Et elle a kiffé!
J’accueille tes lamentations comme une averse…
Les plumes d’un oiseau dans son nid…
Dès le matin tôt que les gouttes traversent…
Pris d’un courant froid je tressaillis…
Reviens à la maison mon amie…
Tu me fais perdre la raison mais tant pis…
J’accueille tes lamentations comme une averse…
Comme un cœur qui bat si fort qu’il se perce…
Après n'allez pas dire que je suis un goujat qui mérite qu'une catin!
J’accueille tes lamentations comme une averse…
Les plumes d’un oiseau dans son nid…
Dès le matin tôt que les gouttes traversent…
Pris d’un courant froid je tressaillis…
Reviens à la maison mon amie…
Tu me fais perdre la raison mais tant pis…
J’accueille tes lamentations comme une averse…
Comme un cœur qui bat si fort qu’il se perce…
Après n'allez pas dire que je suis un goujat qui mérite qu'une catin!