Actualités de la centrafrique

Drianke

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mais quel narco celui là 'tain! :fou:


Chaos en Centrafrique : Chalghoumi soutient un gouvernement qui empêche l’exil des musulmans persécutés

En tournée en Centrafrique, l'imam de Drancy soutient les autorités qui bloquent l'exil des musulmans toujours traqués par des miliciens.

Le 08.06.2014 à 19h03

L'homme termine, ces jours-ci, un séjour en Centrafrique, une ancienne colonie française en proie à la guerre civile depuis 2013. Les milices Anti-Balaka (essentiellement chrétiennes et animistes) ont tué des milliers de musulmans (et provoqué l'exode de centaines de milliers) en représailles aux violences commises par la milice Séléka (majoritairement musulmane) qui a renversé le gouvernement de François Bozizé.

À la tête d'une délégation, le responsable de l'Association culturelle des musulmans de Drancy a rencontré vendredi Catherine Samba Panza, présidente de transition du pays....................

http://www.panamza.com/080614-centrafrique-chalghoumi




 

Drianke

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Opération Sangaris. Jean-Yves Le Drian en Centrafrique, ce lundi

Jean-Yves Le Drian se rend lundi en Centrafrique pour une visite de deux jours
Cette visite intervient après qu'une dizaine de soldats français de la force Sangaris aient été blessés ces derniers jours dans le pays lors de violents accrochages avec des groupes armés.

Le ministre sera lundi à Bangui et mardi à Bambari, à l'est de la capitale. Sept militaires français ont été blessés, dont deux plus sérieusement, jeudi dans cette localité au cours d'accrochages qui ont suivi l'arrestation par les forces de sécurité centrafricaines d'un milicien anti-balakas. Vendredi, quatre soldats français ont été légèrement blessés à Bangui.

Les deux militaires plus gravement atteints, notamment par des éclats de grenades, ont été évacués et leurs vies ne sont pas en danger.

Septième visite
Il s'agit de la 7e visite de M. Le Drian en Centrafrique depuis le lancement de l'opération Sangaris, début décembre 2013. A Bangui, il doit s'entretenir avec le commandant des forces françaises, le général Eric Bellot des Minières, puis avec la présidente centrafricaine, Catherine Samba-Panza.

Jean-Yves Le Drian doit notamment faire le point sur la remise en marche d'une chaîne pénale à Bangui - gendarmerie, justice, lieux de détention... -, considérée par la communauté internationale comme une priorité pour tenter de stabiliser le pays.

De vives tensions
A Bambari, le ministre rencontrera les soldats français déployés en appui de la force de l'Union africaine, la Misca, dans cette ville considérée comme la porte vers l'est du pays.

Les tensions restent vives dans cette zone entre communautés centrafricaines. Les militaires français doivent notamment faire face à un cycle de représailles entre miliciens de l'ex-Séléka, à dominante musulmane, et anti-balakas, a majorité chrétienne, mais aussi à des éléments incontrôlés qui se livrent à des violences contre la population civile. L'ex-Séléka a établi mi-mai son nouvel état-major à Bambari, après son départ de Bangui en janvier sous la pression des militaires français et africains.

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés en RCA dans le cadre de l'opération Sangaris, aux côtés de quelque 5 800 soldats de la Misca, pour stopper les massacres inter-communautaires. A partir du 15 septembre, la Mission des Nations unies pour la stabilisation en RCA (Minusca) doit prendre progressivement le relais.

http://www.ouest-france.fr/operation-sangaris-jean-yves-le-drian-en-centrafrique-ce-lundi-2681371
 

Drianke

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Centrafrique : La situation est encore dramatique !


Nous évoquons depuis plus d’une année, les terribles exactions commises sur la population en Centrafrique. Le lynchage en place publique des musulmans, la torture gratuite, le meurtre de femmes et d’enfants. Les corps de musulmans brulés vifs, et comme si l’horreur n’avait pas de limite, des miliciens chrétiens, anti-balakas qui pratiquent des actes de cannibalisme.

Malgré l’intervention de la France par le biais de ses soldats Sangaris, puis le vote de la venue des soldats de la MINUSCA, la capitale s’ est vidée de sa population musulmane car la plupart ont fui les massacres.

L’image d’illustration est insoutenable mais elle est nécessaire afin de comprendre le génocide qu’a subit la population musulmane centrafricaine.

Depuis, la situation ne s’est donc guère améliorée, elle a même empiré…

Claire Bourgeois, coordonnatrice humanitaire principale en République centrafricaine (RCA), s’est dite fortement préoccupée par l’état dans lequel se trouve la population. De nombreux déplacés périssent par manque d’assistance.

Comme la situation sécuritaire est encore catastrophique, de nombreux acteurs humanitaires ne peuvent effectuer leur travail laissant la population mourir de faim ou de maladies.

En effet, des combats meurtriers ont lieu tous les jours. En fin de semaine, ce sont des miliciens chrétiens anti-balakas qui se sont entretués laissant les soldats Sangaris en plein désarroi. Les soldats français ont été manifestement prise à partie par des miliciens bien trop armés.

http://www.islametinfo.fr/2014/08/10/centrafrique-la-situation-est-encore-dramatique/

Les habitants, ayant été blessées par ces tirs croisés, se plaignent de ces miliciens et ne comprennent toujours pas pourquoi ils n’ont pas été désarmés.

“La situation est très sérieuse” a déclaré une source militaire française de l’opération Sangaris.

Hélas, la situation en Centrafrique est dramatique. L’épuration de sa population est menée dans l’indifférence la plus générale.

