Les pillards apatrides comme jadis à l'oeuvre
évidemment le gouv collabos baisse la tête
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"J'ai été pris à partie par une demi-douzaine d'individus franco-israéliens apparemment - ils parlaient très bien notre langue - qui m'ont insulté de façon très vive", a raconté mardi 24 avril sur franceinfo Pascal Boniface, le directeur de l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), confirmant avoir été agressé à l'aéroport de Tel-Aviv.
Invité en Is raël par l'Institut français de Jérusalem du lundi 16 au jeudi 19 avril pour une série de conférences, Pascal Boniface explique avoir été agressé dès son arrivée à l'aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv. "Ils ont mis en avant mes liens avec les Arabes. Il y avait beaucoup de "racisme" anti-arabe dans leurs propos, dans leurs insultes", poursuit-il.
Pas d'interpellation
"Ils m'ont bousculé, ils m'ont craché dessus, ils ont voulu m'entraîner en dehors de l'aéroport pour me crever les yeux selon leurs propos, poursuit le chercheur. Ils ne l'ont pas fait parce que j'ai un peu résisté et au bout de quelques minutes, la police est intervenue pour me mettre à l'abri". Pascal Boniface a ensuite précisé qu'"elle [la police] ne les a pas interpellés, mais au moins elle a évité que ça ne dégénère plus que cela."
francetvinfo
évidemment le gouv collabos baisse la tête
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"J'ai été pris à partie par une demi-douzaine d'individus franco-israéliens apparemment - ils parlaient très bien notre langue - qui m'ont insulté de façon très vive", a raconté mardi 24 avril sur franceinfo Pascal Boniface, le directeur de l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), confirmant avoir été agressé à l'aéroport de Tel-Aviv.
Invité en Is raël par l'Institut français de Jérusalem du lundi 16 au jeudi 19 avril pour une série de conférences, Pascal Boniface explique avoir été agressé dès son arrivée à l'aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv. "Ils ont mis en avant mes liens avec les Arabes. Il y avait beaucoup de "racisme" anti-arabe dans leurs propos, dans leurs insultes", poursuit-il.
Pas d'interpellation
"Ils m'ont bousculé, ils m'ont craché dessus, ils ont voulu m'entraîner en dehors de l'aéroport pour me crever les yeux selon leurs propos, poursuit le chercheur. Ils ne l'ont pas fait parce que j'ai un peu résisté et au bout de quelques minutes, la police est intervenue pour me mettre à l'abri". Pascal Boniface a ensuite précisé qu'"elle [la police] ne les a pas interpellés, mais au moins elle a évité que ça ne dégénère plus que cela."
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