La loi punissant les auteurs des violences à légard du femmes se fait toujours attendre. Les ONG se mobilisent et portent laffaire devant les Nations unies. Linstance onusienne exhorte lÉtat marocain à promulguer au plus vite une loi.
La violence à légard femmes sévit toujours au Maroc. La Journée internationale de lutte contre cette violence, célébrée le 25 novembre de chaque année, est une occasion pour les associations de rappeler aux décideurs cette amère réalité que vivent les Marocaines au quotidien pour se décider enfin à mettre en place une loi pour les protéger. Cette année, la célébration de cette journée coïncide avec les élections législatives. Profitant de cet événement, la Fédération de la ligue démocratique des droits des femmes (FLDDF) pour encourager les femmes à voter pour les partis qui ont inclus dans leur programme le plaidoyer pour une loi-cadre de lutte contre la violence faite aux femmes.
Alliance dassociations
« Nous avons diffusé un spot à travers la radio appelant les femmes à voter pour les partis politiques qui sengagent à mettre en place une loi pour protéger les femmes de toutes formes de violence », souligne Bouchra Abdou, membre de la FLDDF. Tant attendue par les militantes associatives, cette loi tarde à venir. Pour faire pression sur le gouvernement marocain à prendre une décision rapide à ce sujet, une alliance dassociations locales des droits des femmes notamment La Voix de la femme amazighe, lAssociation des jeunes avocats et lAssociation Amal pour la femme et le développement, soutenues par lONG internationale Global Rights, ont porté leur cause devant les Nations unies. Au cours de ce mois de novembre, lalliance a déposé un rapport sur les violences faites aux femmes au Maroc au comité contre la torture. La clôture de sa 47e session a eu lieu le vendredi dernier.
http://www.lesoir-echos.com/a-quand-une-loi-pour-proteger-la-femme /societe/35651/
La violence à légard femmes sévit toujours au Maroc. La Journée internationale de lutte contre cette violence, célébrée le 25 novembre de chaque année, est une occasion pour les associations de rappeler aux décideurs cette amère réalité que vivent les Marocaines au quotidien pour se décider enfin à mettre en place une loi pour les protéger. Cette année, la célébration de cette journée coïncide avec les élections législatives. Profitant de cet événement, la Fédération de la ligue démocratique des droits des femmes (FLDDF) pour encourager les femmes à voter pour les partis qui ont inclus dans leur programme le plaidoyer pour une loi-cadre de lutte contre la violence faite aux femmes.
Alliance dassociations
« Nous avons diffusé un spot à travers la radio appelant les femmes à voter pour les partis politiques qui sengagent à mettre en place une loi pour protéger les femmes de toutes formes de violence », souligne Bouchra Abdou, membre de la FLDDF. Tant attendue par les militantes associatives, cette loi tarde à venir. Pour faire pression sur le gouvernement marocain à prendre une décision rapide à ce sujet, une alliance dassociations locales des droits des femmes notamment La Voix de la femme amazighe, lAssociation des jeunes avocats et lAssociation Amal pour la femme et le développement, soutenues par lONG internationale Global Rights, ont porté leur cause devant les Nations unies. Au cours de ce mois de novembre, lalliance a déposé un rapport sur les violences faites aux femmes au Maroc au comité contre la torture. La clôture de sa 47e session a eu lieu le vendredi dernier.
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