Honte à nous!
 
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Centrafrique : La situation est encore dramatique !


Nous évoquons depuis plus d’une année, les terribles exactions commises sur la population en Centrafrique. Le lynchage en place publique des musulmans, la torture gratuite, le meurtre de femmes et d’enfants. Les corps de musulmans brulés vifs, et comme si l’horreur n’avait pas de limite, des miliciens chrétiens, anti-balakas qui pratiquent des actes de cannibalisme.

Malgré l’intervention de la France par le biais de ses soldats Sangaris, puis le vote de la venue des soldats de la MINUSCA, la capitale s’ est vidée de sa population musulmane car la plupart ont fui les massacres.

L’image d’illustration est insoutenable mais elle est nécessaire afin de comprendre le génocide qu’a subit la population musulmane centrafricaine.

Depuis, la situation ne s’est donc guère améliorée, elle a même empiré…

Claire Bourgeois, coordonnatrice humanitaire principale en République centrafricaine (RCA), s’est dite fortement préoccupée par l’état dans lequel se trouve la population. De nombreux déplacés périssent par manque d’assistance.

Comme la situation sécuritaire est encore catastrophique, de nombreux acteurs humanitaires ne peuvent effectuer leur travail laissant la population mourir de faim ou de maladies.

En effet, des combats meurtriers ont lieu tous les jours. En fin de semaine, ce sont des miliciens chrétiens anti-balakas qui se sont entretués laissant les soldats Sangaris en plein désarroi. Les soldats français ont été manifestement prise à partie par des miliciens bien trop armés.

http://www.islametinfo.fr/2014/08/10/centrafrique-la-situation-est-encore-dramatique/

Les habitants, ayant été blessées par ces tirs croisés, se plaignent de ces miliciens et ne comprennent toujours pas pourquoi ils n’ont pas été désarmés.

“La situation est très sérieuse” a déclaré une source militaire française de l’opération Sangaris.

Hélas, la situation en Centrafrique est dramatique. L’épuration de sa population est menée dans l’indifférence la plus générale.

Honte à nous!

Les deux communautés de Centrafrique, musulmane et chrétienne, sont à la fois coupables et victimes !

Je rappelle que les chrétiens de ce pays sont aussi durement persécutés par certaines milices musulmanes : http://www.parismatch.com/Actu/International/La-grande-peur-des-chretiens-532154

http://www.christianophobie.fr/breves/centrafrique-retour-sur-la-tuerie-dans-une-eglise-de-bangui

Il faut dénoncer TOUS les massacres.
 

Drianke

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L’ONU débarque en Centrafrique

Depuis la mi-septembre, la mission des Nations unies pour la stabilisation en République centrafricaine (Minusca) a pris le relais de la Misca, la force africaine chargée de restaurer la sécurité en Centrafrique (RCA).

Dans quel contexte débute la mission des Casques bleus ?

La crise que traverse depuis des mois la Centrafrique est la plus grave de sa courte histoire. Ce pays d’Afrique centrale, habitué aux coups d’État depuis son indépendance en 1960, est en proie à une guerre civile commencée en décembre 2013.

Une coalition armée issue du nord du pays se soulève alors contre Bangui. Cette coalition, la Séléka, est composée de groupes armés s’étant déjà soulevés contre le pouvoir central, venus du Tchad et du Soudan. On y trouve aussi des paysans ruinés, des éleveurs et chasseurs traditionnels, des jeunes gens désœuvrés (dont des enfants-soldats). Cette plate-forme est majoritairement composée de musulmans.

En janvier 2014, Michel Djotodia est poussé dehors par la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC). Et Catherine Samba-Pamza est élue par le Conseil national de transition (CNT) présidente de la transition. La Séléka reflue vers le nord. L’armée française tente de s’interposer entre les deux camps mais ne parvient pas à éviter le divorce entre les communautés du nord et les autres.

Le conflit a fini par prendre une coloration religieuse entre chrétiens et musulmans. En septembre 2014, le niveau de violence restait toujours très élevé en RCA, l’autorité de l’État nulle, la partition du pays en cours. C’est dans ce contexte que débute la mission des Casques bleus.

Elle renverse le chef de l’État, François Bozizé, en mars 2013, et installe l’un de ses leaders, Michel Djotodia. Le pays est pillé par ses nouveaux maîtres. Tout le monde est visé sauf les communautés musulmanes. Les plus touchées sont les communautés liées à François Bozizé.

Le 5 décembre 2013, la France lance l’opération Sangaris pour restaurer un minimum de sécurité dans le pays. Le rapport de force change sur le terrain. Des milices d’autodéfense, des partisans du président Bozizé, des soldats en déroute organisent la contre-offensive contre la Séléka dans les pas de l’armée française.

Ces groupes, issus majoritairement du Sud et de l’Ouest, sont perçus comme défendant les chrétiens. Ils se baptisent anti-balaka. Cette constellation de petits groupes armés, parés de gris-gris, fait payer à tous les musulmans les souffrances endurées.

http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/L-ONU-debarque-en-Centrafrique-2014-09-16-1207067
 
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APPEL SOLENNEL AUX CHRÉTIENS DE FRANCE POUR CONDAMNER LA BARBARIE DES TERRORISTES CHRÉTIENS ANTI-BALAKA.
 

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Une Française enlevée en République centrafricaine

Le Quai d’Orsay a confirmé lundi l’enlèvement d’une Française âgée de 67 ans en République centrafricaine à Bangui. Cette dernière travaille dans l’humanitaire. « La France déplore cet acte contraire au droit humanitaire et appelle les responsables à libérer au plus tôt » cette femme, a ajouté le ministère français des Affaires étrangères, précisant que l’ambassade de France à Bangui « est en contact permanent avec l’archevêché de la capitale centrafricaine qui a entamé des discussions avec les ravisseurs ».

