En moyenne, les étiquettes se sont renchéries de 4 % sur un an pour les fruits et de 5 % pour les légumes. Cette augmentation contrebalance le fléchissement observé en 2017, qui faisait lui-même suite à une hausse record en 2016.
Problème : cet effet « montagnes russes » pénalise les consommateurs, pointe l’étude. « Alors que le pouvoir d’achat des ménages se veut relativement "stable" depuis 2011, les prix des fruits et légumes connaissent de très importantes fluctuations d’une année sur l’autre », souligne l’association, qui juge difficile « d’y consacrer un budget constant sur la durée » et y voit un frein à « une politique nutritionnelle efficace ».