La compagnie aérienne a été mise en examen le 4 juillet dans l'enquête ouverte sur la mort accidentelle d'une hôtesse lors d'un débarquement à l'aéroport d'Orly le 1er février 2005.
La société, qui a confirmé l'information annoncée le 29 juillet sur France 3, rejette toute responsabilité dans cette affaire. En ce sens, la compagnie s'efforcera de «démontrer qu'elle a respecté toutes les procédures qui s'imposaient à elles. La sûreté comme la sécurité sont les premiers devoirs que doit s'imposer une compagnie aérienne».
Etant donné que l'hôtesse de l'air est décédée suite à une chute due au retrait de l'escalier mobile, après un débarquement de passagers d'un avion, un ancien agent de piste a déjà été mis en examen en 2006. Jugé responsable de l'affaire, l'employé avait été licencié, accusé de ne pas avoir respecté les mesures de sécurisation préalables au retrait des escaliers mobiles.
Cette accusation avait dès lors provoqué une grève chez les syndicats qui affirmaient que l'accident était du aux réductions d'effectifs et non à l'agent qui servait de bouc émissaire à la direction.
Selon Air France, ce sont les interrogations concernant «la conformité en terme de conception de l'escalier d'où est tombé l'hôtesse» que le juge d'instruction, Arnaud Desgranges, retiendra pour étayer son jugement final. La compagnie promet d'apporter «toutes les réponses et justifications».
La société, qui a confirmé l'information annoncée le 29 juillet sur France 3, rejette toute responsabilité dans cette affaire. En ce sens, la compagnie s'efforcera de «démontrer qu'elle a respecté toutes les procédures qui s'imposaient à elles. La sûreté comme la sécurité sont les premiers devoirs que doit s'imposer une compagnie aérienne».
Etant donné que l'hôtesse de l'air est décédée suite à une chute due au retrait de l'escalier mobile, après un débarquement de passagers d'un avion, un ancien agent de piste a déjà été mis en examen en 2006. Jugé responsable de l'affaire, l'employé avait été licencié, accusé de ne pas avoir respecté les mesures de sécurisation préalables au retrait des escaliers mobiles.
Cette accusation avait dès lors provoqué une grève chez les syndicats qui affirmaient que l'accident était du aux réductions d'effectifs et non à l'agent qui servait de bouc émissaire à la direction.
Selon Air France, ce sont les interrogations concernant «la conformité en terme de conception de l'escalier d'où est tombé l'hôtesse» que le juge d'instruction, Arnaud Desgranges, retiendra pour étayer son jugement final. La compagnie promet d'apporter «toutes les réponses et justifications».