Actualités Syrie

Lemarocain007

Les chiens aboient
100.000 morts en 2 ans et qlq mois, impossible que Assad restera au pouvoir, chaque jour j'attend le moment ou j'apprendrai la fin de cet assassin et aussi celle de hezbou chaytan qui me fera énormément plaisir.

Bientot inch'Allah.
 
Syrie : les images d'une attaque à l'arme chimique

Faut regarder les commentaires des gens sur yahoo en bas de ce film, surtout ceu qui ont ait leur service militaire; 98% n'y croient pas.
Juste a cliquer sur "Les plus anciens", "Le plus de réponses", il y a des perles, le type qui ne fait pas le saut quand l'obus éclate et continue de parler, le salafiste qui fume, les mecs qui tirent dans le vide sans jamais prendre de balles, le journaliste qui est vu a 1 min 13 sans masque alors que ceux qui ont un masque toussent, le sarin qui ne sent plus le géranium mais devient inodore, le sarin qui ne pénètre plus la peau, les masques neufs sortis des sacs, la pièce ouverte ou le sarin ne pénètre pas....Quand 98% des commentaires se moquent de ce truc c'est pas ca qui risque de convaincre.
 
SYRIE - SITUATION SUR LE TERRAIN CE 23 JUIN AU SOIR - INFORMATIONS CHRONIQUE - GOUVERNORAT D'ALEP : une voiture piégée enclenchée à fond et lancée sur le dernier bâtiment (celui des officiers) de la base de Menagh a tué le commandant en charge de la base (il avait lui même succédé à un autre tué il y a deux mois) et cinq autres loyalistes dans la nuit du 22 au 23 juin. A Alep, même, la rébellion s'installait peu à peu autour du centre de recherche. La récemment constituée 9ème force mécanisée est actuellement sur zone en soutien aux 1500 hommes engagés. GOUVERNORAT DE DAMAS : les forces irakiennes chiites radicales et le Hezbollah ont bombardé de manière folle pour le 4ème jour le quartier de Barzeh-est sans le prendre.

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=aNPIN4GxCRw
 
SYRIE - LA CHRONIQUE CONFIRME LA PRISE DE CONTRÔLE PAR LA REBELLION DE LA MAJEURE PARTIE DE LA ZONE DE RASHIDEEN ET DE LA TOTALITE DE MANSOURAH A L'OUEST D'ALEP - INFORMATIONS CHRONIQUE - Oui. La Chronique confirme que, après une opération de 18 heures nommée "Bataille d'al Qadisiyyah" (et qui se poursuit cette nuit du 22 au 23 juin), la rébellion a pris l'effectif contrôle d'une grande partie du district de Rashideen, dans la banlieue occidentale d'Alep, lors d'une opération déjà soulignée plus tôt en journée. De plus, la cité de Mansourah est désormais totalement sous contrôle de la rébellion qui attaque maintenant directement le centre de recherche militaire. Plus de 1000 hommes ont participé à l'offensive qui a forcé les loyalistes à fuir vers New Aleppo, le centre de recherche et la base d'Hamadaniyah. 1000 autres pourraient être engagés dans la bataille.

A NOTER : l'une des principales raisons, comme l'ont remarqué plusieurs abonnés, de cette victoire est l'accord signé entre l'ASL-FILS et les forces kurdes (dont le PYD) à Afrin et ses environs. En effet, peu après le retrait des combattants de la rébellion du siège d'Afrin et sa région, la bataille a été engagée avec des troupes aux mains libres.

[ A CONFIRMER : trois pasdaran iraniens seraient prisonniers après avoir été pris au piège dans une position en hauteur dans un immeuble à Mansourah ].
 
SYRIE - LA FIN DU JABHAT AL NUSRA S'ACCELERE / L'ETAT ISLAMIQUE D'IRAK MIGRE VERS LA SYRIE ET Y PROSPERE - EDITO CHRONIQUE - Le grand migrateur. Ce sera le nom que l'on pourra donner à l'Etat après cette période qui s'achèvera quand une grande partie de sa force aura conclu son déplacement vers la Syrie en l'espace de quelques mois en accéléré. Le grand effondrement. Ce sera le nom que l'on pourra donner à la récente histoire du Jabhat al Nusra dans le même temps où la force de la salafiyya jihadi si réputée, dont une partie était déjà issue de l'Etat Islamique, est en train de disparaître.

C'est une situation assez étrange, terrible et nouvelle qui se crée. Il a fallu une année pour al-Julani, le chef du Jabhat al Nusra, pour gagner son "autonomie" depuis l'Etat Islamique d'Irak et se débarrasser, osons le dire, de sa sinistre réputation dont les récentes oeuvres à travers l'Irak ont fait, en deux mois (mai-juin 2013), plus de 1200 morts civils, principalement des chiites (attention, les milices radicales chiites ont tué dans le même temps plus de 600 civils, principalement sunnites...). Et il faut dire qu'avec ses camarades, al-Julani était parvenu à transformer un groupe qualifié de "terroriste" par les gouvernements du monde en une force respectée, puissante, prospère et qui travaillait avec tout le monde et surtout, capable de négocier avec toute force quand nécessaire.

