Aide dépression

Selem A3likoum, j'écris cette discussion car je vie actuellement une période difficile que je n'arrive pas à surmonter ces derniers mois et j'aurais besoin de votre aide s'il vous plaît.

Depuis quelques mois je suis en dépression, j'ai essayé de me re saisir mais impossible ça a empiré depuis Novembre/Decembre..
Je suis en Terminale je n'ai que des mauvaise notes, je n'arrive plus à réviser/étudier, je suis toujours triste et me pose des questions toute la journée et je n'ai pas confiance en moi, je suis défaitiste..
Je n'ai qu'une seule amie que je vois de temps en temps sinon je suis chez moi enfermé dans ma chambre.
De plus, qu'Allah me pardonne, mais je n'arrive pas à reprendre la prière ni écouter le Coran..

Bref, je vie très mal cette situation..
 
Positive ! Tu es jeune, tu as tte la Vie devant toi .
Arrête tes Waswass et concentre toi sur tes études.

Nb . Le CURCUMA en poudre a boire en Tisane est miraculeux pour les Etats dépressifs. Meilleur qu'un anti-dépresseur.
 
Positive ! Tu es jeune, tu as tte la Vie devant toi .
Arrête tes Waswass et concentre toi sur tes études.

Nb . Le CURCUMA en poudre a boire en Tisane est miraculeux pour les Etats dépressifs. Meilleur qu'un anti-dépresseur.

C'est sûr, mais j'y arrive pas tous les jeunes que je fréquente ne vie pas ce que je vie.
Merci pour l'info ! j'ai bus quelques trucs que ma mère m'a fait mais rien n'y fait.
 

toino

Bladinaute averti
Les gens ont beaucoup de préjugés sur les antidépresseurs.
Si j'avais su, j'en aurai pris beaucoup plus tôt pour traiter l’angoisse, au lieu de laisser des stratégies d'évitements s'installer et qui sont dures a rectifier. Les psychothérapies n'ont servie à rien. Mes angoisses ne sont pas liées à un traumatisme ou mon hygiène de vie. Toute une branche de la famille a la même chose. Je le vis comme une maladie, comme du diabète.
Mais chaque cas est unique, bon courage à toi.
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Les gens ont beaucoup de préjugés sur les antidépresseurs.
Si j'avais su, j'en aurai pris beaucoup plus tôt pour traiter l’angoisse, au lieu de laisser des stratégies d'évitements s'installer et qui sont dures a rectifier. Les psychothérapies n'ont servie à rien. Mes angoisses ne sont pas liées à un traumatisme ou mon hygiène de vie. Toute une branche de la famille a la même chose. Je le vis comme une maladie, comme du diabète.
Mais chaque cas est unique, bon courage à toi.
D’après la seconde phrase soulignée, c’est métabolique ou endocrinologique, quelque chose comme ça, dans ton cas. Mais la première phrase soulignée a une explication : il y a eu des abus, un engouement pour un traitement chimique des maux de la société, plus facile à traiter ainsi qu’en modifiant la société. Il y a aussi eu une autre forme d’abus avec des psychiatres confondant antidépresseur et camisole chimique, prescrivant les seconds en les faisant passer pour les premiers auprès de certains patient. Sur ce dernier point, je ferai un sujet que j’avais déjà prévu mais que je n’ai pas encore fait.

Je dirais que hors cas comme le tiens, un indice pourrait être celui‑ci : le/la psy qui prescrit les antidépresseurs, y voit‑il/elle une solution permanente ou un soutient transitoire ?
 
Les gens ont beaucoup de préjugés sur les antidépresseurs.
Si j'avais su, j'en aurai pris beaucoup plus tôt pour traiter l’angoisse, au lieu de laisser des stratégies d'évitements s'installer et qui sont dures a rectifier. Les psychothérapies n'ont servie à rien. Mes angoisses ne sont pas liées à un traumatisme ou mon hygiène de vie. Toute une branche de la famille a la même chose. Je le vis comme une maladie, comme du diabète.
Mais chaque cas est unique, bon courage à toi.

Je comprends, j'ai aussi quelques cas dans ma famille mais bon après les avoirs vu sous traitements c'est quasi impossible pour moi de faire de même..
 