Confirmed French sister working 4 Caritas & CAR priest abducted by #antibalaka this AM, reaction 2 detention of AB leader Andillo Saturday

— Peter Bouckaert (@bouckap) 19 Janvier 2015


http://www.lesechos.fr/monde/afriqu...vee-en-republique-centrafricaine-1084676.php#
 

Drianke

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Humanitaire française enlevée en Centrafrique : "Nous savons où elle est"

Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a déclaré jeudi savoir où se trouve l'humanitaire française enlevée lundi à Bangui. Des discussions sont en cours. Son mari et son fils s'expriment jeudi dans la presse.

Une Française de 67 ans a été enlevée en Centrafrique lundi dernier, par une milice chrétienne anti-balaka. "Aujourd'hui cet otage fait l'objet de discussions avec l'archevêque de Bangui. Les discussions sont en cours encore à cet instant", a indiqué jeudi matin le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. "Nous savons où elle est. Nous souhaitons que la discussion et la négociation avec les autorités religieuses puissent aboutir".

La femme enlevée, Claudia Priest, était arrivée en Centrafrique le 6 janvier, pour une mission de deux semaines pour le compte de l'ONG médicale catholique CODIS (Coordination Diocésaine de la Santé). Joint par l'AFP jeudi, son fils de 42 ans dit vivre dans "l'angoisse" mais faire "entière confiance" aux interlocuteurs. Depuis l'annonce de la nouvelle lundi soir, "nous savons seulement que des professionnels travaillent en France et en Centrafrique avec l'archevêque de Bangui. Nous sommes également au courant que des négociations sont en cours. Je ne sais rien de plus mais j'ai une pleine et entière confiance en ces interlocuteurs", a dit le fils de l'otage.

"Les minutes sont très longues"

Son mari, également interrogé dans La Croix jeudi, explique qu'il pense qu'elle a été enlevée "par hasard" : "Elle s'est trouvée au mauvais endroit, au mauvais moment. Mais je ne sais rien de ce qui s'est passé", dit-il. "Les minutes sont très longues", "on ne connaît pas l'issue, on ne connaît pas le délai", ajoute-t-il.

Les anti-balaka qui ont enlevée la Française et un de ses collègues centrafricain protestent contre l'arrestation d'un de leurs chefs, Rodrigue Ngaïbona, alias "général Andjilo", par la mission des Nations Unies en Centrafrique. Une employée de l'Onu enlevée mardi dans les mêmes conditions a été relâchée quelques heures plus tard.


http://www.franceinfo.fr/actu/monde...n-centrafrique-nous-savons-ou-elle-est-634419
 

Drianke

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L'humanitaire de 67 ans, qui habite à Pont-de-Veyle, dans l'Ain, a été libéré ce vendredi. Elle avait été prise en otage lundi en Centrafrique
 

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Centrafrique: signature d’un accord de fin des hostilités à Nairobi

Selon les informations obtenues par RFI, un accord a été signé à Nairobi entre partisans de Michel Djotodia et de François Bozizé. Entamées fin décembre au grand dam des autorités de transition de Bangui qui n'y ont pas été associées, ces discussions se sont achevées ce mardi 27 janvier. Au nom de l'ex-Seleka, rebaptisée FPRC, et d'une partie de la mouvance anti-balaka, leurs représentants ont signé un accord de cessation des hostilités. Un accord que beaucoup, même au sein de ces mouvements respectifs, rejetaient en bloc d'avance.

RFI
 

Drianke

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République centrafricaine – Lancement de l'opération EUMAM RCA ...

Elle succède à la force opérationnelle européenne en République centrafricaine (EUFOR RCA), qui a pris fin le 15 mars. EUFOR RCA a assuré pendant près d'un an la sécurisation de l'aéroport et des 3ème et 5ème arrondissements de Bangui, en étroite ...

http://news.google.com/news/url?sr=...-de-l-op-eacute-ration-eumam-rca-16-mars-2015
 

Drianke

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Centrafrique: un manifestant tué et plusieurs blessés lors d’une attaque contre une base de l’ONU

Centrafrique: un manifestant tué et plusieurs blessés lors d’une attaque contre une base de l’ONU | 45eNord.ca

La Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) a condamné vendredi l’attaque perpétrée par plusieurs centaines de manifestants contre un de ses camps, à 342 kilomètres de Bangui, où un Centrafricain a trouvé la mort et plusieurs autres ont été blessés.

Selon un communiqué de la MINUSCA, entre 300 et 400 manifestants auraient pris d’assaut son camp de Kaga-Bandoro dans la matinée du vendredi 10 avril 2015.

Kaga-Bandoro est situé à 350 km au nord de Bangui et reste un foyer de tensions. En janvier dernier, huit membres d’une délégation officielle, dont le maire de la ville, avaient été brièvement enlevés puis libérés par des membres de l’ex-rébellion Séléka.

«Les Casques bleus ont tenté de contenir la foule qui voulait forcer la barrière de l’entrée du camp en y mettant le feu», a déclaré la Mission de l’ONU en République centrafricaine, ajoutant qu’au cours de ces incidents, des manifestants, munis d’armes blanches, ont jeté des projectiles sur les soldats de la MINUSCA, blessant plusieurs d’entre eux, dont certains grièvement.

