Actualité des Force de L'ordre en France ...

En 22 ans de carrière, Bruno Attal, le «policier en colère», a été absent la moitié du temps selon sa hiérarchie​


 

Contre Attaque

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«DU FION À GOGO» : CULTURE DU VIOL ET RACISME ENTRE POLICIERS ET MAGISTRATS
– Masculinisme, racisme, harcèlement : un groupe Whatsapp entre agents de l’État au tribunal de Montauban –
«Propos graveleux, orduriers et misogynes», incitation au viol, échange de contenus sexistes, racistes et pornographiques et même d’une photo de la petite culotte d’une avocate... Ce sont les révélations gravissimes sur un groupe de discussion privée nommé «Du fion à gogo» entre des anciens magistrats du parquet de Montauban et deux policiers, dont «l’un des plus haut gradés de l’état major départemental».
Tout commence le 22 juin 2022, à 22h45 à Montauban. Une mère de famille voit débarquer sur sa terrasse un homme, totalement nu, seulement vêtu d'une ceinture de chasteté. Il filme cette habitante chez elle, qui vient de coucher ses enfants, et défèque dans son jardin avant de prendre la fuite. La victime est avocate. Elle appelle la police. L'envahisseur exhibitionniste est un agent des douanes. Il assure avoir obéi à des consignes reçues en ligne, pour un jeu sexuel sur un forum libertin. Mais la victime ne connaît ni ce site, ni l'agent des douanes. En réalité, c'est un policier, Julien B., qui s'est fait passer pour cette avocate afin de la harceler par l'intermédiaire du douanier, dupé. Julien B. est policier au commissariat de Montauban. Cette manipulation aussi perverse qu'invraisemblable donne lieu à une enquête, qui met en lumière «l'affaire du fion à gogo». Dans le téléphone de l'agent à l'origine de cette histoire, une conversation Whatsap ...
C’est lors du procès du policier Julien B., au tribunal de Toulouse, que l’affaire est révélée publiquement en mai dernier. Il est jugé au tribunal correctionnel pour avoir harcelé son ex-conjointe, notamment en usant de 59 réquisitions illégales pour la géolocaliser ! On lui reproche également des faits de violation de domicile et d’usurpation d’identité. Il a profité de ses fonctions pour réclamer «17 fadettes géolocalisées» – des relevés détaillé des communications émise depuis le téléphone de son ex-conjointe – sur sa précédente compagne, pour surveiller sa vie et avec qui elle était en relation. Faits qu’il avait déjà commis à l’encontre d’une autre femme. Ce policier est pourtant «expert en cybercriminalité»... de quoi se rassurer sur les compétences de la police ! Pour cette affaire, le policier a été condamné juin à la peine de 2 ans de sursis.
 
