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[QUOTE="majid10, post: 15761570, member: 388995"] [B]Maladies graves au stade terminal : attention aux médicaments qui aggravent encore les souffrances !![/B] En cas de maladie fatale à court terme (Alzheimer avancé, cancer en phase terminale, sclérose en plaques en phase terminale), la revue [I]Prescrire[/I] est particulièrement prudente. Elle souligne que c’est un terrain où les dérapages de la médecine sont plus fréquents. [I]« Des soignants estiment justifié de tenter des traitements "de la dernière chance" »[/I] qui ont très peu de chance de procurer la moindre amélioration, et comportent le risque de graves effets indésirables, explique la revue Prescrire. Et ils le font « [I]sans toujours avertir les patients, ou en leur fournissant une information incomplète, sciemment ou non.[/I] ». Pourquoi ? Parce qu’ils estiment qu’il n’y a de toute façon « [I]plus rien à perdre[/I] », et que ces patients sont en outre plus susceptibles que les autres d’accepter des médicaments n’ayant pas fait leurs preuves. « [I]Pourtant, les patients en impasse thérapeutique ne sont pas des cobayes[/I] », rappelle [I]Prescrire[/I]. Et en effet : il est inhumain et même contraire à la mission de la médecine, d’aggraver l’état de santé de personnes déjà terriblement touchées par la maladie. Un système médical qui considère qu’il n’est pas grave de faire mal à quelqu’un, sous prétexte que la personne souffre déjà énormément, peut vraiment être considéré lui aussi comme un peu… malade. Voyons donc les cas du cancer, de la maladie d’Alzheimer, et de la sclérose en plaques : [B]Cancer[/B] [I]Prescrire[/I] rappelle que beaucoup de médicaments prétendument « anti-cancer » n’ont pas d’effets positifs permettant de compenser les dangers pour les patients. La revue mentionne le [I]défibrotide[/I] (Defitelio[I]®[/I]), le [I]mifamurtide[/I] (Mepact[I]®[/I]), le[I]nintédanib [/I](Vargatef[I]®[/I]), l’[I]olaparib [/I](Lynparza[I]®[/I]), le [I]panobinostat[/I] (Farydak[I]®[/I]), la [I]trabectédine[/I] (Yondelis[I]®[/I]), le [I]vandétanib[/I](Caprelsa[I]®[/I]), la [I]vinflunine[/I] (Javlor[I]®[/I]), tous utilisés en cancérologie. Toutefois, mon conseil est de poser à votre médecin des questions précises et insistantes pour connaître les preuves réelles de l’efficacité de [U]tout traitement[/U] de chimiothérapie en cas de tumeur des tissus solides. La chimiothérapie a en effet fait ses preuves dans les cancers du sang (leucémie), de la lymphe, de la moelle osseuse et certains autres. Pourtant, bien souvent, son usage n’est qu’expérimental quand il s’agit des autres cancers. Cela veut dire qu’elle a très peu de chances de vous soigner, mais que vous n’en subirez pas moins de graves effets indésirables. Le but alors, est plus de faire progresser la recherche, que de vous soigner. Mais vous devez être au courant, et être d’accord de subir ces conséquences. [B]Alzheimer[/B] Il en va de même des médicaments contre la maladie d’Alzheimer. Tous ont des « [I]effets indésirables disproportionnés (parfois mortels) et exposent à de nombreuses interactions[/I] », selon[I]Prescrire[/I]. Ils aggravent les problèmes mentaux (troubles neuropsychiques) et provoquent des problèmes cardiaques. Or, « [I]aucun n’a d’efficacité démontré pour ralentir l’évolution vers la dépendance[/I] » !! Pourquoi donne-t-on alors, des médicaments contre la maladie d’Alzheimer ? L’explication est simple et cruelle : parce qu’on n’ose pas dire aux patients, et à leur entourage, que la médecine conventionnelle n’a aucun traitement. Ces médicaments, qui sont très chers, permettent de faire croire aux gens qu’on « s’occupe d’eux », même si c’est une escroquerie. Il s‘agit du [I]donépézil[/I] (Aricept[I]®[/I] et autre), de la [I]galantamine[/I] (Reminyl[I]®[/I] ou autre), de la [I]rivastigmine[/I] (Exelon[I]®[/I] ou autre) et des anticholinestérasiques. [B]Sclérose en plaques[/B] Pour la sclérose en plaque, le tableau est pratiquement le même. Il existe un seul traitement, aux effets limités et aux effets indésirables nombreux : [I]l’interféron bêta[/I] (Avonex[I]®[/I], Rebif[I]®[/I], Betaferon[I]®[/I] ou autre). Mais [I]Prescrire[/I] met réellement en garde contre trois immunodépresseurs, également utilisés contre la sclérose en plaques, mais qui selon elle « [I]exposent à des risques disproportionnés et qui sont à éviter[/I] » : Il s’agit de l’[I]alemtuzumab[/I] (Lemtrada[I]®[/I]), du [I]natalizumab[/I] (Tysabri[I]®[/I]) et du [I]tériflunomide[/I] (Aubagio[I]®[/I]). Je suis conscient que cela fait une liste longue et aride de noms barbares. Mais si vous prenez un de ces médicaments, il est important de le savoir et d’en reparler avec votre médecin lors de votre prochaine consultation. N’arrêtez pas bien sûr votre traitement sans son accord, mais soyez prêt à lui [/QUOTE]
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