«Face à l’ampleur de l’attaque, les Casques bleus ont dû réagir par des tirs de sommation. On déplore un mort et plusieurs blessés du côté des assaillants. Tous les blessés sont admis à l’hôpital de la MINUSCA à Kaga-Bandoro où ils reçoivent les soins appropriés », a précisé la MINUSCA.

Il s’agit là de la seconde attaque contre la MINUSCA en une semaine dans une ville où, dit l’ONU, les relations ont toujours été cordiales avec les populations.

Cette attaque est le résultat de tensions communautaires entre la population locale et les bergers peuls en pleine période de transhumance, a expliqué Hamadoun Touré, le porte-parole de la Minusca, cité par les médias français: «C’est la seconde attaque en une semaine, indique-t-il. Les manifestants pensent que nous prenons parti pour une communauté alors que nous avons toujours affirmé notre impartialité. Ils pensent que nous prenons parti pour les Mbororo. Ce sont des Peuls qui sont là et en période de transhumance, ce genre d’incidents est fréquent. Un peu partout entre pasteurs et paysans il y a parfois des clashes. Mais cette ampleur est regrettable.»

*Avec le Centre d’actualités de l’ONU
 

Drianke

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Centrafrique: un Casque bleu tué dans des échanges de tirs à Bangui

Un Casque bleu de la mission de l'ONU en République centrafricaine (Minusca) été tué et au moins huit personnes blessées par balles, lors d'un accrochage avec des hommes armés à Bangui dimanche.

D'après une source de la Minusca, "les Nations unies ont lancé une opération en envoyant une patrouille" dans le quartier musulman KM5 suite à un mandat d'arrêt délivré par le parquet de Bangui "ordonnant l'arrestation" d'un ancien chef de l'ex-rébellion Séléka, qui avait pris le pouvoir à Bangui en mars 2013, avant d'en être chassée l'année suivante.
"Pendant que des Casques bleus s'approchaient de la zone, ils ont été pris pour cible par des individus armés et ont riposté".

"On dénombre un mort du côté des Casques bleus de la Minusca et au moins huit personnes blessées par balles, d'après un bilan provisoire. Un véhicule de la force onusienne a été sérieusement endommagé", a ajouté cette source, sans préciser la nationalité du Casque bleu décédé.

Des habitants du quartier KM5, joints par téléphone, ont fait état d'"échanges de tirs nourris" dans la matinée, au cours desquels plusieurs civils auraient été blessés par des balles perdues.

leparisien
 

Drianke

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Centrafrique: Des musulmans contraints à se convertir au christianisme

http://www.guinee58.com/index.php?o...9&catid=34:politique-guinee-conakry&Itemid=68


Afrobasket 2015: la Centrafrique joue pour la paix

L'équipe centrafricaine de basket est en France pour préparer le championnat d'Afrique qui démarrera le 19 août en Tunisie. Pris en charge financièrement par Paris, les Fauves nourrissent un objectif qui dépasse le cadre sportif : rassembler un pays déchiré par cinq ans de guerre.
 
Centrafrique : Une ONG britannique accuse l’Europe d’avoir financé la crise

Bangui (© 2015 Afriquinfos) - Dans un rapport rendu public ce mercredi 15 juillet, l’ONG Global Witness accuse ouvertement les entreprises européennes de financer la guerre fratricide. Pour l'ONG britannique, ce sont les entreprises européennes qui exploitent le bois dans ce pays qui financent la longue guerre fratricide ayant coûté la vie à de nombreux Centrafricains

L'étude intitulée «Bois de sang. Comment l'Europe a aidé à financer la guerre en République centrafricaine» n'est pas passée par quatre chemins pour montrer que des entreprises européennes ont signé des «contrats lucratifs d'exploitation forestière avec des miliciens».

Global Witness s’appuie sur des témoignages et brandit des documents pour démontrer comment les entreprises concernées, après avoir été attaquées par les rebelles de la Séléka, ont par la suite monnayé leur sécurité en finançant les rebelles.

Série d’accusations

En juillet dernier un groupe d'experts mandaté par le Conseil de sécurité des Nations unies en Centrafrique avait évoqué le problème dans son rapport. Le texte stipulait que «des entreprises forestières ont payé des commandants de la Séléka jusqu'à 6.000 dollars américains par mois pour la protection de leurs installations à Bangui».

Une accusation que l’organisation britannique confirme dans son rapport. L’ONG pointe notamment du doigt trois grandes entreprises d’exploitation du bois : la Sefca (Société d’exploitation forestière centrafricaine), à capitaux libanais ; IFB (Industrie forestière de Batalimo), d’origine française ; et Vicwood, détenue par des Chinois,qui réalisent 99% des exportations.

Selon Global Witness, ces trois entreprises auraient au total versé 3,4 millions d’euros à la Seleka. Parmi elles, Sefca, la plus importante d’entre elles, a pour sa part consenti une avance de trésorerie de 250 millions de CFA (382.000 euros) au gouvernement Djotodia en mai 2013.

«Il est tragiquement ironique de constater que, alors que les gouvernements européens ont investi des centaines de millions d’euros dans des opérations militaires et de maintien de la paix en RCA, ils n’ont pas réussi à garder le bois du conflit en dehors des marchés de l’UE», s’est indigné Alexandra Pardal, un expert de Global Witness.


«Tant que l’Europe continuera de soutenir l’industrie forestière de la RCA, les consommateurs de l’UE seront susceptibles d’alimenter involontairement un conflit que leurs propres armées étaient censées stopper», conclut le texte.

Avant la crise de 2013, l’exploitation forestière en Centrafrique représentait 10 % du revenu national et 40 % des recettes de l’Etat. L’Allemagne importe un tiers du bois centrafricain, et la France, 20 %.

