salam
Des droits fondamentaux bafoués
Traite des êtres humains à des fins de prostitution, pornographie, tourisme sexuel une multitude dexpressions pour une finalité unique, à savoir lexploitation sexuelle. Un phénomène qui a pris et ne cesse de prendre de lampleur au point que depuis 2009, le 4 mars de chaque année et à linitiative de lONG «Groupe international de paroles de femme » (GIPF), est loccasion de marquer un temps darrêt afin de mettre le doigt sur un fléau qui na épargné aucune région du monde.
Il est essentiel que lensemble de la communauté internationale (société civile et gouvernements) puisse sunir autour dune journée. Une journée pour mobiliser, sensibiliser, informer les gouvernements, les institutions et le public, sur cet asservissement sexuel.
Lexploitation sexuelle est une des pires formes de négation des droits fondamentaux de la personne humaine et qui la réduit à une simple marchandise. Selon le site www.journées mondiales.com, il y a 4 millions de nouvelles victimes dexploitation sexuelle chaque année, 500.000 femmes par an victimes de traite à fin de prostitution et 1000 milliards de dollars est le chiffre daffaires généré par la prostitution.
Achetées, vendues, menacées, isolées, violées, battues, surveillées, enfermées, torturées, les victimes deviennent des objets de consommation. «Chaque seconde, ce sont 8 victimes supplémentaires qui sont embrigadées par les réseaux mafieux qui les déshumanisent et les asservissent sexuellement », indique le GIPF.
Contraintes à une moyenne de 25 à 30 viols tarifés quotidiens, les victimes de la traite à des fins dexploitation sexuelle sont réduites à une simple marchandise, vendues sur les marchés mondiaux du sexe, révèle lONG.
http://www.libe.ma/4-millions-de-nouvelles-victimes-d-exploitation-sexuelle-chaque-annee_a35739.html
Des droits fondamentaux bafoués
Traite des êtres humains à des fins de prostitution, pornographie, tourisme sexuel une multitude dexpressions pour une finalité unique, à savoir lexploitation sexuelle. Un phénomène qui a pris et ne cesse de prendre de lampleur au point que depuis 2009, le 4 mars de chaque année et à linitiative de lONG «Groupe international de paroles de femme » (GIPF), est loccasion de marquer un temps darrêt afin de mettre le doigt sur un fléau qui na épargné aucune région du monde.
Il est essentiel que lensemble de la communauté internationale (société civile et gouvernements) puisse sunir autour dune journée. Une journée pour mobiliser, sensibiliser, informer les gouvernements, les institutions et le public, sur cet asservissement sexuel.
Lexploitation sexuelle est une des pires formes de négation des droits fondamentaux de la personne humaine et qui la réduit à une simple marchandise. Selon le site www.journées mondiales.com, il y a 4 millions de nouvelles victimes dexploitation sexuelle chaque année, 500.000 femmes par an victimes de traite à fin de prostitution et 1000 milliards de dollars est le chiffre daffaires généré par la prostitution.
Achetées, vendues, menacées, isolées, violées, battues, surveillées, enfermées, torturées, les victimes deviennent des objets de consommation. «Chaque seconde, ce sont 8 victimes supplémentaires qui sont embrigadées par les réseaux mafieux qui les déshumanisent et les asservissent sexuellement », indique le GIPF.
Contraintes à une moyenne de 25 à 30 viols tarifés quotidiens, les victimes de la traite à des fins dexploitation sexuelle sont réduites à une simple marchandise, vendues sur les marchés mondiaux du sexe, révèle lONG.
http://www.libe.ma/4-millions-de-nouvelles-victimes-d-exploitation-sexuelle-chaque-annee_a35739.html