Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas ! Le gouvernement vient de publier des fiches pratiques afin d'aider les Français à bien déclarer leurs revenus tirés de plateformes type Airbnb, Blablacar, Drivy, Leboncoin… Il faut dire que ces règles sont complexes, d'autant qu'elles ont encore évolué l'an dernier avec la mise en place de seuils au-delà desquels les particuliers sont soumis à des cotisations sociales. Voici ce qu'il vous faut retenir pour être d'équerre avec la loi, avec à chaque fois un exemple concret.
>> Accédez aux fiches détaillées sur vos obligations fiscales et sociales
>> Je loue mon logement grâce à Airbnb
Les sommes tirées des plate-formes type Airbnb sont de facto soumises à l'impôt sur le revenu.
Il existe tout de même une exonération, s'il s'agit d'une location saisonnière d'une ou de plusieurs pièces de sa résidence principale et que les revenus n'excèdent pas 760 euros par an.
Dans les autres cas, il vaut mieux opter, si ces revenus ne dépassent pas 32.900 euros par an, pour le régime simplifié micro-BIC. Celui-ci prévoit un abattement forfaitaire de 50% sur les recettes déclarées (avec un minimum de 305 euros). Au-delà de 32.900 euros par an, c'est le régime réel qui s'applique (avec déclaration des recettes et déduction des charges pour leur montant exact).
Côté cotisations sociales, les revenus en sont exemptés s'ils ne dépassent pas 23.000 euros par an.
Ils sont tout de même soumis aux prélèvements sociaux de 15,5%.
Au-delà de 23.000 euros, vous êtes considéré comme un professionnel : il faut alors payer des cotisations.
+ sur http://www.capital.fr/finances-pers...srAuthUserId=c3271970db2ee096a93a28792b1d76c2
mam
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Les sommes tirées des plate-formes type Airbnb sont de facto soumises à l'impôt sur le revenu.
Il existe tout de même une exonération, s'il s'agit d'une location saisonnière d'une ou de plusieurs pièces de sa résidence principale et que les revenus n'excèdent pas 760 euros par an.
Dans les autres cas, il vaut mieux opter, si ces revenus ne dépassent pas 32.900 euros par an, pour le régime simplifié micro-BIC. Celui-ci prévoit un abattement forfaitaire de 50% sur les recettes déclarées (avec un minimum de 305 euros). Au-delà de 32.900 euros par an, c'est le régime réel qui s'applique (avec déclaration des recettes et déduction des charges pour leur montant exact).
Côté cotisations sociales, les revenus en sont exemptés s'ils ne dépassent pas 23.000 euros par an.
Ils sont tout de même soumis aux prélèvements sociaux de 15,5%.
Au-delà de 23.000 euros, vous êtes considéré comme un professionnel : il faut alors payer des cotisations.
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mam