9000 français meurent de maladies nosocomiales

Les pires maladies peuvent s’attraper… à l’hôpital
On les appelle « infections nosocomiales ». Un terme scientifique qui cache une cruelle réalité : les maladies qu’on attrape à l’hôpital.

Il ne faut pas oublier que c’est à l’hôpital qu’on trouve la plus forte concentration de malades en tout genre. Autant dire que c’est un véritable nid à microbes.

Mais le pire, c’est que l’hôpital est un milieu tellement aseptisé que les bactéries qui survivent deviennent extrêmement résistantes. À tel point que les antibiotiques deviennent souvent totalement inefficaces.

Et les médecins les plus expérimentés ne savent pas soigner ces infections.

Selon un rapport de l’assemblée nationale de 2006, 9000 français meurent chaque année d’une infection survenue durant un séjour à l’hôpital [1].

Imaginez : vous vous rendez aux urgences pour une simple facture. Rien de très grave. On vous opère. Et vous ressortez avec une infection terrible, incurable…

Comme ce fut le cas pour Guillaume Depardieu.
Le remède existe, mais il est…
interdit en France
 
Problème : en France, ce remède est INTERDIT !!!

Oui vous avez bien entendu : interdit !

Et sous quel prétexte ?

Les autorités estiment que les produits actuellement utilisés ne respectent pas les normes européennes de réglementations.

Comme ce ne sont pas de petites pilules chimiques fabriquées dans les gros laboratoires de l’industrie pharmaceutique, on préfère les interdire…

Conséquence : les Français sont privés de l’un des remèdes antibactériens les plus prometteurs de cette décennie.

Alors qu’il pourrait aider des milliers de malades.

À croire qu’en France, on fait tout pour nous empêcher de guérir…

C’est scandaleux, surtout quand on sait que ce remède a fait ses preuves depuis plus de 100 ans. Qu’il est a priori sûr et efficace. Et que dans certains pays, il a même remplacé les antibiotiques avec succès
 

youssoufou

La bienveillante
VIB
Les pires maladies peuvent s’attraper… à l’hôpital
On les appelle « infections nosocomiales ». Un terme scientifique qui cache une cruelle réalité : les maladies qu’on attrape à l’hôpital.

Il ne faut pas oublier que c’est à l’hôpital qu’on trouve la plus forte concentration de malades en tout genre. Autant dire que c’est un véritable nid à microbes.

Mais le pire, c’est que l’hôpital est un milieu tellement aseptisé que les bactéries qui survivent deviennent extrêmement résistantes. À tel point que les antibiotiques deviennent souvent totalement inefficaces.

Et les médecins les plus expérimentés ne savent pas soigner ces infections.

Selon un rapport de l’assemblée nationale de 2006, 9000 français meurent chaque année d’une infection survenue durant un séjour à l’hôpital [1].

Imaginez : vous vous rendez aux urgences pour une simple facture. Rien de très grave. On vous opère. Et vous ressortez avec une infection terrible, incurable…

Comme ce fut le cas pour Guillaume Depardieu.
Le remède existe, mais il est…
interdit en France
Selon moi la pire maladie ce n'est que la connerie humaine !!!
 

etre2en1

intersex people are cool
VIB
J'ai été dans la même clinique que Guillaume, elle était très connu pour ses erreurs médicales, ils étaient continuellement en procès.

Ma jambe était gonflée à cause d'une obstruction d'un vaisseau sanguin, sans même m'écouter ni faire de radio, ils ont entièrement plâtré ma jambe et j'ai aussi failli la perdre.
Ma mère a eu une opération abdominale, ils ont oublié une grosse pince et une compresse sale dedans, résultat elle a eu un abcès qui lui a causé une éventration de la taille d'un ballon de rugby.
Les exemples ne manquent pas.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Problème : en France, ce remède est INTERDIT !!!

Oui vous avez bien entendu : interdit !

Et sous quel prétexte ?

Les autorités estiment que les produits actuellement utilisés ne respectent pas les normes européennes de réglementations.

Comme ce ne sont pas de petites pilules chimiques fabriquées dans les gros laboratoires de l’industrie pharmaceutique, on préfère les interdire…

Conséquence : les Français sont privés de l’un des remèdes antibactériens les plus prometteurs de cette décennie.

Alors qu’il pourrait aider des milliers de malades.

À croire qu’en France, on fait tout pour nous empêcher de guérir…

C’est scandaleux, surtout quand on sait que ce remède a fait ses preuves depuis plus de 100 ans. Qu’il est a priori sûr et efficace. Et que dans certains pays, il a même remplacé les antibiotiques avec succès
Mensonger et complotiste. Les bactériopghages ne sont pas interdits en Europe ni en france, il ne sont seulement pas explicitement autorisés comme médicaments. Ceci dit, il ne sont pas ignorés non‑plus, des essais cliniques sont menés et en 2018, deux chercheurs ont reçu le prix‑Nobel pour leurs recherches sur les bactériophages.

Le problème est que le pays qui les utilise le plus, la Géorgie, en fait la publicité mais ne communique pas sur les cas d’échecs. Ors, pour les standards Européens, les effets secondaires et les risques d’échecs ou de rechutes après traitement, doivent être connus. Du coup, il faudra attendre plusieurs années avant que ce ne soit utilisé couramment, le temps que les essais cliniques aient fournis assez de données. Il y a aussi des protocoles à mettre au point, et il y a déjà eu beaucoup de progrès de ce côté là.

Il y a aussi un projet d’utiliser directement les enzymes produites par les virus bactériophages, les lysines. Mais personnellement, l’utilisation directe de ces enzymes ne m’inspire pas confiance, l’avantage que je vois aux virus, est qu’ils co‑évoluent avec les bactéries. Je crains que l’utilisation directe des enzymes ne se termine comme avec les antibiotiques, en sélection de la résistance chez les bactéries. D’un autre côté, l’avantage des enzymes est d’être plus faciles à produire.
 
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