Et bien cette année a été réduite à néant en quelques mois, et il faudra du travail si l'Etat Islamique veut reforger une telle image. Sous la coupe d'Abu Bakr al-Baghdadi, l'actuel chef de l'Etat Islamique d'Irak, l'organisation irakienne a débarqué massivement, sur les pas de ses prédécesseurs, en 2013. D'abord via Deir ez zur, puis vers Shadadeh, ils ont migré vers Raqqa une fois celle-ci prise par la rébellion (composée alors du Front Islamique Syrien, du Front Islamique de Libération de la Syrie et du Jabhat al-Nusra). En avril, après la bataille, les premiers gros contingents (plusieurs centaines d'hommes) sont arrivés, avec Abu Bakr al-Baghdadi, à Raqqa et s'y sont installés. Ce fut le début de la scission ouverte de Nusra. De fait, des anciens de l'Etat qui avaient rejoint al-Nusra... sont repartis vers l'Etat. Les autres sont restés fidèles à al-Julani. Désormais, une mini-migration a débuté vers Alep où Abu Bakr al-Baghdadi s'est installé depuis plusieurs semaines. Le Jabhat al-Nusra y est encore très influent mais comme à Raqqa, il faut s'attendre à le voir syphonné de l'intérieur par l'Etat. Actuellement, l'Etat Islamique a déplacé en Syrie 4000 de ses combattants sur ses 5000 actifs.

Les "querelles de minarets" se sont multipliées en parallèle entre Zawahiri, Baghdadi et Julani. Au point que, de facto, l'Etat Islamique, ne reconnaissant plus les ordres de Zawahiri, a cessé d'être lié à al-Qaïda, rompant une allégeance historique (et ouvrant la porte à l'implosion de l'édifice idéologique bati depuis 1988). L'Etat Islamique s'est muté en organisation politique opportuniste ayant bien compris l'essentielle opportunité de s'implanter dans le nord-syrien, région affaiblie désormais.
 
Si la population respectait en partie le Jabhat al Nusra, elle s'exaspère de l'Etat Islamique dont les méthodes sanguinaires ne font plus dans la discrétion et suscitent la rage des familles : exécution de civils alaouites sur place publique (alors que ceux-ci n'étaient pas liés à des crimes ni de sang ni de propos), massacre de soldats loyalistes capturés dans le pays de Deir ez zur, et le récent meurtre atroce du jeune Mohamad Qataa. Les exemples ne manquent plus et cette triste liste est appelée à s'allonger. Sauf étonnant changement de politique d'image de l'Etat Islamique. Mais on peut en douter.

Désormais, l'Etat Islamique d'Irak est présent à Damas et les rapports restent divergents sur une présence à Daraa. Il aurait récemment intégré la Jaysh al-Muhajirin (centrée sur le noyau tchétchène d'Abu Omar), gonflant encore ses bras : avec ces ajouts, il dispose désormais de plus de 5000 hommes en Syrie. Mais la colère de la rue demeure et s'intensifie. A Damas, dans le quartier al-Shaar, chaque semaine, les manifestants exigent vengeance pour Mohamad Qataa. A Raqqa, les femmes de prisonniers détenus par l'Etat manifestent chaque semaine pour exiger le départ de ses forces de la ville. La Chronique estime dans le même temps que le Jabhat al-Nusra "autonome" ne compte plus que 5000 hommes, loin de son apogée avec ses 8 à 9 000 combattants. Et la décrue va s'amplifier, sauf retournement avec un conflit ouvert entre les "pro-Julani" et les "pro-Baghdadi".

Dans le même temps, s'il a multiplié ses sanglantes attaques en Irak, principalement à Bagdad, l'Etat Islamique a considérablement perdu de son poids en Irak via sa migration en Syrie. Une situation de changement à ne pas sous-estimer : alors qu'il ne contrôlait guère de choses en Irak (entre 2005 et 2013, ses effectifs se sont effondrés de près de 20 000 à moins de 6000 et il n'a plus aucune agglomération sous contrôle), sa volonté de vouloir s'implanter en Syrie pourrait aussi tuer sa capacité à agir à grande échelle en Irak (son objectif primaire). Et la Syrie n'est pas un Etat incontrôlable comme l'Irak : si les adversaires de l'Etat Islamique décidaient d'une guerre contre l'Etat, celui-ci ne pourrait jouer au cache-cache et pourrait être violemment frappé au coeur... attention donc à ce que le piège ne se referme pas sur lui : Baghdadi joue un jeu dangereux où il a peut être mis en danger l'organisation toute entière dont il avait hérité et qui était déjà fragile.

