Acceuil humiliant du chef du polizbel à addis abeba

Arrivé sur un avion privé d'Air algérie (qui appartient à un pays qui n'a rien à voir avec l'affaire du Sahara :D) , le clown polizbel a volé un drapeau éthiopien et fait assoir un de ses sbires pour faire semblant d'avoir été accueilli officiellement par l’Éthiopie !!

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Alors que s’ouvraient, ce samedi 17 novembre, les travaux du 11e Sommet extraordinaire sur la réforme institutionnelle de l'Union africaine à Addis-Abeba, la veille, il n’y avait eu strictement personne pour accueillir Brahim Ghali à l’aéroport. L’humiliation de trop.

C’est à une véritable humiliation que le chef du front Polisario, Brahim Ghali, a eu droit à son arrivée dans la capitale de l’Ethiopie. C’est ainsi qu’absolument personne n’était présent à son accueil à l’aéroport. Ni officiel éthiopien, ni officiel de l'UA. L'avion d'Air Algérie, affrété comme d'habitude au transport du patron du Polisario en dépit de la crise très grave que traverse cette compagnie, était resté vainement sur le tarmac dans l’attente d’un comité d’accueil. Rien!

Acceptant la dure réalité, Brahim Ghali s’est alors dirigé vers le salon d’honneur. Sans doute espérait-il un photo call en compagnie d’un responsable éthiopien et immortaliser ce moment.... Mais là encore, la déception a été cruelle.

Comble du ridicule, et comme pour masquer cette gifle à un "chef d’Etat" qui n’en a, de fait, ni la qualité ni les attributs, c’est un certain Hamdi Khalil Mayara, ministre délégué chargé de l’Afrique de la pseudo-Rasd, lui-même membre de la délégation qui a fait le déplacement à bord de l'avion d'Air Algérie, qui a pris la place d’un supposé officiel éthiopien dans la salle d’honneur de l’aéroport et sous le drapeau de ce pays!

Dans quel but? Faire illusion, masquer les faits et atténuer un tant soit peu l’effet de ce qui a dû être un véritable choc.
Un responsable du Polisario assis dans un siège réservé à un Ethiopien, s'octroyant le drapeau de ce pays... Il faut le voir pour le croire. Mais il est vrai que les responsables du Polisario sont passés maîtres dans l’art de tenter de s’approprier des attributs nationaux qui ne leur appartiennent pas.
 
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