire (trois heures) présente l'immense mérite d'offrir, enfin, une clarté aux jurés. Certes, émanant du ministère public, la lumière désigne la prison pour les deux accusés, Antoine Q. et Nicolas R. Mais la pensée implacable de Philippe Courroye rend la partie très difficile pour la défense, qui ne peut plus se contenter de plaider la stérilité des débats.

L'avocat général affirme avoir pesé «au trébuchet et en toute impartialité» les éléments de la procédure. Il ne feint pas d'ignorer la «personnalité non linéaire» de la partie civile, Emily S., qui n'a «pas le vécu d'une jeune fille rangée». Mais, très vite, il entraîne la cour au Galway, le pub où les protagonistes se sont rencontrés le 22 avril 2014 au soir. Ce sont bien les fonctionnaires de la BRI, en goguette avec plusieurs collègues, qui abordent la jeune femme dans un rituel vulgaire de «drague de bar». Leur comportement? Celui de «mâles dominants en période de rut», fustige le magistrat, qui note qu'Emily S., si elle ne les éconduit pas, ne les provoque d'aucune manière.

Quelques heures alcoolisées passent. Ils l'emmènent au 36, quai des Orfèvres, pour «aller plus loin et transformer l'essai en profitant de la vulnérabilité d'Emily S., qui a beaucoup bu. Leur bureau, c'est une citadelle d'impunité: une fois entrés, le pont-levis est fermé».

Cinq versions des faits
Pourquoi faut-il croire la plaignante, interroge M. Courroye? Parce qu'elle a dénoncé immédiatement les faits, une fois redescendue au rez-de-chaussée du «36». Elle était alors en «état de choc». Par la suite, elle ne variera pas sur le fond: elle a bien été violée par plusieurs policiers, dans deux bureaux de la BRI situés au 5e étage. L'ADN, bien qu'il ne soit pas aussi déterminant que dans d'autres affaires, permet d'établir l'existence de relations sexuelles. La téléphonie aussi, que ce soit au travers de SMS préservés ou de contenus effacés dont on ne peut que déduire le contenu compromettant. «C'est une touseuse [partouzeuse], dépêche», écrit Nicolas R. à un troisième collègue alors qu'Emily S. est au 5e étage. «Antoine, Nico et Gamin [sobriquet de ce fonctionnaire non poursuivi] ont monté une gonzesse pour la fourrer sauf qu'elle dit que c'est un viol», échangent deux autres.................................

http://www.lefigaro.fr/actualite-fr...e-prison-requis-contre-les-deux-policiers.php
 
Jeudi 31 janvier au soir, deux policiers dormiront en prison. Dans l'affaire du viol au 36 quai des Orfèvres, le jury a suivi le réquisitoire et a condamné les deux membres de la BRI à sept années de prison ferme. "À l'énoncée du verdict, les deux hommes se sont effondrés en larmes dans les bras de leur avocat. Juste derrière, la victime stoïque semble ne pas avoir réagi. Jusqu'au bout, ce procès aura été un procès hors normes", raconte Valérie Perez en duplex depuis le palais de justice de Paris.

"Une femme qui a été violée n'a pas à se justifier"
"C'est une déception, c'est une erreur judiciaire, on va faire appel dès demain", clamait de son côté Anne-Laure Compoint, avocate d'un des policiers. "C'est une décision juste qui a été rendue ce soir", estime de son côté Sophie Obadia, avocate de la plaignante. "Enfin en France, on considère qu'une femme qui a été violée n'a pas à se justifier sur sa vie privée. La Cour a considéré que madame Spanton n'avait pas menti, qu'elle n'est pas mythomane", a-t-elle ajouté.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
[…]
"Une femme qui a été violée n'a pas à se justifier"

"C'est une déception, c'est une erreur judiciaire, on va faire appel dès demain", clamait de son côté Anne-Laure Compoint, avocate d'un des policiers. "C'est une décision juste qui a été rendue ce soir", estime de son côté Sophie Obadia, avocate de la plaignante. "Enfin en France, on considère qu'une femme qui a été violée n'a pas à se justifier sur sa vie privée. La Cour a considéré que madame Spanton n'avait pas menti, qu'elle n'est pas mythomane", a-t-elle ajouté.
L’accusation de viol a pourtant comme cadre, la vie privée. Pourquoi ne pas interdire de faire parler de ce qu’on a à son domicile en cas de plainte pour cambriolage, temps qu’on y est. Je ne sais pas qui a tord ou raison ici, mais cette phrase sent la diarrhée. Ça me fait penser à ce qu’il est en train de se passer au Canada et a manqué de se passer au Royaume‑Uni ; on est sur la même pente en france, avec la même disposition de la populace à considérer qu’un accusé de viol qui se défend, c’est suspect, que les preuves de son innocence sont des pièges ayant pour but l’apologie du viol, que l’accusation est une preuve suffisante, qu’elle ne se discute pas.