Les gens ont beaucoup de préjugés sur les antidépresseurs.
Si j'avais su, j'en aurai pris beaucoup plus tôt pour traiter l’angoisse, au lieu de laisser des stratégies d'évitements s'installer et qui sont dures a rectifier. Les psychothérapies n'ont servie à rien. Mes angoisses ne sont pas liées à un traumatisme ou mon hygiène de vie. Toute une branche de la famille a la même chose. Je le vis comme une maladie, comme du diabète.
Mais chaque cas est unique, bon courage à toi.

Tu as eu des effets secondaires avec les antidépresseurs ?
 
Selem A3likoum, j'écris cette discussion car je vie actuellement une période difficile que je n'arrive pas à surmonter ces derniers mois et j'aurais besoin de votre aide s'il vous plaît.

Depuis quelques mois je suis en dépression, j'ai essayé de me re saisir mais impossible ça a empiré depuis Novembre/Decembre..
Je suis en Terminale je n'ai que des mauvaise notes, je n'arrive plus à réviser/étudier, je suis toujours triste et me pose des questions toute la journée et je n'ai pas confiance en moi, je suis défaitiste..
Je n'ai qu'une seule amie que je vois de temps en temps sinon je suis chez moi enfermé dans ma chambre.
De plus, qu'Allah me pardonne, mais je n'arrive pas à reprendre la prière ni écouter le Coran..

Bref, je vie très mal cette situation..

Depuis quand es tu en dépression ? Est ce qu'il y a eu un évènement déclencheur ?
 
Ils étaient comment sous traitement ?
Je connais les antidépresseurs, je n'ai pas eu d'effets secondaires avec celui que je prends. Je me demande si certains ne confondent pas AD et anxiolytique. Ce sont les anxiolytiques qui peuvent avoir un effet assommant, mais l'AD pas du tout ou si c'est un effet secondaire de l'AD alors il faudrait en changer et voir celui qui conviendrait le mieux. Dans tous les cas ça doit rester une béquille temporaire, car à vie je ne pense pas que ce soit une bonne chose.
 
Je connais les antidépresseurs, je n'ai pas eu d'effets secondaires avec celui que je prends. Je me demande si certains ne confondent pas AD et anxiolytique. Ce sont les anxiolytiques qui peuvent avoir un effet assommant, mais l'AD pas du tout ou si c'est un effet secondaire de l'AD alors il faudrait en changer et voir celui qui conviendrait le mieux. Dans tous les cas ça doit rester une béquille temporaire, car à vie je ne pense pas que ce soit une bonne chose.

J'ai rencontré quelques personnes qui étaient sous anti dépresseurs et qui m'avaient confié avoir pris énormément de poids à cause de ça et ça les rendait triste
quel effet ça a fait sur toi ?
 
J'ai rencontré quelques personnes qui étaient sous anti dépresseurs et qui m'avaient confié avoir pris énormément de poids à cause de ça et ça les rendait triste
quel effet ça a fait sur toi ?
Personnellement je n'ai pas pris de poids, enfin j'en avais pris un peu avant d'en prendre car je ne bougeais pas beaucoup mais comme j'étais très maigre au départ j'ai pris juste ce qu'il fallait ou à peu près enfin je reste mince, mais ensuite avec l'AD je n'ai pas pris de poids supplémentaire. De ce que j'ai pu lire ce n'est pas l'AD en lui même qui fait prendre du poids mais que ça peut ouvrir l'appétit donc à la personne de faire attention à son alimentation.
 
Personnellement je n'ai pas pris de poids, enfin j'en avais pris un peu avant d'en prendre car je ne bougeais pas beaucoup mais comme j'étais très maigre au départ j'ai pris juste ce qu'il fallait ou à peu près enfin je reste mince, mais ensuite avec l'AD je n'ai pas pris de poids supplémentaire. De ce que j'ai pu lire ce n'est pas l'AD en lui même qui fait prendre du poids mais que ça peut ouvrir l'appétit donc à la personne de faire attention à son alimentation.