Plus grave, par ces actions d'affaiblissements, l'Etat Islamique est en train d'ouvrir les portes à une possible intervention non forcément occidentale, mais sorte d'armée de pacification sous mandat ONUsien qui s'installerait en Syrie sous prétexte d'assurer le calme transitionnel... est-ce donc là le but de l'Etat ? Appeler une intervention de ses propres ennemis pour que ceux-ci l'affaiblissent ? Dans tous les cas, le pari est risqué et deux possibilités s'ouvrent : la naissance d'un Etat Islamique puissant, influent, qui s'engagerait militairement (autrement que pas des attentats), et qui verrait des milliers d'hommes le rejoindre. De l'autre, un Etat piégé en Syrie, déjà affaibli après des années de difficultés en Irak, et qui serait à la merci de ses adversaires tous réunis.

par LABROUSSE Cédric
22 juin 2013

https://www.facebook.com/ArabChroniclebyCedricLabrousse
 
BACHAR,POUTINE ET L'EXTRÊME DROITE EUROPEENNE
par Aboud Isber

L'article de l'excellent Hazem Saghieh dans Al Hayat* de ce jour nous informe que Bachar El Assad vient de recevoir une délégation de soutien de la facho sphère européenne comprenant des leaders de l'extrême droite anglaise, hongroise, belge, suédoise et française.
A l'occasion Marine le Pen revient de Russie où elle a été accueillie en chef d'état et exprimé ses convergences avec Moscou sur la Syrie.
Or il est à noter que le dénominateur commun de ces partis, est l'opposition qu'ils manifestent, chacun dans son pays, à l'encontre de la population immigrée, alliée à l'islamophobie la plus vulgaire qui considère, entre autres inepties, que les centaines de millions de musulmans dans le monde ne mériteraient pas la démocratie et qu'ils devraient avoir, à sa place, des régimes autoritaires. Cette convergence de la facho sphère avec la Russie de Poutine, qui trouve son point culminant sur un sujet de politique étrangère, la Syrie, se double d'une admiration sans bornes de la personne du dirigeant russe, de sa poigne et de sa démocratie musclée, contrôlée et limitée, qui n'exclut pas de mettre en prison un intellectuel trop porté sur la critique ou de faire assassiner au polonium un opposant réfugié à l'étranger. Précisons que cette extrême droite traditionnellement antisémite se réconcilie avec Israël grâce à l'afflux des réfugiés russes, admirateurs tous de Poutine et qui regardent la population palestinienne comme Poutine les tchéchènes, et contribue de ce fait à la fascisation de la société israélienne en aggravant sa méfiance et sa fermeture vis à vis de ses arabes et en enterrant définitivement la solution des 2 états préconisés par la société internationale.
Tout se passe en effet comme si l'extrême droite européenne s'apprêterait à signer avec Poutine une version soft du pacte germano soviétique de la fin des années 30 du siècle dernier, dans lequel la Syrie prendrait la place de la Pologne et où l'assassinat de masse de Katyn commis en Pologne par Staline et prêté aux nazis trouve son équivalent dans les massacres de Houleh et de Kabrine commis par les chabbihas de Bachar et prêtés aux groupes terroristes.
Or il faut à la fin comprendre le soutien indécent que Poutine et le fascisme européen, admirateur inconditionnel de la démocratie poutinienne, apportent au régime syrien, par le fait que ce régime représente la dernière digue qui en s'effondrant engloutira tôt ou tard la démocratie musclée et mafieuse inventée par Poutine qui rêve de gouverner la Russie pendant 50 par la pratique d'une nouvelle forme d'échangisme entre le président et le premier ministre( Poutine 12 ans président, Medvedev 6 ans président et Poutine premier Ministre, Poutine 12 ans président et Medvedev premier ministre, Medvedev 12 ans président et Poutine premier ministre.

http://youkal.net/2012-12-02-14-05-23/24-32/19965-اليسار-مع-بشّار،-واليمين-أيضاً
 
Syrie : l’Iran ne permettra pas d’ingérence étrangère dans le conflit

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a déclaré hier que l’Iran « ne permettra pas (…) aux pays étrangers d'imposer leurs décisions aux Syriens », alors que les Amis de la Syrie ont décidé hier à Doha d’armer les rebelles syriens. Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a pour sa part affirmé que « ceux qui soutiennent l'envoi d'armes en Syrie sont responsables du massacre des innocents et de l'insécurité dans la région ». « Au lieu d'envoyer des armes en Syrie, Washington doit soutenir l'arrêt de la violence et le dialogue national pour que les Syriens décident de leur avenir », a-t-il ajouté. L'Iran, principal allié de la Syrie dans la région, s’oppose à l'armement des rebelles syriens, estimant que cela ne ferait que prolonger la crise. (Sources : RIA Novosti, Xinhua).
 
SYRIE / FRANCE - CRITIQUER LE "BARBU" MAIS ETRE CONTENT DES AVANCEES DE LA REBELLION... - EDITO CHRONIQUE - C'est un peu comme la France anti-communiste qui honore la Résistance de 1940-1945 où les "rouges bolchéviques" comme ils étaient appelés avant-guerre par certains (puis après-guerre encore) ont été partie prenante et parmi les leaders de la vraie résistance, celle de l'Intérieur (car c'est celle qui ne part pas à l'étranger, c'est celle qui meurt au pays, c'est celle qui se sacrifie, quand d'autres se dorent la pilule à Londres en se proclamant chef pour revenir sans n'avoir rien fait que prendre place après le sang versé par d'autres... [vous l'aurez compris, le coup de De Gaulle chef de la France résistante ne passe pas chez moi, mais je ne suis pas non plus communistes : je l'ai déjà montré ici, je ne respecte que les combattants et les chefs de guerre]).

