http://www.lakome.com/سياسة/78-سياسة/22283-أرسلان-احتمال-قيام-ثورة-شعبية-في-المغرب-بات-جديا.html
Fathallah Arsalan, vice-secrétaire général de la jamaa d'Al Adl Wal Ihssan a annoncé que la probabilité d'éclatement d'une révolution populaire au Maroc est très grande.
Le responsable de la jamaa a expliqué son analyse par "une régression du Maroc à cause d'une monarchie qui détient toujours tous les pouvoirs, sans accepter pour autant aucun questionnement ou responsabilité devant le peuple".
D'après Arsalan, le régime marocain "a choisi de coutourner les demandes de réformes formulées par le mouvement populaire".
De son côté, Mohamed Hamdaoui, membre du conseil de guidance de la jamaa, a indiqué qu'Al Adl Wal Ihssane ne souhaite pas créer de parti politique dans le cadre du régime du "makhzen", et a considéré que la création d'un parti est un "droit civil garanti par la constitution", et non pas "un don magnanime accordé par le makhzen".
Il a également noté que "ceux qui disent que le Maroc a raté le train [du printemps arabe] se trompent, car la situation socio-économique ne fait que s'aggraver, et ne peut déboucher que sur une impasse qui changera certainement la donne si le régime n'engage pas de vraies réformes".
Fathallah Arsalan, vice-secrétaire général de la jamaa d'Al Adl Wal Ihssan a annoncé que la probabilité d'éclatement d'une révolution populaire au Maroc est très grande.
Le responsable de la jamaa a expliqué son analyse par "une régression du Maroc à cause d'une monarchie qui détient toujours tous les pouvoirs, sans accepter pour autant aucun questionnement ou responsabilité devant le peuple".
D'après Arsalan, le régime marocain "a choisi de coutourner les demandes de réformes formulées par le mouvement populaire".
De son côté, Mohamed Hamdaoui, membre du conseil de guidance de la jamaa, a indiqué qu'Al Adl Wal Ihssane ne souhaite pas créer de parti politique dans le cadre du régime du "makhzen", et a considéré que la création d'un parti est un "droit civil garanti par la constitution", et non pas "un don magnanime accordé par le makhzen".
Il a également noté que "ceux qui disent que le Maroc a raté le train [du printemps arabe] se trompent, car la situation socio-économique ne fait que s'aggraver, et ne peut déboucher que sur une impasse qui changera certainement la donne si le régime n'engage pas de vraies réformes".