P. Amah

http://www.afriquinfos.com/articles...ccuse-leurope-davoir-finance-crise-263449.asp
 

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Des casques bleus soupçonnés du viol d'une fillette de 12 ans et de 2 homicides

Victime agée de 12 ans en République centrafricaine
[13/08/2015]

Les faits se sont déroulés les 2 et 3 août, alors que les forces de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation de la paix en République centrafricaine (MINUSCA) effectuaient une opération dans l’enclave musulmane du PK5 à Bangui, la capitale.


Je me suis mise à pleurer, alors il m’a giflée fort et a mis une main sur ma bouche


C’est par ces mots terribles qu’une fillette de douze ans décrit le viol qu’elle a subi en République centrafricaine.

2 AOUT : VIOL D'UNE FILLETTE DE 12 ANS
Une opération de police des Nations unies qui visait à appréhender un suspect vivant dans l’enclave du PK5, à Bangui, a commencé le 2 août après 1 heure du matin. Plus de 10 000 musulmans, mais aussi de nombreux chrétiens, vivent dans le quartier.

Pendant une perquisition effectuée dans le cadre de l’opération, les hommes de la famille ont été emmenés et les femmes et les enfants, rassemblés dans une pièce. Les casques bleus criaient, les enfants pleuraient : il régnait un véritable chaos. Les femmes n’ont pas remarqué tout de suite que la fillette de 12 ans n’était pas là.

Celle-ci a expliqué à nos délégués qu’elle avait eu peur et s’était cachée dans la salle de bain au début de la perquisition, et qu’un casque bleu l’y avait trouvée. Il l’avait tirée hors de la pièce et l’avait giflée parce qu’elle s’était mise à pleurer........................

http://www.amnesty.fr/Nos-campagnes...ne-fillette-de-12-ans-et-de-2-homicides-15830
 

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L’ONU rappelle « la tolérance zéro » à son personnel impliqué dans les abus sexuels contre les enfants de la RDC....

Sources AFP

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RDC: Une campagne choc contre les viols commis par des casques ...


Koaci.com- Mardi 18 Août 2015-La Mission de l'ONU en République démocratique du Congo (Monusco) a lancé lundi une campagne choc pour sensibiliser ses employés sur les violences sexuelles.

Une campagne choc a été initiée par la mission de l’ONU en RDC régulièrement accusée d'agressions sexuelles, notamment sur mineurs.

Des images ont été publiées sur le site de la Monusco, le compte Twitter et la page Facebook de Radio Okapi (parrainée par la Mission), où on peut voir par exemple une photo de jeune fille en pleurs, assise sur un lit avec, près d'elle, l'uniforme d'un Casque bleu.

« Elle pourrait être votre fille. Pas de relations sexuelles avec les enfants », indique la légende en anglais et en français. Une autre photo montre un Casque bleu de dos, torse-nu et derrière des barreaux.

Pour rappel, le diplomate sénégalais Babacar Gaye, chef de la Mission de l'ONU enCentrafrique Rechercher Centrafrique (Minusca) et ancien commandant de la Monusc a démissionné de son poste après une série d’accusations d’abus sexuels sur des enfants, qui auraient été commis par desCasques bleus Rechercher Casques bleus en Centrafrique.

KOACI
 

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Centrafrique: Une attaque de peuls et d'ex rebelles de la séleka fait au moins 10 morts


© Koaci.com- Jeudi 17 Juin 2016-Une attaque armée a fait au moins 10 morts dans le Nord ouest de la Centrafrique , apprend on jeudi auprès des forces de sécurité.

Au moins 10 personnes ont trouvé la mort et plusieurs blessés dans une attaque attribuée aux ex- rebelles de laSéléka et des peuls contre la région de Ngaoundaye au nord-ouest de la Centrafrique.

D’après un officier de la gendarmerie, "les éleveurs peuls en provenance de Kabo et Markounda au nord, ont demandé à traverser Ngaoundaye pour aller vers la frontière avec le Cameroun. Ils se sont heurtés au refus des habitants.

En colère , des peuls appuyés par des ex-Séléka sont entrés dans le centre de Ngaoundaye, tirant sur les habitants, incendiant des maisons ainsi que la brigade de gendarmerie.

Bilan , 10 morts et plusieurs blessés.

Cette attaque est la plus grave dans le pays depuis l'élection du nouveau président Faustin-Archange Touadéra en février.

KOACI
 
Centrafrique: Une attaque de peuls et d'ex rebelles de la séleka fait au moins 10 morts


© Koaci.com- Jeudi 17 Juin 2016-Une attaque armée a fait au moins 10 morts dans le Nord ouest de la Centrafrique , apprend on jeudi auprès des forces de sécurité.

Au moins 10 personnes ont trouvé la mort et plusieurs blessés dans une attaque attribuée aux ex- rebelles de laSéléka et des peuls contre la région de Ngaoundaye au nord-ouest de la Centrafrique.

D’après un officier de la gendarmerie, "les éleveurs peuls en provenance de Kabo et Markounda au nord, ont demandé à traverser Ngaoundaye pour aller vers la frontière avec le Cameroun. Ils se sont heurtés au refus des habitants.

En colère , des peuls appuyés par des ex-Séléka sont entrés dans le centre de Ngaoundaye, tirant sur les habitants, incendiant des maisons ainsi que la brigade de gendarmerie.

Bilan , 10 morts et plusieurs blessés.

Cette attaque est la plus grave dans le pays depuis l'élection du nouveau président Faustin-Archange Touadéra en février.