"La Révolution Syrienne en Français" a mené une charge virulente hostile à... une majorité des combattants de Syrie désormais. Oh tous ne sont pas des émissaires d'al Qaïda en puissance, très loin de là même. Mais si certains n'ont pas le temps de se raser (ne pas oublier ce phénomène, qui loin de proner le salafisme prone surtout une situation de manque de temps pour soit après deux années de guerre... Nos poilus de 16' étaient-ils des salafis jihadis en puissance, j'en doute...), d'autres sont clairement des musulmans pratiquants soutenant l'Islam politique. Ils sont partout : dans l'ASL, dans le FIS, dans le FILS, dans le Jabhat al Nusra et dans désormais le furoncle (allez y les jihadis de canapé, déchainez-vous), au milieu du visage syrien qu'est l'Etat Islamique d'Irak, bouchers de père en fils (et pas halal en plus... sans vouloir faire de l'humour trop noir...).

Mais on rappellera à cette page, qui a désormais sorti son fusil pour tirer dans son camp, que lorsqu'elle publie sur les avancées de la rébellion, ces avancées sont ou été réalisées ou seront réalisées par ces forces Islamiques, et pas les plus laxistes... Lorsque la base 46 était prise, c'était le Jabhat al Nusra. Quand Taftanaz tombe, c'était Ahrar al-Sham à la manoeuvre. La bataille d'al Furqan dans la Ghouta, qui a stoppé le rouleau-compresseur du Hezbollah et des milices irakiennes après la reprise loyaliste d'Otaybah, c'est le Front Islamique et ses alliés. La récente avancée dans le gouvernorat de Daraa, ce sont les hommes du Front Islamique qui ont pris Inkhil (dans le silence médiatique alors que la ville fait près de deux fois Qusayr en taille et position stratégique... mais là est un autre sujet).
 
A en croire les laïcs anti-régime, ils seraient une majorité. Mais où sont leurs combattants ? Ou sont leurs katibas ? Oh elles existent dans l'ASL, mais elles sont minoritaires, autant être francs avec eux. Les laïcs sont de très bons opposants politiques et historiquement, là il faut oser le dire aux partisans de l'Islam politique, il y a eu autant de laïcs emprisonnés sous le clan Assad que de partisans de l'Islam politique. Les laïcs ont montré leur force, mais pas assez au combat, voir pas du tout. S'ils réclament leur poids, et bien qu'ils aillent massivement combattre. Ils se plaignent ensuite que le régime reprenne du terrain via ses forces étrangères dans la Ghouta et dans le pays homsi ? Mais justement, que les laïcs montrent aux jihadis et mujahidines qu'ils peuvent faire mieux !

Imaginez la tronche de l'Etat Islamique d'Irak et du Jabhat al Nusra, si des laïcards puants, sans barbe et avec leur simple courage prenaient des villes et venaient leur dire "Alors les jihadis ? Nous on prend des villes quand vous gérez votre revue pétrolière ?". La claque serait encore plus terrible que vos mesquines attaques par des affiches insultantes et misérables !

Alors maintenant, que la chose soit claire. Je ne suis pas communiste, mais j'honore la Résistance française : il y avait des communistes, des bonapartistes, des gaullistes, des anarchistes, etc... Tous ont fait leur devoir et mérite les honneurs. Ils ont versé leur sang et sans eux, je ne serais pas là. Les laïcs, si un jour le régime tombe, ne pourront se vanter de leur Syrie que grâce aux rivières de sang des combattants de leur rébellion. Et parmi ceux-ci une grande majorité d'hommes attachés à l'Islam politique et particulièrement à la Salafiyya. Avoir un adversaire ou un rival, c'est au moins le respecter ! Et chez certains, cela ne semble pas être une capacité développée !

LABROUSSE Cédric
28 juin 2013

https://www.facebook.com/ArabChroniclebyCedricLabrousse/posts/550012525035639?notif_t=notify_me
 
Bachar Al-Assad reconnait les défaites de son armée

mais annonce un renfort de ........:malade:

mam
A moins d'un grand bouleversement dans les forces en présence, la guerre en Syrie n'est pas prête de s'arrêter ... Les loyalistes ne peut l'emporter dans ces conditions, les rebelles n'ont pas les moyens de vaincre l'armée syrienne ... Pauvres populations civiles prises entre ces deux feux :pleurs:
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Syrie. 23 civils exécutés par le groupe Etat islamique près de Palmyre

« Le groupe EI a exécuté par armes à feu 23 civils, dont neuf enfants, dans le village d'Amiriyeh, au nord de Tadmor (nom en arabe de Palmyre)
a indiqué Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Dans cette région, des combats mettent aux prises les jihadistes et l'armée syrienne.
Selon lui, des membres de la famille d'employés du gouvernement figurent parmi les personnes tuées près de Palmyre, un site classé au Patrimoine mondial de l'Unesco et menacé par les djihadistes.
ouest france

Palmyre, la perle du désert
Les extrémistes sunnites se trouvent désormais à « un kilomètre » de Palmyre, ville antique célèbre pour ses colonnades torsadées et ses tours funéraires, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), qui rapporte des combats autour de la ville. L'ONG a affirmé vendredi soir que le groupe EI avait exécuté 23 civils, dont neuf enfants, dans un village au nord de Palmyre, précisant que des membres de la famille d'employés du gouvernement figuraient parmi les personnes assassinées. La veille, l'EI avait exécuté 26 civils «pour collaboration avec le régime».