suite :
C’est le même policier qui avait crée en janvier 2022 cette boucle de discussion Whatsapp, où ces quatre représentants de l’autorité publique échangeaient et partageaient des photos de leur conquêtes respectives, sur fond de masculinisme assumé, sexisme et misogynie décomplexée. Des propos racistes particulièrement abjects sont également relevés comme l’explique Libération, notamment contre une «plaignante d’origine africaine (qui) vient dénoncer des violences policières, les quatre acolytes évoquent naturellement une «*******». «Sur un *** de Black faut en parler.» «Si tu lui mets ta matraque dans le fion, elle va encore crier aux violences policières…». Les magistrats et policiers échangeaient également à propos de «parties fines avec la présence d'ados», commentent le physique d'avocates ou de magistrates, racontent leurs aventures sexuelles...
Le procureur général de Toulouse explique que «la révélation de ces faits a donné lieu à l’établissement de procédures incidentes qui sont en cours d’analyse». Le 26 mai, le parquet de Montauban a ouvert une enquête pour «violation du secret professionnel et recel, la violation du secret de l'enquête et de l'instruction et recel et la tentative ou la corruption de mineurs de plus de 15 ans contre X.» On ne doute pas de la partialité des magistrats du parquet qui auront la charge de poursuivre leurs vieux copains du Ministère public !
Cette affaire n’est pas qu’anecdotique, elle est révélatrice du sexisme et du racisme imprégnés dans les plus hautes sphères de la fonction publique. Une culture du viol assumée par des hauts fonctionnaires à qui l'on confie la charge de poursuivre, d’enquêter, de condamner les auteurs de violences sexuelles, sexistes ou racistes. L'affaire du «fion à gogo» révèle aussi la consanguinité totale entre les différents pouvoirs, censés être indépendants. Flics, avocats, magistrats se connaissent, mangent ensemble, font la fête, partagent des messageries sexistes et racistes communes. Imaginez le résultat dans les tribunaux : qui peut croire qu'un juge ou un procureur à ce point lié à des policiers, même sur le plan intime, partageant les mêmes parties fines et anecdotes sordides, sera objectif et pourra remettre la parole de la police en doute ?
Qui nous fera encore croire de la réelle volonté de l’institution judiciaire de mettre fin aux violences sexistes ?
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Sources :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/.../messages...
https://www.liberation.fr/.../a-montauban-policiers-et...
https://www.ladepeche.fr/.../groupe-whatsapp-du-fion-a...
https://www.ladepeche.fr/.../harcelement-dans-le-milieu...
 
C’est lors du procès du policier Julien B., au tribunal de Toulouse, que l’affaire est révélée publiquement en mai dernier. Il est jugé au tribunal correctionnel pour avoir harcelé son ex-conjointe, notamment en usant de 59 réquisitions illégales pour la géolocaliser ! On lui reproche également des faits de violation de domicile et d’usurpation d’identité. Il a profité de ses fonctions pour réclamer «17 fadettes géolocalisées» – des relevés détaillé des communications émise depuis le téléphone de son ex-conjointe – sur sa précédente compagne, pour surveiller sa vie et avec qui elle était en relation. Faits qu’il avait déjà commis à l’encontre d’une autre femme. Ce policier est pourtant «expert en cybercriminalité»... de quoi se rassurer sur les compétences de la police ! Pour cette affaire, le policier a été condamné juin à la peine de 2 ans de sursis.

2 ans de sursis. Ok j'avoue je me suis trompé , la justice est vraiment laxiste en France!
 
Trois policiers du Raid ont été mis en examen ce jeudi 10 août dans le cadre d’une enquête sur la mort de Mohamed, un jeune homme de 27 ans en marge des émeutes début juillet à Marseille, a indiqué le parquet.

Cette mise en examen intervient pour « violences avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner », toujours selon le parquet. Les trois policiers n’ont pas été placés en détention provisoire, mais sont placés sous contrôle judiciaire.

« Les magistrats instructeurs ont notifié aux trois policiers leur placement sous contrôle judiciaire assorti des mesures d’interdiction de rentrer en contact avec les parties civiles et d’interdiction de participer dans le cadre de leur activité professionnelle de fonctionnaire de police à des interventions concernant des violences urbaines et de grands événements sur la voie publique », a ajouté le parquet dans un communiqué.

Selon les éléments communiqués par le parquet, Mohammed B. « parvenait quant à lui à s’enfuir à scooter, longeant la colonne du Raid », et a été « atteint dans un laps de temps très court par deux tirs de LBD, dont l’un au niveau du thorax se révélera mortel, puis par un tir de munition type “bean bag” qui impactait son scooter ».

La famille doit faire voir les VIDEOS DANS LES MEDIAS .