KOACI

:(

Allah yarahmoum
 

mam80

la rose et le réséda
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Centrafrique : l'opération française Sangaris touchera à sa fin en octobre 2016

Le président François Hollande a annoncé mercredi que la France allait définitivement mettre un terme à son opération militaire en Centrafrique.

« En octobre prochain, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian se rendra en Centrafrique pour prononcer officiellement la fin de l'opération Sangaris », a déclaré le chef de l'État lors d'une réception au ministère de la Défense.

La France, qui avait lancé l'opération Sangaris dans l'urgence en décembre 2013 sur fond d'affrontements intercommunautaires, ne compte plus que 350 soldats sur place, contre plus de 2 000 au plus fort de la crise.

Le président Faustin-Archange Touadéra, élu en février, a déclaré dimanche que son pays était toujours « en danger », avec des « régions entières » sous le contrôle de groupes armés.

Le relais à la Mission des Nations unies
En avril, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a déjà annoncé la fin de l'opération Sangaris d'ici à la fin de l'année 2016.
Faustin-Archange Touadéra s'était alors inquiété du départ des Français, qui doivent passer le relais à la mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca). « Ces deux entités se complètent dans leurs actions », avait-il estimé.
Les 12 000 soldats de la Minusca déployés dans le pays sont aujourd'hui seuls en première ligne face au regain des violences, en attendant la refondation - encore lointaine - d'une armée centrafricaine.

Plus de 6 000 personnes ont fui des violences dans l'ouest de la Centrafrique depuis la mi-juin pour se réfugier au Tchad et au Cameroun, selon le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés.
Début juillet, au moins 10 personnes ont été tuées dans des affrontements, dans l'est cette fois, à Bambari.

lepoint

mam
 

Drianke

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Centrafrique : l’Onu, dans le piège des diamants du sang

Une enquête du Réseau d'information régional des Nations Unies (Irin) révèle le versement d''une importante somme d'argent par l'Onu à une société centrafricaine impliquée dans le trafic de diamants.

http://mondafrique.com/centrafrique-lonu-piege-diamants-sang/
 

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Quatre casques bleus tués, huit autres blessés en Centrafrique

Un Casque bleu marocain était toujours porté disparu mercredi 10 mai en Centrafrique après l’attaque lundi soir d’un convoi de la Mission des Nations unies (Minusca) par un groupe armé qui a coûté la vie à quatre Cambodgiens dont trois « sauvagement assassinés », a indiqué la force onusienne.

Un « groupe de civils » centrafricains était en « négociation » avec les assaillants pour retrouver le soldat marocain disparu après l’attaque du convoi à 470 km à l’est de Bangui près de la frontière avec la République démocratique du Congo, a indiqué la Minusca .

Un groupe anti-Balaka

Le convoi a été arrêté par un barrage lundi à 20h00 (19h00 GMT) de nuit et sous la pluie près de Bangassou en provenance de Rafai, a précisé la Minusca qui attribue l’ouverture des hostilités à un groupe anti-Balaka. Un Casque bleu cambodgien a été tué dans l’échange de feu, de même que huit assaillants, d’après la force onusienne.
 

Drianke

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Plusieurs dizaines de civils tués dans des attaques en Centrafrique

Au moins 20 personnes ont été tuées dans des attaques de milices chrétiennes contre la population en Centrafrique au cours du week-end.


Des centaines de civils ont trouvé refuge dans une mosquée de Bangassou, en Centrafrique, frappée par des attaques de miliciens chrétiens anti-balaka, qui ont tué 20 à 30 civils, ont annoncé dimanche des responsables de l'ONU et des travailleurs humanitaires. Des centaines de miliciens ont participé aux attaques sur la ville du sud-est du pays au cours du week-end, qui paraissaient dirigées contre la communauté musulmane, ont ajouté ces responsables. Un camp de l'ONU a également été visé, et des troupes supplémentaires ont été déployées à Bangassou en prévision de nouvelles attaques, après une semaine de violences qui a coûté la vie à six casques bleus.

Des enfants soldats. Les soldats sont parvenus à rétablir le calme sur une partie de la ville dans la soirée, a précisé Hervé Verhoosel, porte-parole de la mission de l'ONU en Centrafrique (Minusca). "La situation est extrêmement déplorable et nous faisons tout pour reprendre rapidement le contrôle de Bangassou", a déclaré le chef de la mission, Parfait Onanga-Anyanga, à Reuters. Interrogé sur le nombre de victimes civiles , il a dit "envisager des chiffres qui pourraient facilement atteindre 20 à 30" décès. Nombre de combattants sont des enfants soldats qui semblent sous l'emprise de drogues, a-t-il ajouté. Selon le président de la mission locale de la Croix rouge, Antoine Mbao Bogo, les fusillades continuaient dimanche, empêchant de porter secours aux blessés et de récupérer les corps des victimes.

Regain de violences. La région de Bangassou, frontalière de la République démocratique du Congo, avait jusqu'à présent été relativement épargnée par les violences dans lesquelles la Centrafrique s'est enfoncée en 2013. Mais la situation s'est brutalement dégradée cette semaine après l'attaque d'un convoi de l'ONU dans laquelle cinq casques bleus ont été tués. Selon les travailleurs humanitaires, les milices constituées sur fond de rivalités ethniques et religieuses ont tiré avantage du départ, au cours des derniers mois, des soldats français et ougandais qui étaient déployés dans la région à la fin de leur mission. Le Premier ministre centrafricain, Simplice Sarandji, a condamné ces attaques dans un communiqué dimanche et promis que leurs auteurs auraient à rendre des comptes devant la justice.

http://www.europe1.fr/international...ues-dans-des-attaques-en-centrafrique-3330482
 

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Centrafrique : Deux nouveaux tués et un blessé dans les rangs des FAR



Les attaques se multiplient à l’encontre des militaires du contingent des Forces armées royales de la Mission multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies en Centrafrique (Minusca).

