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Malheureusement, il n'y a rien d'étonnant, eu égard aux baisses de rémunérations, aux chichis des procédures de recrutement (on cherche toujours le mouton à 5 pattes, les recruteurs ont le power vu le nombre de candidats) et à l'augmentation du coût de la vie.
Sans compter que la vie pour une personne seule, c'est coûteux. D'ailleurs, je suis convaincue que certains couples aux revenus très moyens ou modestes ne se séparent pas pour des raisons financières.
Un sans-abri sur dix est diplômé de l’enseignement supérieur
Pas moins de 14 % des sans-abri ont suivi des études supérieures et 10 % sont diplômés, selon une étude de l’Insee et de l’Institut national d’études démographiques (INED) publiée mercredi 28 septembre. Leurs travaux se fondent sur un recensement mené en janvier et février 2012 dans les centres d’hébergement, les hôtels, les centres maternels, les lieux de distribution de repas ou encore les banques alimentaires.
Le nombre de personnes privées d’un domicile personnel était, à l’époque, estimé à 143 000, dont 30 100 enfants. Il avait déjà bondi de 50 % par rapport à la précédente enquête, datant de 2001, avec une poussée très forte des familles, notamment étrangères. Ces données n’ont fait qu’empirer depuis. Cette année, pour la seule région Ile-de-France, la préfecture déclare mettre à l’abri 80 000 personnes chaque soir.