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Nomade
L'Allemagne souffre à cause de taux de vaccination bas comparé à un Portugal qui avoisine les 100%
En Allemagne, ça s'emballe à cause des non vaccinés et au Portugal pas de mesures de restriction grâce au taux de vaccination très haut.
Allons nous avoir une évolution similaire à l'Allemagne ou l'état arrivera à convaincre les gens à se faire vacciner
La dictature des non vaccinées
De notre correspondant à Berlin, Pascal Thibault
La quatrième vague de Covid-19 déferle sur l’Allemagne. Le record inquiète les responsables alors que les deux tiers de la population sont vaccinés. Mais la campagne piétine en raison de la résistance d’une minorité hostile au vaccin. Les troisièmes doses de rappel pour les plus âgés sont administrées à un rythme insuffisant. Des foyers d’infection dans les maisons de retraite refont leur apparition. Le nombre de personnes en soins intensifs dans les hôpitaux – aujourd’hui 2 500 – pourrait doubler, d’après des responsables.
Des régions réagissent déjà. En Saxe, Land particulièrement touché, l’accès aux restaurants, bars, lieux culturels et de loisirs sera limité à partir de ce lundi aux personnes vaccinées ou guéries. Ces restrictions, qui pourraient s’étendre, augmentent la pression sur les non-vaccinés.
Dans un talk-show dimanche soir, Frank Ulrich Montgomery, président de la Fédération mondiale des médecins, n’a pas mâché ses mots : « Nous avons actuellement une tyrannie des non-vaccinés qui prennent en otage les deux tiers de la population qui, elle, est vaccinée et nous impose de nouvelles restrictions.
Des pays où 97% de la population est vaccinée, comme au Portugal, n’ont pas besoin de telles mesures devenues inutiles ».
La future coalition – sociaux-démocrates, verts et libéraux – va déposer un projet de loi, ce lundi 8 novembre, pour réagir. On s’achemine vers un développement des mesures plus restrictives mettant les non-vaccinés sous pression. Des tests systématiques dans les maisons de retraite pour le personnel et les visiteurs doivent éviter des infections, des contrôles plus stricts au travail sont envisagés dans les entreprises. Les tests rapides, payants depuis le 11 octobre, pourraient redevenir gratuits.
Un va-et-vient qui met en exergue la perplexité des responsables politiques.
En Allemagne, ça s'emballe à cause des non vaccinés et au Portugal pas de mesures de restriction grâce au taux de vaccination très haut.
Allons nous avoir une évolution similaire à l'Allemagne ou l'état arrivera à convaincre les gens à se faire vacciner
La dictature des non vaccinées
De notre correspondant à Berlin, Pascal Thibault
La quatrième vague de Covid-19 déferle sur l’Allemagne. Le record inquiète les responsables alors que les deux tiers de la population sont vaccinés. Mais la campagne piétine en raison de la résistance d’une minorité hostile au vaccin. Les troisièmes doses de rappel pour les plus âgés sont administrées à un rythme insuffisant. Des foyers d’infection dans les maisons de retraite refont leur apparition. Le nombre de personnes en soins intensifs dans les hôpitaux – aujourd’hui 2 500 – pourrait doubler, d’après des responsables.
Des régions réagissent déjà. En Saxe, Land particulièrement touché, l’accès aux restaurants, bars, lieux culturels et de loisirs sera limité à partir de ce lundi aux personnes vaccinées ou guéries. Ces restrictions, qui pourraient s’étendre, augmentent la pression sur les non-vaccinés.
Dans un talk-show dimanche soir, Frank Ulrich Montgomery, président de la Fédération mondiale des médecins, n’a pas mâché ses mots : « Nous avons actuellement une tyrannie des non-vaccinés qui prennent en otage les deux tiers de la population qui, elle, est vaccinée et nous impose de nouvelles restrictions.
Des pays où 97% de la population est vaccinée, comme au Portugal, n’ont pas besoin de telles mesures devenues inutiles ».
La future coalition – sociaux-démocrates, verts et libéraux – va déposer un projet de loi, ce lundi 8 novembre, pour réagir. On s’achemine vers un développement des mesures plus restrictives mettant les non-vaccinés sous pression. Des tests systématiques dans les maisons de retraite pour le personnel et les visiteurs doivent éviter des infections, des contrôles plus stricts au travail sont envisagés dans les entreprises. Les tests rapides, payants depuis le 11 octobre, pourraient redevenir gratuits.
Un va-et-vient qui met en exergue la perplexité des responsables politiques.