Deux soldats marocains ont été mortellement blessés mardi après-midi, aux alentours de Bangassou, suite à une attaque par un groupe armé anti-Balaka d’un camion-citerne des FAR, de retour, sous escorte, d’une mission de ravitaillement en eau au profit de la population au titre de l’action humanitaire du contingent marocain au moment où un autre militaire a été légèrement blessé.

http://aujourdhui.ma/actualite/centrafrique-deux-nouveaux-tues-et-un-blesse-dans-les-rangs-des-far
 

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En Centrafrique, les casques bleus sont devenus des cibles

Après un premier mort dimanche, deux soldats de la paix marocains ont été tués mardi à Bangassou, dans une embuscade tendue par des miliciens chrétiens anti-Balakas. Ces pertes illustrent les extrêmes difficultés que rencontre la mission de l'ONU dans le pays au moment où il renoue avec la violence religieuse.

Bangassou est entré dans un nouveau cycle de violence. Dernier épisode, la mort, mardi matin, de deux casques bleus marocains, tués dans une embuscade attribuée aux anti-Balakas, des miliciens essentiellement chrétiens. «L'attaque a eu lieu alors que les casques bleus se ravitaillaient en eau pour les besoins humanitaires de la ville», précise, dans un communiqué, la Mission de l'ONU (Minusca). Les militaires tentaient d'acheminer une citerne d'eau vers la cathédrale où sont massés environ 2000 réfugiés, pour l'immense majorité des musulmans. Dimanche, un autre soldat marocain avait été abattu dans des circonstances parfaitement similaires.

La tension est remontée vendredi dans cette petite ville située à 700 kilomètres de Bangui. Ce matin-là, une jeune fille aurait été kidnappée dans le camp de réfugiés par des éléments anti-Balakas. Un nouveau signe de harcèlement que les déplacés ne vont pas tolérer. Eux, qui campent dans des conditions très précaires depuis la fin mai et une vaste attaque anti-Balaka qui a laissé 115 morts, prennent alors en otage quelques membres d'ONG. Une petite partie des réfugiés sort ensuite des armes et s'en prend aux locaux de l'évêché, qui pourtant tente de les protéger, et brûle des maisons. Ce groupe, sans doute conduit par un jeune local, serait depuis caché dans Tokoyo, le quartier musulman de la ville. «Les réfugiés accusent non sans raison l'ONU de ne pas assez les protéger. Ils veulent changer de sites, fuir plus loin. Ils s'énervent», explique une source catholique à Bangui.

Les musulmans perçus comme des complices de leurs coreligionnaires

La situation a immédiatement servi de prétexte aux nombreux mouvements anti-Balaka qui contrôlent de facto la ville pour intensifier leurs raids sanglants contre les civils musulmans, mais aussi contre l'ONU. Dimanche, la base de la Minusca, située un peu en dehors de Bangassou, a subi des tirs. Puis dans les jours suivants, trois casques bleus ont été tués. Des morts qui portent à sept les pertes essuyées par la Minusca à Bangassou.......................

http://www.lefigaro.fr/internationa...les-casques-bleus-sont-devenus-des-cibles.php
 

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Par RFI Publié le 27-07-2017

Neuf Casques bleus ont été tués en Centrafrique depuis le début de l'année, dont trois depuis dimanche à Bangassou. La ville est au centre de toutes les tensions depuis qu’un groupe d'auto-défense, il y a plusieurs mois, a décidé de s’en emparer et de s'en prendre à la population musulmane. La Minusca a décidé de réagir face à ces attaques.

Les forces spéciales du contingent bangladais devraient arriver à Bangassou vers la fin de la semaine, indique la Minusca. Cette unité d'élite, qui a déjà opéré à Bambari et à Ippy l'hiver dernier, au moment le plus tendu entre factions de l'ex-Seleka, sera appuyée par des Casques bleus gabonais ainsi que par une unité de la police rwandaise.
Leur mission est de rétablir l'ordre et protéger les populations de cette ville située à plus de 700 km de Bangui et qui vit dans le chaos depuis le mois de mai.

Alors que le contingent marocain est quotidiennement harcelé par les groupes d'autodéfense qui contrôlent la ville, les populations musulmanes réfugiées à côté de la cathédrale de Bangassou manquent de tout et sont elles-mêmes encerclées par leurs assaillants. En signe d'exaspération, un petit nombre de ces déplacés avait pillé l'évêché et détruit des biens de l'église le week-end dernier.

Pour l'abbé Florentin Nzingazo, qui est toujours sur place, il est urgent que les forces spéciales de la Minusca arrivent. Le religieux se dit incertain pour sa sécurité ainsi que pour les quelques membres du clergé resté sur place.
Un haut gradé de la Minusca a prévenu « On ne va pas se laisser faire. Ce ne sont pas ces auto-défenses qui vont gagner. »

A Bangassou, c'est la population musulmane (qui est visée) et c'est absolument inacceptable. Toutes les dispositions sont prises pour renforcer notre présence sur place... (C'est) une guerre asymétrique: comme nous ne tirons pas sur les populations civiles, nous savons que l'entreprise va être difficile.

