Agadir : un hôtel facture 100 dirhams pour un verre d'eau

Les prix pratiqués par certains établissements hôteliers au Maroc sont encore une fois dénoncés par des internautes. C'est ce qui vient de se produire à Agadir.
En effet, selon Agadir24, le client d'un l'hôtel s'est vu remettre une facture avec des tarifs hors normes. Celui d'un verre d'eau minérale a été fixé à 100 dirhams, alors qu'un jus d'orange a coûté 160 dirhams.
Cette situation a fait le tour des réseaux sociaux où les internautes n'ont pas manqué de dénoncer une telle pratique susceptible de porter (...)

- Société / Tourisme, Agadir, Arnaque

Lire la suite ...
 
Les prix pratiqués par certains établissements hôteliers au Maroc sont encore une fois dénoncés par des internautes. C'est ce qui vient de se produire à Agadir.
En effet, selon Agadir24, le client d'un l'hôtel s'est vu remettre une facture avec des tarifs hors normes. Celui d'un verre d'eau minérale a été fixé à 100 dirhams, alors qu'un jus d'orange a coûté 160 dirhams.
Cette situation a fait le tour des réseaux sociaux où les internautes n'ont pas manqué de dénoncer une telle pratique susceptible de porter (...)

- Société / Tourisme, Agadir, Arnaque

Lire la suite ...
C est le dirham qui ne vaut plus rien
 

Abutactac

Amour, gloire et beauté..
VIB
L ete au maroc dans certains endroits il y a grave de l abus.. ils veulent tous profite.. il y a quelques jours à marrakech dans un parking privée un gars m'a dit c est 40drs de l heure.. o_O
 
Faut sanctionner tout simplement et faire un max de bruit sur les réseaux, c'est ce qui fait réagir malheureusement.

Même dans les plus grands hotels parisiens, on paie aps un jus d'orange 20€. Pour mon exemple à l'Intercontinental c'est 10€ un chocolat chaud, certes c'est cher mais on paie le cadre, le serivce et surtout le réputation. La absolument rien ne justifie ces prix.
 

funambule1

Sur la corde vitale
Le fisc devrait rendre une visite de courtoisie, car avec de tels prix et marges, l'I.S devrait être nul et le bilan négatif : une dissimulation parfois dans les déclarations, qui va en général de pair avec la surenchère des prix.
A quoi bon des prix élevés et se donner du mal, si c'est pour le fisc ?

Quoiqu'en vérifiant les stocks et les factures d'achat on pourrait leur pourrir la vie comme ils le font avec les touristes. Dans le grand livre on devrait retrouver et tracer cette transaction, si ce n'est pas le cas, c'est l'aveu d'un mouvement au noir.

Une révision forfaitaire portant sur 10% du C.A, (comme pour les cessions-mutations), avec les majorations pour déclarations insuffisantes, un redressement sur la TVA, sur le débit de boissons et ce pour les quatre derniers exercices non-prescrits, leur remettrait sérieusement les idées en place.

Ce laisser aller est dû principalement et en général à certains agents du fisc ou du service de contrôle des fraudes et des prix, voire d'hygiène, les seules polices contrôlant les transactions sur le terrain et sur lesquelles on peut compter, un ultime rempart contre les abus.

Puis tant que l'on y est, des visites du service d'hygiène couvrant les cuisines, comme les toilettes (parfois dans un état déplorable) seraient souhaitées et bienvenues.
 
Haut