Oui donc si ça ouvre l'appétit c'est que ça fait grossir lol
 
Oui donc si ça ouvre l'appétit c'est que ça fait grossir lol
Bah pas si tu te retiens de manger en excès :p
Je pense qu'après c'est une question de métabolisme car il est vrai qu'une personne qui grossit facilement et qui aurait mangé comme j'ai pu le faire aurait peut être pris beaucoup de poids, moi j'ai toujours eu du mal quand j'étais plus jeune à prendre du poids, j'ai longtemps fait dans les 49/50 kilos pour 1m68 (environ, je connais pas ma taille exacte) et à l'époque je voulais absolument prendre du poids mais je ne prenais pas un gramme même si je mangeais et grignotais beaucoup.
 
J'ai rencontré quelques personnes qui étaient sous anti dépresseurs et qui m'avaient confié avoir pris énormément de poids à cause de ça et ça les rendait triste
quel effet ça a fait sur toi ?

Personnellement je n'ai pas pris de poids, enfin j'en avais pris un peu avant d'en prendre car je ne bougeais pas beaucoup mais comme j'étais très maigre au départ j'ai pris juste ce qu'il fallait ou à peu près enfin je reste mince, mais ensuite avec l'AD je n'ai pas pris de poids supplémentaire. De ce que j'ai pu lire ce n'est pas l'AD en lui même qui fait prendre du poids mais que ça peut ouvrir l'appétit donc à la personne de faire attention à son alimentation.

Dès que je lis la pléthore d'effet secondaire, 'j'ai les chocottes" :p

Quoi qu'il en soit, ça doit être une solution transitoire afin de faire face à un passage à vide, un travail sur soi est indispensable, un traitement permet certes de supporter l'état de vide émotionnelle intense, mais un travail de fond sur soi est primordial au risque d'une rechute...
 
Dès que je lis la pléthore d'effet secondaire, 'j'ai les chocottes" :p

Quoi qu'il en soit, ça doit être une solution transitoire afin de faire face à un passage à vide, un travail sur soi est indispensable, un traitement permet certes de supporter l'état de vide émotionnelle intense, mais un travail de fond sur soi est primordial au risque d'une rechute...
Personnellement j'ai évité de lire les effets secondaires pour éviter l'effet nocebo : )
En tous cas ça a marché, j'étais dans un sale état et en le prenant je me suis de nouveau senti "normale" (au niveau de l'humeur), surtout au tout début j'étais contente d'enfin ne plus voir les choses en noir, c'est pas parfait mais je peux fonctionner normalement. J'ai même regretté de ne pas y avoir pensé avant...

Pour le reste oui c'est sûr que ce n'est pas une solution définitive...
 
Je comprend pas alors en quoi ça aide les antidépresseurs si le travail est à faire au niveau psychologique ?
Les AD ne sont ils pas censés apporter de la dopamine ou quelque chose qui y ressemble et qui manque justement aux dépressifs ?
 
Je comprend pas alors en quoi ça aide les antidépresseurs si le travail est à faire au niveau psychologique ?
Les AD ne sont ils pas censés apporter de la dopamine ou quelque chose qui y ressemble et qui manque justement aux dépressifs ?

On ne connait pas exactement le mécanisme d'action des anti-dépresseurs, on sait qu'ils semblent plus ou moins agirent sur la sérotonine, un neurotransmetteur responsable de l'humeur.

Cependant, médicalement parlant, il y a presque aucun référentiel qui permette de quantifier exactement de manière précise et fiable le taux de sérotonine dans le cortex cérébral et on ne sait pas jusqu'à quel point, ceux-ci interagissent avec d'autres neurotransmetteurs dans le rôle dépression.

Bref, on tâtonne....
 
