Les " bizutages" c'est très sale ça remonte à très loin .
Quoi qu'on est loin de ce Dieu a dit par rapport la femme
**
Nous en avons eu le souffle coupé. Une enquête de Mediapart révèle que des agressions sexuelles ont lieu en permanence dans la prestigieuse école Polytechnique, celle qui forme les futurs cadre de la Nation ou des grandes entreprises privées, cette dernière tendance prévalant de plus en plus sur le sacrifice public...
Dans cette école d’ingénieurs de haut niveau, qui devraient montrer l’exemple à toute la piétaille des filières moins prestigieuses, les étudiantes sont en minorité. On ne refera pas le débat sur les femmes et les sciences ici mais une chose est sûre : il s’agit d’un monde d’hommes. Il y a en moyenne une femme pour 6 ou 7 mecs dans chaque promotion, ce qui produit une tension sexuelle certaine. N’oublions pas, et Mediapart n’en parle pas, que la plupart des mecs qui ont intégré ont tellement bossé pendant les 15 ou 16 ans de leur scolarité, qu’ils n’ont pas eu le temps de connaître une femme, ou les femmes. Autrement dit, une majorité de bourrins prêts à en découdre sexuellement débarque chaque année à Palaiseau, dans le 91.
Au baloche de l’X, les meufs en minorité sont lâchées dans l’école au milieu de fauves assoiffés de sexe
Ceux qui sont passés par les prépas Maths Sup et Maths Spé le savent : la tension sexuelle y est très élevée, et quasiment mesurable. Elle est fonction du simple rapport hommes/femmes. Ce n’est pas une excuse pour ce qui va suivre, mais c’est un fait. Et cet état de choses ne milite pas pour que les femmes se bousculent à l’entrée des prépas pour les écoles d’ingénieurs. Naturellement, il n’y a pas que ça qui joue. L’appétence pour les maths et la physique est moindre chez les femmes. Les féministes qui ne sont pas d’accord avec ce constat peuvent aller tenter le concours de Centrale Paris, après elles reviennent nous voir.
Loi numéro un : toute jeune polytechnicienne – qu’elle soit naturellement sexy ou pas – plongée dans ce milieu fortement testostéroné essuiera les plâtres du désir polymasculin sous des formes plus ou moins maîtrisées, et donc plus ou moins acceptables.
Quand la beauté des femmes devient un handicap
L’évitement de l’expression d’un désir masculin maladroit fait partie intégrante de la stratégie de survie des femmes. Cependant, il y a des femmes qui rendent fous les mecs, surtout s’ils sont inexpérimentés. On vous laisse imaginer le comportement d’un puceau qui sort d’un tunnel de 20 ans de frustration avec la tête qui a pris 10 ans d’avance sur son sexe... La violence du refoulement ! Pour ce genre de lapineau, n’importe quelle femme fait office de « **** à sauter ». D’ailleurs, Mediapart cite une maxime qui circule dans les couloirs :
« Une fille pas maquée à l’X est soit un thon, soit une ****. »
Ordre implicite est donc donné à une « X » de se maquer vite fait ou de se trouver un protecteur pour ne pas se faire harceler.
« Toutes les filles ne sont pas d’accord sur le sexisme, je pense que chacune le vit différemment. Par exemple, si on est en couple avec un X, on est plus protégée. Si on est avec un non-polytechnicien, on est “démaquable”. »
Et le pire arrive pendant le week-end d’intégration, où tous les comportements semblent permis, surtout du côté des toucheurs de seins et de fesses. Le degré zéro de la drague ! On se croirait à Cologne la nuit du 31 décembre ! Migrants–polytechniciens, même combat ?
« Lors de ce même week-end d’intégration, le dimanche soir, Juliette Buet est la victime d’autres faits similaires. Pendant la soirée, deux garçons essayent, en même temps, de lui toucher le sexe. Leurs mains se croisent, et se bloquent, au-dessus de son pubis. La jeune femme s’enfuit à l’autre bout de la pièce, non sans leur avoir jeté un regard noir, selon son récit. “Je ne sais pas si c’était coordonné ou non, mais ils m’ont suivie et m’ont mis une grosse main aux fesses. Ils se félicitaient mutuellement les pouces en l’air.” Elle ne réussit pas à identifier les auteurs de cette agression en raison de l’obscurité. Et quitte la soirée, en larmes. »
Juliette a porté plainte, mais la chose est rare. La plupart mettent les agressions ou les tentatives de viol sous le tapis, ou essayent de calmer les mecs :
Quoi qu'on est loin de ce Dieu a dit par rapport la femme
**
Nous en avons eu le souffle coupé. Une enquête de Mediapart révèle que des agressions sexuelles ont lieu en permanence dans la prestigieuse école Polytechnique, celle qui forme les futurs cadre de la Nation ou des grandes entreprises privées, cette dernière tendance prévalant de plus en plus sur le sacrifice public...