Il y a une relation entre la phrase que je souligne plus haut et celle que je souligne plus bas, pour les gens qui ne comprendraient pas de quoi je parle. La phrase est tirée de la vidéo plus bas, à 00:01:26.

La vidéo à dit:
The new law in Canada Bill‑C 51 recently passed by the Senate, will now require all those accused of sexual assault to produce their defence evidence in advance of trial.

For those defending in sexual assault charges in Canada, they can no longer wait for their day in court to show contradictions of evidence of consent that will catch their accuser off guard. You have a video of someone begging you for sex on the night you are accused of assault? It might not matter anymore.

Evidence of consent may now be blocked as a potential “rape myth”.
Après ça, certaines vont encore faire mine de se demander pourquoi leur remplacement par une nouvelle forme de vie est déjà amorcé …

Le culte féministe est vraiment un cancer de la société, comme disent les anglo‑saxons.

 

Courir

Tas beau courir, Tu ne me rattrapes pas
VIB
Ce jugement n'est qu'une porte ouverte pour la justice
pour massacrer les suivants dont Tariq Ramadan
le tout est calculer d'avance !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Celui qui se sent l'âme d'un bandit, s'épanouira pleinement dans la police
Des bandits dont certains finissent par se tuer d’avoir été trop témoins des horreurs dont est capable la société ?

Il y a certes des ripoux dans la police ou des policiers qui ne valent pas mieux que les petits caïds, mais même si la présence de ces derniers n’est pas tolérable, il n’y a pas que ça. Après, la police, comme la politique, est peut‑être aussi un reflet de la société dans une certaine mesure, mais je ne peux pas en parler, je ne suis pas policier. Je dit seulement qu’en parler comme d’un repère de bandits, c’est de la diffamation.
 
Aussi, ce procès est celui d’une accusation de viol, pas le procès d’une profession.


Je n'accuse en rien la profession, ni les petits policiers qui en général sont des monsieurs tout le monde.

c'est un devoir de respecter cette institution, mais différentes affaires ont montré l'impunité dont jouissent certains de ses membres, et la muraille de fer à laquelle se heurte le citoyen lambda quand il est victime de l'un des leurs.
 
C’est des pervers leurs place etaient en taule depuis lgtps il meritaient meme pas de controle judiciaire, ces animaux, ces predateurs, ces laches, comment faire confiance a tous les PV que ces violeurs ont signes : saisi de stup, saisi d’argent etc... toute les enquetes ou ils on travaillee sentent la ***** maintenant.
 
@Hibou57 ta haine des feministes voir des femmes en général t'aveugle. Le dernier exemple en date va à contre sens de ce que tu avances...
Chris Brown (star américaine accusé de viol par une française) a été autorisé a rentrer chez lui tranquil.
Ils l'ont laissé car le dossier était trop léger.
Ça montre bien qu'on condamne pas quelqu'un en taule facilement pour viol en France.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
L'omerta dans la police, l'armée, la gendarmerie, l'éducation nationale et autres corporations c'est pas très nouveau....que ce soit pour les viols, les suicides, les harcèlements sexistes, sexuels etc.....

Je n'accuse en rien la profession, ni les petits policiers qui en général sont des monsieurs tout le monde.

c'est un devoir de respecter cette institution, mais différentes affaires ont montré l'impunité dont jouissent certains de ses membres, et la muraille de fer à laquelle se heurte le citoyen lambda quand il est victime de l'un des leurs.
 
@Hibou57 ta haine des feministes voir des femmes en général t'aveugle. Le dernier exemple en date va à contre sens de ce que tu avances...
Chris Brown (star américaine accusé de viol par une française) a été autorisé a rentrer chez lui tranquil.
Ils l'ont laissé car le dossier était trop léger.
Ça montre bien qu'on condamne pas quelqu'un en taule facilement pour viol en France.

Ses inepties sur le viol n'ont aucun sens , sa vision est complément déconnectée et déformee par son obsession névrotique de la femme , qu'il n'imagine qu'à travers le féminisme politique d'ailleurs ...


C'est grave tes propos , une remise en question est urgente si tu en est encore capable
@Hibou57

Comment t'arrive à un tel raisonnement serieux ?