Ce sont des assassins ils doivent aller en prison . Ce n'est pas ça la VRAIE JUSTICE . Ils ont tué volontairement . Ces " magistrats " deviennent des complices de ces assassins
 
Dernière édition:
"Les investigations et les auditions réalisées tant des témoins que des gardés à vue ont permis d'établir un certain nombre d'éléments quant au déroulé des faits ayant conduit au décès de" Mohamed, indique le parquet. D'après les images de vidéosurveillance, Mohamed a tenté de prendre le sac dont était porteur un homme qui venait de piller un magasin Foot Locker. "Il existe donc des éléments démontrant que ces deux individus participaient à une action d’appropriation frauduleuse dans un contexte de pillage généralisé des magasins du centre-ville fondant une action d’intervention pour en interpeller les auteurs", poursuit le parquet. Alors que le premier individu a été interpellé, Mohamed "parvenait à s'enfuir en scooter (...). C'est dans ces circonstances qu'il était atteint dans un laps de temps très court par deux tirs de LBD, dont l'un au niveau du thorax se révèlera mortel, puis par un tir de munition type 'bean bag' qui impactait son scooter."

Des investigations complémentaires doivent encore être réalisées, indique le parquet, "notamment quant à la régularité des conditions d’emploi des armes utilisées à l’encontre" de la victime et la "proportionnalité de cet engagement".

Dans quelles conditions ils ont tiré. A bout pourtant ? Les vidéos des rues sont elles réelles ?
Au stade de france ils ont bien effacé les bandes et modifié des autres .
Comme pour la mort de Camara à Angoulême . ou la CAMERA ne fonctionnait pas .COMME PAR HASARD
 
Dernière édition:

La mort d’Alhoussein Camara, 19 ans, lors d’un contrôle de police à Angoulême suscite des interrogations​

Ce jeune Guinéen se rendait à son travail, le 14 juin vers 4 heures du matin, lorsque des policiers ont voulu le contrôler. Il a été tué d’une balle dans le thorax.
Atlantico Rédaction


La mort d’Alhoussein Camara, 19 ans, lors d’un contrôle de police à Angoulême suscite des interrogations​

avec Atlantico Rédaction

« C’est l’histoire d’un homme qui ne fait pas d’histoire, donc il n’y a pas d’histoire, même après sa mort. » Luc Marteau est délégué de la Ligue des droits de l’homme à Angoulême. Et, trois semaines après le décès d’un jeune Guinéen, Alhoussein Camara, 19 ans, tué mercredi 14 juin par un policier lors d’un contrôle routier, il s’interroge. Qu’est-ce qui fait qu’un drame, comme celui de Nahel M., mort dans le même contexte, peut trouver une résonance nationale, quand un autre, qui lui ressemble, est cantonné à une relative indifférence.
Alhoussein Camara se rendait à son travail, le 14 juin vers 4 heures du matin. Depuis quelques semaines, il enchaînait les missions d’intérim dans un entrepôt logistique d’Intermarché, en périphérie d’Angoulême, de 5 heures jusqu’à la mi-journée. Avant l’aube, il avait quitté le studio du foyer de jeunes travailleurs où il résidait depuis un an et demi – tout proche de la gare d’Angoulême –, au volant de sa Peugeot 307. « On prenait la route en même temps, rapporte Ousmane Conde, un Guinéen lui aussi préparateur de commandes intérimaire. Le jour où il a été tué, je me souviens de l’avoir vu dans le rétroviseur de ma voiture. Je suis arrivé au feu qui amène sur RN10, je suis passé au vert et lui a stoppé. » Il n’est jamais arrivé au travail.
Alhoussein Camara aurait commis un refus d’obtempérer qui lui a coûté la vie. C’est en tout cas ce qu’ont rapporté les policiers dans le cadre de l’enquête pénale en cours, selon la procureure de la République à Angoulême, Stéphanie Aouine. Une patrouille de police aurait repéré le jeune homme dans le centre-ville, sa voiture « zigzaguant ». Les agents auraient essayé de l’interpeller, en vain. Ils l’auraient donc suivi sur environ 5 kilomètres, « à allure réduite ». A la sortie d’Angoulême, tandis qu’une seconde patrouille de police arrive en renfort et « tente une première fois de l’intercepter », le conducteur aurait accéléré.