Dans cette école d’ingénieurs de haut niveau, qui devraient montrer l’exemple à toute la piétaille des filières moins prestigieuses, les étudiantes sont en minorité. On ne refera pas le débat sur les femmes et les sciences ici mais une chose est sûre : il s’agit d’un monde d’hommes. Il y a en moyenne une femme pour 6 ou 7 mecs dans chaque promotion, ce qui produit une tension sexuelle certaine. N’oublions pas, et Mediapart n’en parle pas, que la plupart des mecs qui ont intégré ont tellement bossé pendant les 15 ou 16 ans de leur scolarité, qu’ils n’ont pas eu le temps de connaître une femme, ou les femmes. Autrement dit, une majorité de bourrins prêts à en découdre sexuellement débarque chaque année à Palaiseau, dans le 91.
Au baloche de l’X, les meufs en minorité sont lâchées dans l’école au milieu de fauves assoiffés de sexe
Ceux qui sont passés par les prépas Maths Sup et Maths Spé le savent : la tension sexuelle y est très élevée, et quasiment mesurable. Elle est fonction du simple rapport hommes/femmes. Ce n’est pas une excuse pour ce qui va suivre, mais c’est un fait. Et cet état de choses ne milite pas pour que les femmes se bousculent à l’entrée des prépas pour les écoles d’ingénieurs. Naturellement, il n’y a pas que ça qui joue. L’appétence pour les maths et la physique est moindre chez les femmes. Les féministes qui ne sont pas d’accord avec ce constat peuvent aller tenter le concours de Centrale Paris, après elles reviennent nous voir.
Loi numéro un : toute jeune polytechnicienne – qu’elle soit naturellement sexy ou pas – plongée dans ce milieu fortement testostéroné essuiera les plâtres du désir polymasculin sous des formes plus ou moins maîtrisées, et donc plus ou moins acceptables.
Quand la beauté des femmes devient un handicap
L’évitement de l’expression d’un désir masculin maladroit fait partie intégrante de la stratégie de survie des femmes. Cependant, il y a des femmes qui rendent fous les mecs, surtout s’ils sont inexpérimentés. On vous laisse imaginer le comportement d’un puceau qui sort d’un tunnel de 20 ans de frustration avec la tête qui a pris 10 ans d’avance sur son sexe... La violence du refoulement ! Pour ce genre de lapineau, n’importe quelle femme fait office de « **** à sauter ». D’ailleurs, Mediapart cite une maxime qui circule dans les couloirs :
« Une fille pas maquée à l’X est soit un thon, soit une ****. »
Ordre implicite est donc donné à une « X » de se maquer vite fait ou de se trouver un protecteur pour ne pas se faire harceler.
« Toutes les filles ne sont pas d’accord sur le sexisme, je pense que chacune le vit différemment. Par exemple, si on est en couple avec un X, on est plus protégée. Si on est avec un non-polytechnicien, on est “démaquable”. »
Et le pire arrive pendant le week-end d’intégration, où tous les comportements semblent permis, surtout du côté des toucheurs de seins et de fesses. Le degré zéro de la drague ! On se croirait à Cologne la nuit du 31 décembre ! Migrants–polytechniciens, même combat ?
« Lors de ce même week-end d’intégration, le dimanche soir, Juliette Buet est la victime d’autres faits similaires. Pendant la soirée, deux garçons essayent, en même temps, de lui toucher le sexe. Leurs mains se croisent, et se bloquent, au-dessus de son pubis. La jeune femme s’enfuit à l’autre bout de la pièce, non sans leur avoir jeté un regard noir, selon son récit. “Je ne sais pas si c’était coordonné ou non, mais ils m’ont suivie et m’ont mis une grosse main aux fesses. Ils se félicitaient mutuellement les pouces en l’air.” Elle ne réussit pas à identifier les auteurs de cette agression en raison de l’obscurité. Et quitte la soirée, en larmes. »
Juliette a porté plainte, mais la chose est rare. La plupart mettent les agressions ou les tentatives de viol sous le tapis, ou essayent de calmer les mecs :