Depuis quand es tu en dépression ? Est ce qu'il y a eu un évènement déclencheur ?
Le décès de ma grand-mère a été l'élément déclancheur, depuis le pringtemps dernier, mais ces derniers mois ça a empiré alors que normalement c'est la période ou je dois me "re-saisir" c'est tout le contraire.
Quant aux anti-dépresseurs, un membre de m'a famille a eu ded complications et il a fallu des années avant de le guérir.
 

toino

Bladinaute averti
Tu as eu des effets secondaires avec les antidépresseurs ?
Non aucun. Je me sens normal, comme avant, sans idées noires et sans euphorie non plus. J'ai eu du mal avec le sevrage du seroplex, vertiges etc, mais le prozac c'est nickel. Pareil, les anxiolytiques c'est génial. Mes premières crises, je mettais des jours a m'en remettre, puis c était nouveau et flippant.
Honnêtement maintenant, les crises sont très rares avec un traitement de fond, mais quand je sens que ça monte, c'est un xanax direct et je redescend en 15 minutes. Sans, il y a des jours je n'aurai pas pu prendre les transports.
Oui les anxios doivent êtres pris ponctuellement, les AD, tant qu on arrive pas a s'en passer. Mais oui, faut se faire suivre par un psychiatre, pas par le généraliste. Il y a aussi la dépendance psychologique. Je suis passé par là. Par exemple j'allais bien, mais si je me rendais compte que j avais pas mes médocs, ça declenchait une crise. Mais moi quand j'étais mal, c'est clair que c'était impossible de prendre du recul.
Angoisse et dépression, c'est vicieux et ça se nourrit soi même. C'est pour ça qu'il faut casser le cycle le plus tot possible. Il y a 12 ans, j'avais la nausée en regardant un ticket de métro (1ere grosse crise dans le metro) . J'ai développé une crainte de toutes les situations où je ne pouvais pas fuir. Et quand tu n affrontes pas ce qui te fait peur, tu te confortes dans tes schémas. Maintenant je prends l'avion pour l'autre bout du monde, même si c'est encore dur. Ça passe par le plaisir, les projets, la fierté d'avancer, tout en acceptant les periodes de moins bien...
 
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VIB
Hummm Antidepresseurs pour quelqu'un qui n'arrive pas à formaliser son mal, je veux bien ... ce n'est pas le cas de notre posteuse... le soucis avec la béquille chimique c'est qu'on en devient dépendant ... pas forcément chimiquement ... mais psychologiquement .. à la moindre contrariété ( 1 min de retard de bus ) on saute sur la boite .... et la vie est pleine de contrariétés au quotidien ... des petites escarmouches qui peuvent empêcher une personne renfermée de voir les innombrables joies et bonheurs de la vie ... et surtout l'empêche de voir le que chaque jour qui passe est perdu à jamais ... autant le passer à sourire ... et partager ... partager quoi ? des activités , des moments, des délices

j'ai envie de dire aussi que la traversée de l'hiver et propice à la mélancolie ... aussi je recommande l'activité ... le sport, la cuisine, la peinture ... ce sont de véritables moteurs de sortie de la pénombre ... surtout le sport : oxygénation du sang, production d'endorphines et tonus du corps .... sans oublier que pendant la séance ( footing pour moi ) on refait le monde ... on analyse ses douleurs et on recherche les meilleures réponses ... voir faire des projets de joies à programmer .... un repas, une pièce de théâtre ... quand le corps est dans ces disposition l'envie de réussir et de s'activer vient naturellement
 
A

AncienMembre

Non connecté
Le décès de ma grand-mère a été l'élément déclancheur, depuis le pringtemps dernier, mais ces derniers mois ça a empiré alors que normalement c'est la période ou je dois me "re-saisir" c'est tout le contraire.
Quant aux anti-dépresseurs, un membre de m'a famille a eu ded complications et il a fallu des années avant de le guérir.
tu peut prendre des cures de magnesium marin les medicaments c'est un buiness et les medecins les psychiatre l'on bien compris il savent que prescrire des medicaments tu enleve les medicaments au medecin il servent plus a rien
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Le décès de ma grand-mère a été l'élément déclancheur, depuis le pringtemps dernier, mais ces derniers mois ça a empiré alors que normalement c'est la période ou je dois me "re-saisir" c'est tout le contraire.
Quant aux anti-dépresseurs, un membre de m'a famille a eu ded complications et il a fallu des années avant de le guérir.

continue de consulter, stp
ça ne va pas se faire du jour au lendemain...

