5 Octobre 2011 : 23e anniversaire du soulévement des Algériens de 1988

Alger, 6 octobre 1988 : le sang a coulé pour la première fois depuis l'indépendance du pays ...
 

Pièces jointes

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Les militaires avait tiré à balle réel sur les manifestants par ordres des généraux comme en Libye... je crois qu'il y avait eu plus de 500 morts en moins de 24 heures et ce n’était qu’un début. Par la suite un des généraux avait menacé qu’il était prêt à faire couler beaucoup de sang pour que règne l’ordre…

Les manifestants avaient aussi atteint un degré dans l’échelle de l’escalade ce qui a mis en rogne les generaux, en brulant le bureau du Polisario à Alger
 
je ne vois pas la dite ( révolution ) dans ces évènements, il n'y a plus de parti unique ? pourquoi le FIS n'a pas eu droit au gouvernement alors que les Urnes l'ont désigné.

Lors des élections locales de 1990, premières élections libres en Algérie, le FIS avait remporté 953 communes sur 1539 et 32 wilayas (provinces) sur 48. Le 26 décembre 1991 a eu lieu le premier tour des élections législatives. Le FIS obtient 188 sièges sur 231, soit près de 82%, le FFS 25 sièges et le FLN 15 sièges, les candidats indépendants remportent 3 sièges. Prenant acte de la situation qui prévalait, et qui risquait de tourner à son désavantage, l'armée décide le 11 janvier 1992 de pousser le chef de l'État, le président Chadli Bendjedid à la démission et d'interrompre le processus électoral. Les assemblées communales et départementales dirigées par les élus du FIS sont par ailleurs dissoutes et les militants et sympathisants de la formation qui vient de remporter le premier tour du scrutin législatif sont emprisonnés ou expédiés dans des camps établis dans le sud saharien.
 
je ne vois pas la dite ( révolution ) dans ces évènements, il n'y a plus de parti unique ? pourquoi le FIS n'a pas eu droit au gouvernement alors que les Urnes l'ont désigné.

Lors des élections locales de 1990, premières élections libres en Algérie, le FIS avait remporté 953 communes sur 1539 et 32 wilayas (provinces) sur 48. Le 26 décembre 1991 a eu lieu le premier tour des élections législatives. Le FIS obtient 188 sièges sur 231, soit près de 82%, le FFS 25 sièges et le FLN 15 sièges, les candidats indépendants remportent 3 sièges. Prenant acte de la situation qui prévalait, et qui risquait de tourner à son désavantage, l'armée décide le 11 janvier 1992 de pousser le chef de l'État, le président Chadli Bendjedid à la démission et d'interrompre le processus électoral. Les assemblées communales et départementales dirigées par les élus du FIS sont par ailleurs dissoutes et les militants et sympathisants de la formation qui vient de remporter le premier tour du scrutin législatif sont emprisonnés ou expédiés dans des camps établis dans le sud saharien.

c'etait ce qui c'est passer ou l'otan et l'ocupation de l'algerie , en a choisie ;)
 
effectivement, mettre la moitié du FIS en prison et égorger l'autre moité, et laisser le pays et ses richesses entre les mains des militaires qui s'enrichissent et appauvrissent la majorité du peuple . ça c'est de la révolution mec

en c'est entretuer certes mais les algeriens se sont reconcilier , c'est mieux que d'etre envahis est entrer dans une guerre seul alla8 sait comment ca aurait terminer
 
effectivement, mettre la moitié du FIS en prison et égorger l'autre moité, et laisser le pays et ses richesses entre les mains des militaires qui s'enrichissent et appauvrissent la majorité du peuple . ça c'est de la révolution mec


Et c'est mieux en Irak Libye etc.. peut être.On lave le linge en famille,pas besoin de l'otan ou l'onu(mafia).

Tu vas me dire que Sarkozy il te donne des millions par mois aussi.
 

djamalger

dezzou m3ahoum
nous ferons la révolution même avec les singes de la chiffa(montagnes d’Algérie) c'est ce que dit Boudiaf à l'un de ses compagnons qui se plaignait de la non preparation du mouvement national pour déclencher la révolution de novembre 1954;
le peule algérien est seul juge de faire ou ne pas faire une révolution; ce n'est tout de même pas Sarko et ses guignols et encore moins azawane et consorts qui lui dicteront la marche à suivre
 
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