« Nous sommes très inquiets », a affirmé vendredi de Beyrouth Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco, qui a inscrit en 1980 le site sur la liste du patrimoine mondial de l’Humanité.

Palmyre, baptisée «la perle du désert», a été une ville caravanière --étape sur la route de la soie-- et l’un des plus importants foyers culturels du monde antique. Sa célèbre reine, Zénobie, a tenu tête à l’empire romain. «Nous suivons la situation, parce que c’est un site ancien romain (ayant) beaucoup de valeur», a-t-elle ajouté, en renouvelant son appel à «toutes les parties prenantes à protéger» cette oasis.

« Nous ne pouvons pas rester silencieux (…) C’est notre responsabilité d’alerter le Conseil de sécurité pour qu’il prenne des décisions fortes », a ajouté Irina Bokova

L’armée syrienne tente de contrer l’offensive de Daesh

L’armée syrienne a dépêché des renforts et « et l’aviation bombarde les environs de Tadmor », nom de la cité en arabe, a affirmé Rami Abdel Rahmane, directeur de l’OSDH.

Selon l’ONG, les combats ont fait 138 morts parmi les combattants --73 soldats et 65 jihadistes-- depuis que l’EI a pris mercredi une série de postes de l’armée à l’extérieur de la ville.
Daesh a aussi procédé à de nombreuses exécutions de civils accusés de collaborer avec le régime syrien.

De son côté, Talal Barazi, le gouverneur de la province de Homs (centre), dont fait partie Palmyre, a affirmé que la situation était « sous contrôle ».

L’EI s’est vanté ces derniers mois d’avoir détruit ou endommagé plusieurs grands sites archéologiques, notamment ceux de Nimroud et Hatra en Irak.
20 mn

mam
 
Dernière édition:
Syrie. 23 civils exécutés par le groupe Etat islamique près de Palmyre

« Le groupe EI a exécuté par armes à feu 23 civils, dont neuf enfants, dans le village d'Amiriyeh, au nord de Tadmor (nom en arabe de Palmyre)
a indiqué Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Dans cette région, des combats mettent aux prises les jihadistes et l'armée syrienne.
Selon lui, des membres de la famille d'employés du gouvernement figurent parmi les personnes tuées près de Palmyre, un site classé au Patrimoine mondial de l'Unesco et menacé par les djihadistes.
ouest france

Palmyre, la perle du désert
Les extrémistes sunnites se trouvent désormais à « un kilomètre » de Palmyre, ville antique célèbre pour ses colonnades torsadées et ses tours funéraires, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), qui rapporte des combats autour de la ville. L'ONG a affirmé vendredi soir que le groupe EI avait exécuté 23 civils, dont neuf enfants, dans un village au nord de Palmyre, précisant que des membres de la famille d'employés du gouvernement figuraient parmi les personnes assassinées. La veille, l'EI avait exécuté 26 civils «pour collaboration avec le régime».

« Nous sommes très inquiets », a affirmé vendredi de Beyrouth Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco, qui a inscrit en 1980 le site sur la liste du patrimoine mondial de l’Humanité.

Palmyre, baptisée «la perle du désert», a été une ville caravanière --étape sur la route de la soie-- et l’un des plus importants foyers culturels du monde antique. Sa célèbre reine, Zénobie, a tenu tête à l’empire romain. «Nous suivons la situation, parce que c’est un site ancien romain (ayant) beaucoup de valeur», a-t-elle ajouté, en renouvelant son appel à «toutes les parties prenantes à protéger» cette oasis.

« Nous ne pouvons pas rester silencieux (…) C’est notre responsabilité d’alerter le Conseil de sécurité pour qu’il prenne des décisions fortes », a ajouté Irina Bokova

L’armée syrienne tente de contrer l’offensive de Daesh

L’armée syrienne a dépêché des renforts et « et l’aviation bombarde les environs de Tadmor », nom de la cité en arabe, a affirmé Rami Abdel Rahmane, directeur de l’OSDH.

Selon l’ONG, les combats ont fait 138 morts parmi les combattants --73 soldats et 65 jihadistes-- depuis que l’EI a pris mercredi une série de postes de l’armée à l’extérieur de la ville.
Daesh a aussi procédé à de nombreuses exécutions de civils accusés de collaborer avec le régime syrien.

De son côté, Talal Barazi, le gouverneur de la province de Homs (centre), dont fait partie Palmyre, a affirmé que la situation était « sous contrôle ».