Sous un pont, en contrebas de la RN10, Alhoussein Camara se serait arrêté à un feu rouge. Les deux voitures de police l’auraient enserré. Pour échapper au contrôle, il aurait fait marche arrière puis « orienté le nez du véhicule vers un autre policier qui s’approchait de lui ». « Touché aux jambes lors de cette manœuvre,
il aurait alors fait marche arrière et aurait heurté un policier au niveau des jambes. Le brigadier âgé de 52 ans aurait alors ouvert le feu, touchant mortellement le conducteur

[le policier] fait usage simultanément de son arme de service (…) au niveau du haut du corps », rapporte le parquet. Alhoussein Camara décède, atteint d’une balle dans le thorax. Le policier, lui, présente une entorse au genou.

AUCUNE PREUVE que les "policiers" ont dit la VERITE .
Ce n'est pas la Vraie justice .
 
"Les investigations et les auditions réalisées tant des témoins que des gardés à vue ont permis d'établir un certain nombre d'éléments quant au déroulé des faits ayant conduit au décès de" Mohamed, indique le parquet. D'après les images de vidéosurveillance, Mohamed a tenté de prendre le sac dont était porteur un homme qui venait de piller un magasin Foot Locker. "Il existe donc des éléments démontrant que ces deux individus participaient à une action d’appropriation frauduleuse dans un contexte de pillage généralisé des magasins du centre-ville fondant une action d’intervention pour en interpeller les auteurs", poursuit le parquet. Alors que le premier individu a été interpellé, Mohamed "parvenait à s'enfuir en scooter (...). C'est dans ces circonstances qu'il était atteint dans un laps de temps très court par deux tirs de LBD, dont l'un au niveau du thorax se révèlera mortel, puis par un tir de munition type 'bean bag' qui impactait son scooter."

Des investigations complémentaires doivent encore être réalisées, indique le parquet, "notamment quant à la régularité des conditions d’emploi des armes utilisées à l’encontre" de la victime et la "proportionnalité de cet engagement".

Dans quelles conditions ils ont tiré. A bout pourtant ? Les vidéos des rues sont elles réelles ?
Au stade de france ils ont bien effacé les bandes et modifié des autres .
Comme pour la mort de Camara à Angoulême . ou la CAMERA ne fonctionnait pas .COMME PAR HASARD
Qu'est-ce que le "Bean bag" ? "C’est une arme dite de chasse, qui tire du calibre 12, des cartouches dans laquelle vous avez de petits sachets de limaille totalement hermétiques qui partent vers la personne visée. La particularité de ce projectile est qu’il n’est pas pénétrant, il s’écrase au contact. Cela permet un pouvoir d’arrêt important sans percer le corps. C’est une arme plus précise que le LBD."
 
La famille de Mohamed Bendriss va porter plainte contre la procureure de la République de Marseille, a déclaré jeudi 10 août sur franceinfo Arié Alimi, avocat de la famille. Dans un communiqué de presse diffusé dans l'après-midi du jeudi 10 août, la procureure a indiqué que Mohamed Bendriss, tué par un tir de LBD, avait tenté de commettre un vol dans un contexte de "pillage généralisé des magasins du centre-ville", ce que dément la famille.
>> Mort de Mohamed à Marseille : où en est l'enquête, après le placement en garde à vue de policiers du Raid ?
Selon Arié Alimi, la procureure de la République de Marseille a rappelé dans son communiqué de presse les circonstances de la mort de la victime "mais de manière un petit peu nauséabonde et de manière un peu éculée en matière de violences policières". Pour l'avocat, le but était de "tenter de jeter une forme de soupçons maladroits sur la personne de Mohamed Bendriss", en prétendant "qu'il aurait pu tenter de voler un voleur". Arié Alimi regrette que les conclusions de la procureure n'aient pas été différentes : "Elle aurait pu en tirer des conclusions inverses, c'est-à-dire qu'il [Mohamed Bendriss] a pu tenter un acte civique en empêchant un vol".
"L'interprétation qui est donnée par la procureure est regrettable", dénonce Arié Alimi avant d'ajouter : "Elle consiste à vouloir protéger les policiers et à salir une victime qui est morte du fait de ces policiers". C'est donc pour ces raisons que l'avocat annonce "qu'il y aura une plainte qui sera déposée contre elle [la procureure]. Elle sera poursuivie devant le tribunal".

