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[QUOTE="TIGELLIUS, post: 17897539, member: 391415"] [U]Bible du Semeur[/U] : [B]Les versets 7.53 à 8.11 sont absents des manuscrits les plus anciens. Quelques manuscrits les situent ailleurs, à la fin de l'évangile ou après Lc 21.38[/B]. [U]TOB[/U] : [B]La section 7,53-8,11 est omise par les mss les plus anciens et par de nombreuses versions : d'autres la placent soit après les vv. 36 ou 44, soit à la fin de l'évangile ; d'autres encore l'introduisent après Lc 21,38. Les Pères grecs semblent l'ignorer[/B] ; le texte lui-même présente de nombreuses variantes et ne possède pas les caractéristiques du style Johannique. [B]C'est pourquoi on peut estimer que cette péricope n'appartenait pas primitivement à l'évangile de Jn. Il s'agit d'une tradition indépendante, insérée après coup[/B] ; son caractère canonique n'est pas à contester. [U]Bible de Jérusalem :[/U] [B]Cette péricope, 7.53 - 8.11, omise par les plus anciens témoins (mss, versions et Pères), déplacée par d'autres[/B], au style de couleur synoptique, ne peut être de saint Jean lui-même. Elle pourrait être attribuée à saint Luc, cf Luc 21.38. Sa canonicité, son caractère inspiré et sa valeur historique n'en sont pas moins hors contexte. [U]ACEBAC [/U]: [B]Le récit de la femme adultère {#Jn 7:53 8:1-11} manque dans les plus anciens manuscrits grecs. Les Pères grecs ne l'ont pas connu ou bien ne l'ont pas regardé comme authentique. Plusieurs traductions anciennes (latine, syriaque, copte...) ne le contenaient pas[/B]. On lisait pourtant cette péricope en Occident et dans l'Église de Syrie dès le IIIe siècle. Mais la place de ce récit est instable chez les témoins qui le rapportent: on le retrouve en cinq endroits différents soit dans l'évangile de Jean, soit dans celui de Luc. De plus, ce passage tranche sur le contexte et l'ensemble du texte johannique par son contenu, son style et sa langue, qui rappellent par contre beaucoup le style et la langue de Luc. On admet donc généralement que ce passage n'a pas été rédigé par l'auteur du quatrième évangile et qu'il n'appartenait pas à l'édition originale de cet évangile. Le concile de Trente regarde ce texte comme un écrit canonique; sa définition porte sur la canonicité, non sur l'authenticité johannique du passage. [B][U]Pour résumer[/U] :[/B] - Le passage de la femme adultère ne se trouve pas dans les plus anciens manuscrits et les mieux conservés. - Dans d’autres manuscrits, ce récit se trouve placé ailleurs, par exemple après Jean 7 :36 ou à la fin de l’évangile de Jean. Ou encore à la fin de Luc 21, après le verset 31. -Dans d’autres manuscrits tardives, le texte bien que cité est mis entre crochets pour montrer qu’il ne faisait pas partie de l’original. - Le style est très différent du reste de l’évangile. [B]- Après des recherches minutieuses, tous les spécialistes chrétiens ou pas sont d’accord sur la non authenticité de ce récit.[/B] [/QUOTE]
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