L’EI s’est vanté ces derniers mois d’avoir détruit ou endommagé plusieurs grands sites archéologiques, notamment ceux de Nimroud et Hatra en Irak.
20 mn

mam


la leçon sera-t-elle comprise par certains? Est-ce que l'on continuera à jouer la politique du pire juste pour faire plaisir aux pays du golfe.... L'état islamique da3esh-alnosra ou Bashar al Assad. Dans les moments graves, on choisit le moindre mal. Or je doute qu'Obama, Hollande et compagnie aient cette intelligence.
 
la leçon sera-t-elle comprise par certains? Est-ce que l'on continuera à jouer la politique du pire juste pour faire plaisir aux pays du golfe.... L'état islamique da3esh-alnosra ou Bashar al Assad. Dans les moments graves, on choisit le moindre mal. Or je doute qu'Obama, Hollande et compagnie aient cette intelligence.

En quoi c'est plus cruel que les enfants tué par bombe de Assad ? 4 jours avant : Syrie: 20 morts dans un raid du régime sur une station de bus à Alep

De plus choisir Assad ne va pas faire disparaître l'EI pour autant, il suffit de voir les talibans pour le voir. De plus Assad reste un argument légitime de recrutement pour l'EI.

A mon humble avis, voila ce qu'on peut faire pour vaincre l'EI :
-Éliminer Assad, la seule raison legitime qui pousse des jeunes écervelés à rejoindre l'EI pour défendre les musulman contre le dictateur sanguinaire.
-Pousser les tributs qui ont rejoints l'EI à lâché le groupe par des promesse politique
-Ne pas dissoudre l'armée Syrienne (comme l'ancien armée Irakien) mais l'intégré dans le nouveau pays.
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
Je pense au contraire qu'il faut stabiliser Assad, et combattre avec lui ISIS, Nusra etc. Une foi le pays stabilise, les refugiers de retour et le calme retabli, les syriens auront une nouvelle occasion d'organiser des elections, et s'ils sont majoritairement pour ca, changer de president.
 
Je pense au contraire qu'il faut stabiliser Assad, et combattre avec lui ISIS, Nusra etc. Une foi le pays stabilise, les refugiers de retour et le calme retabli, les syriens auront une nouvelle occasion d'organiser des elections, et s'ils sont majoritairement pour ca, changer de president.

N'oublions pas que si on ici aujourd'hui c'est parce que Assad à refuser de quitter le pouvoir, et ordonner l'ordre de tirer sur des manifestant pacifique avant même la creation de l'armée Syrienne ou encore l'arrivé des jihadiste.
Donc c'est bien naïf de penser que Assad va organiser des elections justes et accepté de quitter le pouvoir en fonction des resultat.
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
N'oublions pas que si on ici aujourd'hui c'est parce que Assad à refuser de quitter le pouvoir, et ordonner l'ordre de tirer sur des manifestant pacifique avant même la creation de l'armée Syrienne ou encore l'arrivé des jihadiste.
Donc c'est bien naïf de penser que Assad va organiser des elections justes et accepté de quitter le pouvoir en fonction des resultat.
C'est pas si naif que ca: apres toutes ces destructions, il aura fortement renforce la loyalite de ses supporters et des indecis car il leur aura demontre par l'exemple ce qu'un changement de regime peut signifier (il leur a rappele que la Syrie est encerclee d'ennemis); il peut risquer des elections democratiques. Je pense que dans ces conditions (retour des refugiers, calme, etc), il obtiendra entre 40% et 60% dans des elections reellement democratiques. Il peut perdre aussi bien que gagner. Une chose est claire: tant qu'il aura le soutien d'une partie assez importante des syriens, l'eliminer ne resoudra pas leur guerre civile; ca ne donnera qu'une Libye version syrienne.
 
Assad un homme qui à préfère faire un massacre sur des civils que plutot que faire des reforme, il va pas maintenant prendre le risque de perdre le pouvoir.
De plus personne ne fera confiance à une election organisé par Assad, plus maintenant, pas après autant de mort.

Après Assad n'est pas soutenu par qu'il est aimé, il soutenu soit par sa propre minorité qui à peur des représailles soit par des individu désespérer de voir la fin du conflit.
Il suffit que le nouveau gouvernement (si il n'est pas composé de l'EI bien sur) garanti les droits des minorités pour que la dispartion de Assad ne pose pas de problème.

New : La Turquie abat un hélicoptère Syrien.
La Turquie dit avoir abattu un hélicoptère syrien
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
Les garanties d'un nouveau gouvernement ne devraient pas suffire pour calmer les craintes des pro-Assad. C'est justement ca le probleme. Car ce gouvernement, s'il n'est pas issu d'elections libres ou Assad peut participer, sera percu par eux comme installe par des pays comme la Turquie, Arabie Saoudite, USA etc... qui leur ont aussi envoye et arme ce qui est devenu ISIS. La confiance en ce gouvernement devrait etre tres faible.
 
Dernière édition:
Soyons franc, dans une démocratie nouvelle il y aucune chance que le président ou PM soit issue de la minorité (il y a peine 20 ans il était impensable que les président des USA soit un black par exemple) ni meme que des membres de cette minorité occupe des place important dans l'Etat avant longtemps.

Bien sur la minorité (surtout si cette minorité était habitué à avoir les haut rang de l'Etat) va mal le prendre , mais tant qu'il aurait pas d'acte expressément contre eux je ne pense pas qu'il aurait beaucoup de repercution.

