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[QUOTE="Drianke, post: 16303518, member: 174325"] [SIZE=7][B]Hirak: les critiques continuent de s’abattre sur Amina Bouayach[/B][/SIZE] La tempête de critiques continue de s’abattre sur la présidente du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Amina Bouayach, qui a déclaré dans une interview à EFE qu’« il n’y a pas de prisonniers politiques au Maroc ». Dernière en date, la réaction de l’universitaire spécialiste de l’approche genre et droits de l’Homme Latifa El Bouhsini, sur sa page Facebook. Militante de longue date et ancienne camarade d’Amina Bouayach au sein de l’Organisation marocaine des droits de l’Homme (OMDH), Latifa El Bouhsini a tenu à répondre aux propos d’Amina Bouayach sur les colonnes d’EFE sur l’« inexistence de prisonniers politiques au Maroc ». S’inscrivant en faux, la professeure universitaire émet une série d’interrogations et rappelle quelques expériences et faits historiques et sociaux qu’elle a partagés avec la présidente du CNDH durant ce qui est communément appelé aujourd’hui « les années de plomb ». Latifa El Bouhsini passe ainsi en revue l’activisme des jeunes marocains des années 1970, « incarcérés pour avoir participé à des manifestations liées aux droits économiques et sociaux », décrit-elle. De même que les tristement célèbres émeutes du 19 janvier 1984, provoquées par la hausse des prix des principales denrées alimentaires dans le pays, conséquence de l’application du Programme d’ajustement structurel (PAS) imposé au royaume. « La présidente (du CNDH, ndlr) a-t-elle oublié que le changement de la trajectoire empruntée par le Hirak du Rif d’une nature économique et sociale à une nature politique est le résultat de la confusion créée par la majorité gouvernementale qui a accusé les jeunes de séparatisme ? », poursuit l’actrice associative dans sa publication. « La politique ne signifie pas seulement affronter le système politique dans sa nature et son essence en tant que système, mais aussi le confronter dans ses choix et ses orientations économiques et sociaux », note Latifa El Bouhsini. Si la membre de bureau national de l’École citoyenne des études politiques rétorque que, bien au contraire, les activistes du Hirak du Rif sont bien des prisonniers politiques, c’est parce qu’ « ils ont organisé des marches pacifiques pour la défense de la dignité, qui est à la base de toute politique qui envisage la sécurité du pays et la sécurité des citoyens ». L’auteure du post Facebook conclut en s’adressant à la présidente du CNDH qu’elle connait personnellement pour avoir milité à ses côtés au sein de l’OMDH : « Il reste à vous et à votre Conseil de prendre vos responsabilités et de pousser pour la libération des prisonniers politiques … Sinon, l’existence de ce Conseil n’a aucun sens ». hespress [/QUOTE]
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