de + c'est la période des "dépressions saisonnières"
<La dépression saisonnière ou trouble affectif saisonnier (TAS) a été comparée à l’hibernation qui serait son pendant biologique. Les gens atteints de TAS ne sont habituellement pas tristes ; ils se sentent simplement plus fatigués et ont moins d’intérêt pour les choses en général.
De nombreux patients ne réalisent pas qu’ils sont déprimés car ils ne ressentent pas de tristesse.
Mais leur inaptitude à ressentir du plaisir (anhédonie), l’augmentation de leurs plages de sommeil et de leur appétit rentrent dans la définition clinique d’une dépression.>

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
demande lui des séances de luminothérapie

<Vancouver, Canada — Que la luminothérapie soit efficace dans la dépression saisonnière, semble tomber sous le sens. Plus surprenant, un petit essai randomisé contrôlé contre placebo montre qu’elle serait aussi efficace dans la dépression caractérisée.

Les résultats publiés sur le site du JAMA psychiatry [1] montrent qu’associer luminothérapie et antidépresseurs améliore très significativement les symptômes de la dépression sévère. Cependant, elle montre également que la luminothérapie seule serait plus efficace que les antidépresseurs en monothérapie, une donnée sujette à controverse.

Nous avons toujours pensé que la dépression saisonnière était différente de la dépression non-saisonnière-- Dr Raymond Lam

« J’étudie la luminothérapie dans la dépression hivernale depuis longtemps, mais nous avons toujours pensé que la dépression saisonnière était différente de la dépression non-saisonnière », a commenté le premier auteur, le Dr Raymond Lam (Université de la Colombie britannique, Vancouver, Canada) pour l’édition internationale de Medscape.

« [A la lumière de ces résultats], je pense que la luminothérapie pourrait être utilisée seule chez certains patients, mais que les patients les plus sévèrement atteints ont besoin d’associations de traitements, que cela soit d’un antidépresseur et d’une psychothérapie, d’une psychothérapie et d’une luminothérapie ou d’une luminothérapie et d’un antidépresseur » , ajoute le chercheur.

Interrogé par la journaliste Pam Harrisson, le Pr Michael Terman (professeur de psychiatrie, Université de Columbia et directeur du Comprehensive Chronotherapy Group, New York, Etats-Unis), qui n’a pas participé à l’étude, a rappelé que dès les années 70, certains indices ont suggéré que la luminothérapie avait un effet sur la dépression non-saisonnière. « Seulement, devant l’amélioration rapide, parfois en quelques jours, et drastique observée dans les dépressions saisonnières, l’attention s’est focalisée sur la dépression saisonnière », explique-t-il.

Ce nouvel essai sur la luminothérapie « est le plus impressionnant que j’ai vu. Il a été mené pendant 8 semaines, plus longtemps que pour les études réalisées auparavant. Il a utilisé deux types de placebo et il a évalué la luminothérapie versus un antidépresseur de référence », souligne-t-il.

La luminothérapie consistait en une exposition de 30 minutes par jour à une lampe de luminothérapie fluorescente (forte intensité : 10 000 lux) dès que possible après le réveil. Le générateur d’ions négatifs (placebo) était modifié pour ne pas émettre d’ions négatifs>

mam
 
continue de consulter, stp
ça ne va pas se faire du jour au lendemain...

de + c'est la période des "dépressions saisonnières"
<La dépression saisonnière ou trouble affectif saisonnier (TAS) a été comparée à l’hibernation qui serait son pendant biologique. Les gens atteints de TAS ne sont habituellement pas tristes ; ils se sentent simplement plus fatigués et ont moins d’intérêt pour les choses en général.
De nombreux patients ne réalisent pas qu’ils sont déprimés car ils ne ressentent pas de tristesse.
Mais leur inaptitude à ressentir du plaisir (anhédonie), l’augmentation de leurs plages de sommeil et de leur appétit rentrent dans la définition clinique d’une dépression.>

mam
Bonsoir, merci pour ces infos mais la saison ne contribue pas à ma "dépression" je pense.. car au contraire j'aime beaucoup l'hiver, quand le soleil se couche tôt, le froid.. J'aime bien l'été mais ça me saoule vite on va dire, donc je ne pense pas que ce soit lié.
 
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