Après si le nouveau gouvernement cherche à se "venger", là la guerre peut se reprendre, mais sinon les resentient de la minorité ne suffira pas à crer une nouvelle guerre;
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
N'empeche, il faudra d'abord faire le menage et purger la Syrie d'ISIS et autres terroristes. Ca ne marchera pas sans une puissance militaire on the ground. Et la seule puissance militaire qui l'est pour l'instant est l'armee syrienne arabe, c.a.d. Assad. Je ne vois pas d'autres pays pret a intervenir serieusement sur le sol, y compris l'ennemi #1 de Assad, Erdogan. Alors, il faudra bien cooperer avec Assad pour organiser cette purge, non?
 
N'empeche, il faudra d'abord faire le menage et purger la Syrie d'ISIS et autres terroristes. Ca ne marchera pas sans une puissance militaire on the ground. Et la seule puissance militaire qui l'est pour l'instant est l'armee syrienne arabe, c.a.d. Assad. Je ne vois pas d'autres pays pret a intervenir serieusement sur le sol, y compris l'ennemi #1 de Assad, Erdogan. Alors, il faudra bien cooperer avec Assad pour organiser cette purge, non?
Bachar Al-Assad ou l'Etat islamique, c'est la même chose. C'est juste la forme qui change - dictature autoritaire sanguinaire contre totalitarisme religieux. Les deux sont responsables de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, à grande échelle. L'Etat islamique fait même pire, puisqu'on peut voir dans ses actions un début de génocide des minorités chrétiennes et non-arabes. Cependant, entre la peste et le choléra ... Si l'Etat islamique décapite, les services de sécurité du régime torturent (dois-je rappeler qu'on parle de dizaines de milliers de disparus dans les geôles du régime ?). C'est bien Bachar Al-Assad qui a largement favorisé l'implantation des djihadistes en Syrie pour délégitimer les forces rebelles (ce qui a plutôt bien fonctionné).
Pour moi, ce sont les deux qu'il faudrait dégager. Cependant, la situation sur le terrain me pousse à croire que c'est impossible à cause de l'implication d'autant de puissances étrangères aux objectifs différents.

Quant à la puissance militaire syrienne, elle n'est plus ce qu'elle était : l'attrition est assez énorme, et elle manque d'effectifs ; le recrutement même dans les zones alaouites devient de plus en plus problématique. De plus, elle ne tient que grâce à la perfusion russe (et chinoise) au vu du matériel perdu depuis maintenant quatre années de conflit. Dans le Nord de la Syrie, elle est en train de subir des revers. Après, elle continue de tenir fermement la côte, Damas et les régions entre, mais l'Etat islamique a commencé à s'implanter dans le coin, tandis que les rebelles et Al-Nosra se ont coupé tout lien avec la Jordanie (autour de Deraa).
D'après ce que je lis sur des forums militaires, l'armée syrienne n'est plus capable en l'état actuel des choses de renverser complètement la situation.
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Le Captagon, la "potion magique" des djihadistes

C’est une petite pilule blanche qui permet d’oublier la douleur et la peur, très prisée en Syrie : le Captagon est le meilleur allié des djihadistes de l’Etat islamique (EI). Mais Daech n’est pas le seul à avoir recours à cette drogue à base d’amphétamine : sur le front militaire syrien, les membres d'Al-Nosra et les soldats de l’Armée syrienne libre (ASL) l’utilisent également pour se donner du courage.

Les effets du Captagon sont multiples, à en croire un trafiquant interviewé par Arte : "Ça donne la pêche, tu te mets à combattre sans te fatiguer, tu marches droit devant toi, tu ne connais plus la peur. Les combattants l’utilisent pour veiller, pour contrôler leurs nerfs et augmenter leurs performances sexuelles." Et peu importe que son utilisation soit interdite par l’islam, puisqu’"aujourd’hui tout le monde s’en fiche de la religion."

Interrogé par Reuters, un officier de la brigade des stupéfiants de Homs se rappelle l'attitude surprenante des prisonniers sous l'emprise de Captagon : "On les frappait et ils ne ressentaient pas la douleur. La plupart d'entre eux rigolaient alors qu'on les bourrait de coups."

Une drogue à l’origine d’une économie de guerre
Ce médicament créé en 1963 était initialement prescrit pour soigner les troubles de la concentration et la narcolepsie, avant d’être placé sur la liste des substances psychotropes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 1986. Le Captagon est depuis interdit dans la plupart des pays, y compris en France, où il est classé comme "produit stupéfiant" par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS).

Aujourd’hui, la Syrie est devenue la plaque tournante de la production et de l’exportation du Captagon, très facile à contrefaire. Jusqu’en 2011, le centre névralgique de fabrication de ce psychostimulant se situait au Liban. Mais, depuis le début du conflit syrien, la production locale de Captagon aurait chuté de 90%, selon un trafiquant interrogé par Reuters.

Les usines ont déménagé en Syrie, où le chaos ambiant constitue une couverture idéale.