Parfait Onanga-Anyanga: «Ces nouvelles flambées de violences sont extrêmement préoccupantes car il est clair que leurs acteurs ont pour objectif de se débarrasser d'une partie de la population»

26-07-2017 - Par Edouard Dropsy
 

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Un militaire des FAR grièvement blessé en Centrafrique



Un militaire du contingent des Forces Armées Royales (FAR) de la Mission Multidimensionnelle de Stabilisation des Nations Unies (MINUSCA) en Centrafrique, a été grièvement blessé, vendredi, lors d’un échange de tirs avec un groupe armé anti-Balaka, indique une source militaire.

Le groupe armé anti-Balaka a attaqué vers 15H16 une patrouille du contingent des FAR qui était en mission d’escorte d’un convoi logistique onusien, précise la même source.

L’attaque a eu lieu à 100 km à l’ouest de Bangassou, lieu d’implantation du contingent des FAR en République Centrafricaine.

S.L. (avec MAP)
 

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CENTRAFRIQUE : MASSACRES A SEKO, PRÊT DE BAMBARI ET A BANGASSOU

L’INDICIBLE BARBARIE INTERMINABLE DES EX-SELEKAS
L’HORREUR AU QUOTIDIEN

Les jours macabres se suivent et se ressemblent. Dans un entretien réalisé par Hélène Destombes (Cité du Vatican), rapporté par Afrique News Infos, avec le Père Gbagoua vicaire général de Bambari. On est suffoqué par les supplices des populations et l’assassinat d’un Prêtre et d’un Imam, abattus à bout portant. Ces insupportables horreurs se sont déroulées à Seko à une soixantaine de kilomètres environ de Bambari. (Sud). Ce sont les ex-Sélékas de l’Union pour la Paix en Centrafrique (l’UPC) qui se sont livré à des représailles aveugles sur des civils. Après des affrontements avec les Antibalakas. Des dizaines de civils innocents ont été massacrés. Par les mercenaires du sanguinaire Ali Darass chef d’Union Pour la Paix en Centrafrique (UPC)… Ce Nigérien, ex –Séléka à la solde de Djotodia, qui règne sur la Kotto, la Basse-Kotto et le Mbomou. Il ne parle ni le français ni le Sango ? Ces massacres sont des exécutions sommaires. Des crimes de guerre et contre l’humanité. Ce scénario sinistre se déroule, dans une indifférence générale insupportable, des Médias occidentaux qui préfèrent évoquer quotidiennement, les guerres au Proche et au Moyen-Orient… Pas moins de vingt morts par jour. En Centrafrique, pays martyre, les viols des femmes et d’adolescentes par les ex-Sélékas et quelques éléments dépravés de la soldatesque internationale sont monnaies courantes.

QUE FONT LES AUTORITÉS CENTRAFRICAINES, LA MINUSCA ET LES FORCES INTERNATIONALES ?

Ce ne sont pas les condamnations de la MNUSCA et le silence assourdissant et insupportable du Gouvernement qui désarmeront les bandes armées. Mais un engagement déterminé sur le terrain pour venir à bout des terroristes. Le Gouvernement doit communiquer à propos de la lutte contre les envahisseurs. Le silence du pouvoir sur les derniers massacres est inadmissible. Les Centrafricains n’en peuvent plus de pleurer leurs morts. Ils n’en peuvent plus de se sentir abandonné par leurs gouvernants qui donnent l’impression de regarder ailleurs pendant que la maison Centrafrique brûle. Il faudra interpeller la MINUSCA les Forces internationales et les gouvernants sur leur incapacité à désarmer les rebelles et protéger les Centrafricains. Il est insupportable de constater que les politiciens centrafricains ont disparus de la scène, alors qu’ils étaient si nombreux à postuler à la Présidence de la République.

Il est tout autant insupportable de constater l’incapacité de l’armada internationale. Malgré l’arrivée des armes et des soldats russes. Malgré la si longue présence de la Minusca qui devrait, aider le Gouvernement à désarmer les rebelles et protéger les populations. L’arrogance et la cruauté des ex-Sélékas est sans limite. La République Centrafricain semble se figer dans un statu quo d’une partition, qui menace de jour en jour son unité territoriale et sociale. Les Centrafricains diront non à la dislocation, de leur pays, Il faut craindre un ras le bol des Centrafricains qui conduise à une longue instabilité.

Ps : Les violences continuent au KM5. Que font les forces de sécurité et de police ? Il n’ y’a pas si longtemps, le Ministre de la sécurité a fait une descente au KM5. Les deux chefs de bandes qui se sont partagé le quartier, sont toujours là. Ils continus à racketter les commerçants du quartier. Et à s’enrichir sur leur dos. Soudoyés et cooptés par des fanatiques poseurs de bombes. Il est à redouter que le quartier est déjà infiltré par des combattants de DAESH mis en difficulté en Syrie. Ils vont continuer leur guerre là où les intérêts français sont faciles à détruire. Comme en Centrafrique par exemple.

AKOUISSONNE DE KITIKI (28/03/2018)
 

Drianke

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En Centrafrique, 21 civils et un casque bleu tués - Le Monde
www.lemonde.fr/.../en-centrafrique-un-casque-bleu-mauritanien-tue_5280387_3212.ht...
En Centrafrique, 21 civils et un casque bleu tués. Des affrontements ont opposé des milices anti-balaka et des soldats de l'ONU sur une base temporaire de la Minusca dans le sud du pays. Le Monde.fr avec AFP Le 04.04.2018 à 09h52 • Mis à jour le 04.04.2018 à 10h22. Des casques bleus camerounais de la Minusca ...
 
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