Une requalification en homicide volontaire réclamée par la conjointe de la victime​

De son côté, la conjointe de Mohamed Bendriss demande, dans un communiqué consulté par franceinfo jeudi 10 août, que les faits soient "immédiatement requalifiés en homicide volontaire". Elle "déplore la stratégie de la procureure de la République de Marseille qui consiste à criminaliser maladroitement une victime" et ajoute : "Tenter de faire passer cet acte civique pour un acte délictueux est constitutif d'une grave diffamation qui n'entre pas dans les prérogatives du ministère public".

PS: vu sur un forum
Les gens ici qui s’étonnent qu’un avocat puisse porter plainte contre un parquet n’ont aucune connaissance du fonctionnement de la justice en France : il y a bien des juges judiciaires indépendants, mais le parquet et ses magistrats ne sont indépendants de rien du tout politiquement, ils sont nommés par le pouvoir politique et ils suivent un agenda politique qui n’est pas celui de la justice, parfois le leur, parfois celui d’autres institutions, mais aucunement celui d’une justice impartial

PAR EXEMPLE avoir une promotion .
Supposons qu'il aurait pris ce sac est ce que
les "policiers" savaient ils ce que faisait Mohamed ? ont ils vu la scène dès le commencement ? ou bien ils se sont contentés
de tirer à bout portant sur une personne qui était sur un scooter par mépris ?
 
Dernière édition:

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
suite :
C’est le même policier qui avait crée en janvier 2022 cette boucle de discussion Whatsapp, où ces quatre représentants de l’autorité publique échangeaient et partageaient des photos de leur conquêtes respectives, sur fond de masculinisme assumé, sexisme et misogynie décomplexée. Des propos racistes particulièrement abjects sont également relevés comme l’explique Libération, notamment contre une «plaignante d’origine africaine (qui) vient dénoncer des violences policières, les quatre acolytes évoquent naturellement une «*******». «Sur un *** de Black faut en parler.» «Si tu lui mets ta matraque dans le fion, elle va encore crier aux violences policières…». Les magistrats et policiers échangeaient également à propos de «parties fines avec la présence d'ados», commentent le physique d'avocates ou de magistrates, racontent leurs aventures sexuelles...
Le procureur général de Toulouse explique que «la révélation de ces faits a donné lieu à l’établissement de procédures incidentes qui sont en cours d’analyse». Le 26 mai, le parquet de Montauban a ouvert une enquête pour «violation du secret professionnel et recel, la violation du secret de l'enquête et de l'instruction et recel et la tentative ou la corruption de mineurs de plus de 15 ans contre X.» On ne doute pas de la partialité des magistrats du parquet qui auront la charge de poursuivre leurs vieux copains du Ministère public !
Cette affaire n’est pas qu’anecdotique, elle est révélatrice du sexisme et du racisme imprégnés dans les plus hautes sphères de la fonction publique. Une culture du viol assumée par des hauts fonctionnaires à qui l'on confie la charge de poursuivre, d’enquêter, de condamner les auteurs de violences sexuelles, sexistes ou racistes. L'affaire du «fion à gogo» révèle aussi la consanguinité totale entre les différents pouvoirs, censés être indépendants. Flics, avocats, magistrats se connaissent, mangent ensemble, font la fête, partagent des messageries sexistes et racistes communes. Imaginez le résultat dans les tribunaux : qui peut croire qu'un juge ou un procureur à ce point lié à des policiers, même sur le plan intime, partageant les mêmes parties fines et anecdotes sordides, sera objectif et pourra remettre la parole de la police en doute ?
Qui nous fera encore croire de la réelle volonté de l’institution judiciaire de mettre fin aux violences sexistes ?
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Sources :
https://france3-regions.francetvinfo.fr/.../messages...
https://www.liberation.fr/.../a-montauban-policiers-et...
https://www.ladepeche.fr/.../groupe-whatsapp-du-fion-a...
https://www.ladepeche.fr/.../harcelement-dans-le-milieu...
c'est vraiment des vrais satanistes ces ordures!