Le Captagon n’est donc pas seulement une drogue de terrain. Son trafic a entraîné la naissance d’une véritable économie de guerre, selon Radwan Mortada, spécialiste des mouvements djihadistes : "Les milices en Syrie en consomment une partie mais elles l’exportent aussi vers l’étranger, notamment vers les pays du Golfe. Les gains leur permettent de financer l’achat de leurs armes et leurs opérations militaires."

Entre 5 et 20 dollars le comprimé
Ainsi, "un sac qui contient 200.000 pilules rapporte 1,2 million de dollars une fois arrivé à destination". Des bénéfices d’autant plus importants qu’il suffit seulement "de quelques milliers de dollars" pour produire une telle quantité de Captagon.

L’Arabie saoudite est particulièrement friande de cette amphétamine : 55 millions de pilules y sont saisies chaque année. Et ces chiffres ne font qu’effleurer la réalité, puisqu’ils ne représentent que 10% des pilules en circulation dans le royaume, selon le rapport de l’Office des Nations unies contre la drogue (UNODC) publié en 2013.

Sur le marché syrien, un seul comprimé coûte entre 5 et 20 dollars. Selon George, un psychiatre syrien qui a traité de nombreux cas dans sa clinique de Lattaquié, "la consommation de Captagon - et d'autres comprimés - s'est accrue après la révolution, y compris chez les civils, en raison des pressions psychologiques et économiques qu'ils endurent".

12 millions de pilules saisies en 2013
L’essor du Captagon n’est pas étranger à l’explosion des saisies d’amphétamines dans le monde, qui ont quadruplé en l’espace de cinq ans. Sur la seule année 2013, la police libanaise a intercepté plus de 12 millions de pilules de Captagon. Plus récemment, à la mi-mai, le Liban s’est félicité de l’arrestation d’un baron de la drogue spécialisé dans le trafic de Captagon.

Quatre ans après le début du conflit syrien, la drogue qui stimule les combattants djihadistes et finance leur armement pourrait bien devenir le nerf de la guerre.

Alexis Orsini
nouvel obs

mam
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Fin du "califat" du groupe Etat islamique en Syrie, pas de son influence

Les forces arabo-kurdes aidées par les Etats-Unis ont proclamé samedi en Syrie la fin du "califat" du groupe Etat islamique (EI), une victoire saluée comme cruciale mais pas suffisante pour éradiquer la capacité de nuisance de la principale organisation jihadiste a

ps : mais ce n'est pas fini...EI et ses mentors occidentaux et issraeliens n'ont pas réussi....on va démarrer un autre feu .....Trump et le Golan?!
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Syrie: les jihadistes du groupe EI multiplient les attaques meurtrières

Près de 50 soldats et combattants fidèles au régime en Syrie ont été tués ces dernières 48 heures dans une série d'attaques menées par des jihadistes. Ce sont les plus meurtrières depuis la défaite annoncée du groupe État islamique il y a environ un mois. Les attaques contre l’armée syrienne et ses alliés ont eu lieu à l’est, dans le centre et au nord du pays.

Les combats les plus meurtriers ont eu lieu jeudi et vendredi à l’est de la cité antique de Palmyre, dans le centre de la Syrie. 27 soldats syriens dont quatre officiers ont été tués dans une embuscade tendue par des combattants du groupe État islamique.

Ces militaires faisaient partie d’une importante unité envoyée pour traquer les jihadistes qui ont multiplié, ces dernières semaines, les attaques contre l’armée syrienne sur l’autoroute menant de Palmyre à Deir Ezzor, plus à l’est.

Les affrontements ont duré toute la nuit de vendredi à samedi dans cette région désertique et ont fait au moins six morts dans les rangs de l’organisation extrémiste, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme.

Huit combattants pro-gouvernementaux syriens dont deux officiers ont par ailleurs été tués dans une attaque de l’EI dans la province orientale de Deir Ezzor. Parmi les morts figure un membre du Hezbollah libanais.

Lourdes pertes aussi pour les troupes gouvernementales syriennes dans la ville d’Alep, au nord. 13 soldats ont été tués dans une attaque menée à l’ouest de la métropole par l'Armée Abou Bakr al-Siddiq, un groupuscule jihadiste lié à Hayat Tahrir al-Cham, l’ancienne branche d’al-Qaïda en Syrie. Les duels d’artillerie et les combats sont de plus en plus intenses sur ce front séparant la province d’Alep et celle d’Idleb, contrôlé par les jihadistes.

RFI AFRIQUE
 
@Drianke:
La majorité des combattants tués sont des palestiniens de la Brigade Liwa al Qods ou des combattants chiites.
Les da3echiens semblent avoir une vue sur 2 villes, ces deux villes se trouvent dans la province de Homs il s'agit de Sukhna et Palmyr.

L'armée syrienne concentre ses forces vers Idlab et Alep, si le régime frappe une fois très fort avec ses alliés, ils peuvent faire beaucoup de dégâts à HTS comme l'an dernier durant la période hivernale.

Voici un petit récap:

HTS a perdu en 2016, Alep-Est
HTS a perdu en 2017, tout espoir de mener une offensive sur la ville de Hama
HTS a perdu en 2018, une partie d'Idlab-Est, comme le fameux aéroport Abou Dohour.
 
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