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60 millions de consommateurs alerte sur les dérives du bio (france)
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[QUOTE="mam80, post: 16240855, member: 228134"] suite La moitié des huiles d’olive bio analysées contiennent des plastifiants, notamment des phtalates. Le magazine précise que la présence de ces perturbateurs endocriniens est particulièrement présente dans les huiles provenant de Tunisie (3 sur les 4) et viennent des matériaux en plastique utilisés lors de la récolte des olives ou pour la production de l’huile. Des plastifiants qui migrent ensuite dans les matières grasses. À titre comparatif, ces perturbateurs endocriniens ne sont pas retrouvés dans certaines huiles non certifiées bio et coûtant bien moins cher. Donc le prix et le label ne sont pas forcément gages de qualité. - De nombreux produits garantis bio ne signifient pas qu’ils sont davantage meilleurs pour la santé. C’est le cas notamment pour les jus de fruits biologiques ou les gâteaux bio, généralement très sucrés. Parmi les jus analysés, le Bio Mangue-Passion de la marque Pressade est épinglé, considéré comme «aussi sucré» que du Coca. De plus, la même brique promeut des arômes qui ne sont absolument pas majoritaires dans la composition du produit: l’étiquette est donc trompeuse. - En ce qui concerne la problématique de l’étiquette, Christelle Pangrazzi évoque également le cas de Volvic ayant lancé récemment une eau certifiée bio. Problème: l’eau n’est pas biologique, seul le jus de citron qu’elle contient l’est, et il représente entre 1 et 1,5% de la boisson. Une bouteille vendue deux fois plus cher que la même bouteille non bio. Il ne faut donc pas trop se fier à l’allégation bio, mais vérifier la composition. Quelles solutions? Le magazine ne souligne pas seulement les problèmes ; il entend guider le consommateur à travers trois solutions: - Privilégier les enseignes pionnières en la matière, bien plus sûres et proposant un plus large panel de produits biologiques. Parmi elles, le magazine préconise l’enseigne Biocoop, qui est l’une des dernières enseignes bio encore indépendantes. En effet, Naturalia appartient au groupe Casino depuis 2008, par exemple. Toutefois, bien que La Vie claire appartienne à deux holdings, le magazine souligne des efforts en matière de responsabilité sociétale des entreprises. - Privilégier les circuits courts, plus authentiques et qualitatifs. Le magazine souligne la diversification des initiatives visant à rapprocher le consommateur du producteur, de l’Amap à La Ruche qui dit oui! en passant par les initiatives plus locales que l’on peut retrouver sur le site Monpanierbio.com. - Enfin, le magazine préconise la vente en vrac pour réaliser des courses zéro déchet, afin d’allier bio et lutte environnementale, contre le plastique notamment. Cette filière, en plein développement, permet souvent de consommer les produits moins cher. [URL unfurl="true"]http://www.lefigaro.fr/conso/60-millions-de-consommateurs-alerte-sur-les-derives-du-bio-20190605[/URL] mam [/QUOTE]
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