donc c'est bien une pratique officieuse de certains policiers que de mettre des "matraques dans les fions" (je reprends les termes du texte), et pas des accidents comme à l'air de dire @Chriski
 

Mort d’un jeune homme près d’Angoulême : l’enquête pointe des contradictions dans les déclarations des policiers​


Le 14 juin 2023, un jeune homme a été tué par un policier qui voulait le contrôler. L’enquête judiciaire, à laquelle ont eu accès la cellule investigation de Radio France et Mediapart, pointe des contradictions dans les témoignages des policiers qui étaient présents.
 

Mort d’un jeune homme près d’Angoulême : l’enquête pointe des contradictions dans les déclarations des policiers​


Le 14 juin 2023, un jeune homme a été tué par un policier qui voulait le contrôler. L’enquête judiciaire, à laquelle ont eu accès la cellule investigation de Radio France et Mediapart, pointe des contradictions dans les témoignages des policiers qui étaient présents.


 
En 2015, les forces de l’ordre ont acquis, en secret, un logiciel d’analyse d’images de vidéosurveillance de la société israélienne Briefcam. Depuis huit ans, le ministère de l’intérieur dissimule le recours à cet outil qui permet l’emploi de la reconnaissance faciale.

 
Au Média, on fait la chronique des multiples dévoiements de la police : racisme, sexisme, violence gratuite, rôle de bras armé du pouvoir néolibéral. Dans cette perspective on prête aux agents de nombreuses croyances et attitudes. Quelles sont précisément les perceptions des agents des forces de l’ordre ? La récente enquête intitulée “Déontologie et relations police-population : les attitudes des gendarmes et des policiers” propose une approche rigoureuse de ces ressentis. Comment ces agents conçoivent-ils leur travail et leurs relations avec le public ? Que pense la police ? L’étude fait par exemple apparaître que les agents des forces de l’ordre ne font pas confiance au reste de la population, privilégient les conceptions répressives de leur métier, et considèrent comme acceptable, parfois, d’enfreindre les règles si le bon déroulement de la mission l’exige. Se dessinent les contours de forces de sécurité déconnectées de la société, et relativement autonomes par rapport à l’appareil d’État, ce qui produit une grande résistance aux changements (sur le racisme, les contrôles d’identité, l’affichage du numéro de matricule, etc.).

 

Yoel1

VIB
Au Média, on fait la chronique des multiples dévoiements de la police : racisme, sexisme, violence gratuite, rôle de bras armé du pouvoir néolibéral. Dans cette perspective on prête aux agents de nombreuses croyances et attitudes. Quelles sont précisément les perceptions des agents des forces de l’ordre ? La récente enquête intitulée “Déontologie et relations police-population : les attitudes des gendarmes et des policiers” propose une approche rigoureuse de ces ressentis. Comment ces agents conçoivent-ils leur travail et leurs relations avec le public ? Que pense la police ? L’étude fait par exemple apparaître que les agents des forces de l’ordre ne font pas confiance au reste de la population, privilégient les conceptions répressives de leur métier, et considèrent comme acceptable, parfois, d’enfreindre les règles si le bon déroulement de la mission l’exige. Se dessinent les contours de forces de sécurité déconnectées de la société, et relativement autonomes par rapport à l’appareil d’État, ce qui produit une grande résistance aux changements (sur le racisme, les contrôles d’identité, l’affichage du numéro de matricule, etc.).

Pas étonnant !
 
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