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[QUOTE="Drianke, post: 12371953, member: 174325"] La Françafrique en Centrafrique article complet dans le lien [url]http://www.cercledesvolontaires.fr/2013/12/06/la-francafrique-en-centrafrique/[/url] in Article, International / by Jack Liberta / on 6 décembre 2013 at 18 h 13 min / Quels sont les vrais intérêts de la France en République centrafricaine (RCA) ? Alors que François Hollande vient de déployer une force militaire française de 1 000 hommes dans ce pays, nous citoyens sommes en droit de nous demander pour quels motifs la France envoie ses soldats là-bas. Voici quelques données sur ce pays peu connu. La République CentreAfricaine, c’est 622 984 Km2 pour environ 5 166 510 habitants, dont environs 45% sont protestants, 35% catholiques et 15% musulmans. C’est un pays aux ressources naturelles variées, propice à des cultures diversifiées et surtout favorisé par un sous-sol riche en pétroles, diamants, or, uranium et autres métaux. Rétrospection sur l’histoire de la RCA Colonisée par la France à la fin du 19ième siècle puis proclamée « indépendante » le 13 août 1960, la république CentrAfricaine, depuis sa création, n’a jamais cessé de connaître l’instabilité politique et sociale au sein de ses frontières. Plusieurs coup d’état se sont enchaînés depuis la nomination de Barthélémy Boganda, 1er chef d’état de la RCA, disparu dans des circonstances plus ou moins douteuses selon certains témoignages. Le flambeau fût repris par son cousin David Dacko, qui, suite à un coup d’état en 1965, sera remplacé par un autre cousin, le capitaine Jean-Bedel Bokassa avant de reprendre brièvement le pouvoir avec l’aide directe de la France dans l’opération Barracuda. Le 1er septembre 1981, son successeur, le général André Kolingba suspendra la constitution pour la remplacer par une dictature militaire qui le rendra impopulaire. Conséquence, de nombreux grèves et manifestations se succèdent. Sous l’influence de la diplomatie Française, le multipartisme est autorisé, le général André Kolingba se soumettra à une élection présidentielle prévue en août 1993. Disqualifié au 1er tour, il cédera sa place à Ange-Félix Patassé. Mais c’est un pays encore plus dévasté, économiquement et socialement que le nouveau président héritera de son prédécesseur. La situation est de plus en plus tendu ce qui entraînera dans les années à venir de nombreuses révoltes. En 2003, un énième coup d’état pour le pays, le général François Bozizé remplaçera l’ex président Patassé avec l’aide encore une fois de la France (deux avions de chasse de l’armée française survolaient Bangui pour filmer les positions des loyalistes pour le compte de Bozizé) et de miliciens tchadiens (c’est-à-dire de soldats africains travaillant pour la France et dont une bonne partie vont rester avec lui après son installation au pouvoir pour assurer sa sécurité). Situation en RCA et intervention militaire de la France Instrumentée par Michel Djotodia, une alliance de rebelles, qui se fait appelé la Séléka, venu majoritairement du Tchad et du Soudan, commettra fin 2012, des exactions sur son passage en direction de la capitale, Bangui. Le mot « Séléka » en Sangö veut dire « Alliance » et non pas « Coalition » comme le reprend la presse française. Selon Roland Marchal, spécialiste de la Centrafrique « La Séléka serait donc une alliance de quatres groupes armés, dont trois étaient connus, le quatrième ayant été crée pour la circonstance, à partir du Tchad ». En quelque sorte, il s’agirait apparemment d’une fédération de groupes majoritairement islamistes et intégristes armés par les mouvements djiadhistes issues du Mali et de l’éclatement de la Lybie. La Séléka recruterait aussi des hommes dans les régions marginalisées du Nord de la RCA. Aucune armée nationale centrafricaine ne pourra défendre ses citoyens face à cette intrusion étrangère par manque de moyens. Le Centrafrique est encore sujette à de nouveaux conflits. Désarmée, elle n’a pas le choix de se tourner, encore une fois, vers ses alliées ou plutôt son allié, la France. Un coup dur pour un pays censé être indépendant qui ne possède aucune armée nationale par manque de moyens. Plusieurs ONG auraient semble-t-il lancé un appel à l’aide, dénonçant une véritable urgence humanitaire. Mais François Hollande n’accordera pas son soutien à Bozizé. « D’une manière générale, si nous sommes présents, ce n’est pas pour protéger un régime. C’est pour protéger nos ressortissants… et nos intérêts » à déclaré le président français, François Hollande....................... [media=youtube]DpOC5Fb7ArI[/media] [/QUOTE]
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