L’accusation de viol a pourtant comme cadre, la vie privée. Pourquoi ne pas interdire de faire parler de ce qu’on a à son domicile en cas de plainte pour cambriolage.
 
justice à 2 balles
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Les deux policiers condamnés fin janvier à sept ans d'emprisonnement pour le viol d'une touriste canadienne au 36 quai des Orfèvres ont été libérés, a confirmé une source judiciaire à franceinfo, jeudi 7 mars. La chambre d’instruction de la cour d'appel a rendu sa décision, jeudi soir. Ils avaient fait appel du verdict.

"On revient dans l’état initial et quand on revient dans l’état initial, on a le droit de bénéficier de la liberté qui est un principe", a commenté, jeudi soir sur franceinfo, Sébastien Schapira, avocat de l’un des deux policiers. "C’est aussi logique parce qu’ils ont toujours été en liberté depuis maintenant bientôt cinq ans", a également souligné l’avocat, pour qui "il est normal qu’ils se présentent pour le nouveau procès, qui aura lieu dans quelques temps, on ne sait pas encore quand, sans être détenus, sous contrôle judiciaire".

Les deux mis en cause, aujourd’hui âgés de 40 et 49 ans, ont été condamnés pour avoir violé une Canadienne d'une trentaine d'années, dans la nuit du 22 au 23 avril 2014 dans les bureaux de la Brigade de recherche et d’intervention à Paris, après une soirée arrosée dans un bar irlandais, situé en face de l’ancien siège de la police judiciaire (PJ). En 2016, les deux juges d’instruction avaient prononcé un non-lieu en faveur des policiers. Le ministère public et la jeune femme avaient fait appel du non-lieu. La chambre d’instruction avait décidé de renvoyer les deux fonctionnaires devant la cour d’assises, jugeant que les policiers avaient "exploité l’état d’ivresse" de la plaignante
 
Et oui si la victime s’appelait naima ou aicha, le probleme aurait ete vitr regler, mais la il s’agit d’une blanche canadienne repute pour leur honnetete et leurs esprits ouvert et progressiste. A bonne entendeur salut
 
Et oui les canadien sont les plus honnetes au monde. C’est une verite verifie, si vous avez les moyens de visiter ce pays allez y. Les gens y sont bon honnete depourvu de tous vice contrairement a la police francaise.
 
A

AncienMembre

Non connecté
bref ils ont repéré une Canadienne un peu olé olé, ils l'ont saoulée encore plus, ils l'ont ramenée au commissariat de nuit, ils l'ont violée à tour de rôle.... mais ils sont innocentés par le tribunal, c'est cela ?
Vraiment à gerber... :eek:
 
Et oui les canadien sont les plus honnetes au monde. C’est une verite verifie, si vous avez les moyens de visiter ce pays allez y. Les gens y sont bon honnete depourvu de tous vice contrairement a la police francaise.
J'espere que c'est de l'humour ,ou alors si vous y passe la moitie de votre vie vous reviendrais sur vos dires
 
Les deux policiers jugés en appel pour le viol en réunion d'une touriste canadienne au siège de la PJ parisienne, en 2014, ont été acquittés par la cour d'assises du Val-de-Marne, vendredi 22 avril. La nouvelle a été accueillie par les applaudissements des proches des deux accusés tandis que la plaignante a quitté le tribunal en larmes.
Le parquet avait requis sept ans de prison contre les deux policiers, Antoine Quirin, 43 ans, et Nicolas Redouane, 52 ans, qui avaient été condamnés en 2019 à sept ans de prison pour le viol d'Emily Spanton au 36 quai des Orfèvres. L’acquittement a notamment été motivé par des "imprécisions, inexactitudes, voire plusieurs mensonges" dans le témoignage de la touriste, selon la feuille de motivation du jugement à laquelle a eu accès franceinfo.

Les deux agents ont toujours clamé leur innocence​

Les deux anciens agents de la prestigieuse Brigade de recherche et d'intervention n'avaient cessé de proclamer leur innocence depuis le début de l'affaire. Jeudi, lors de leurs plaidoiries, les avocats de la défense avaient demandé l'acquittement pour leurs clients, remettant en cause la "crédibilité" d'Emily Spanton et pointant du doigt des déclarations "évolutives" et des "mensonges" de sa part.
Lors de la soirée du 22 avril 2014, Emily Spanton, touriste canadienne, avait fait la rencontre de plusieurs policiers de la BRI dans un pub irlandais situé en face du célèbre 36, quai des Orfèvres. Alors que l'ambiance était au flirt, les agents avaient proposé une visite de leurs locaux à la touriste, très alcoolisée ce soir-là. Elle en était ressortie en état de choc, en dénonçant un viol en réunion.
 
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