Le chef de la police arrêté en état d'ébriété, le responsable de la brigade de nuit accusé d'espionnage... Dans cette commune du Var, les pratiques de la police municipale sont dans le viseur de la justice.
Depuis quelques semaines, ça ne tourne plus très rond au sein des forces de l'ordre de Cogolin. Dernier fait en date, le chef de la police municipale s'est vu retirer, à la mi-juin, son permis de conduire lors d'un banal contrôle routier, selon Var Matin . En tenue et au volant de sa voiture de fonction, il affichait un taux d'alcoolémie supérieur à la limite autorisée.
Ce dernier écart de conduite ne serait pas le seul au sein de ce service. Si bien que l'inspection générale de la police nationale (IGPN) avait déjà ouvert une enquête afin d'éclaircir le mode de fonctionnement de cette unité locale et de certains de ses gradés. Le délégué syndical FO de Cogolin déclare dans le quotidien: «Il ne manquait plus que la Licence IV pour écouler la cinquantaine de bouteilles» stockées à l'intérieur des locaux. Selon lui, «tout semblait être un bon prétexte pour organiser un apéritif, l'intronisation d'un agent, les festivités locales ; l'apéritif du mardi, puis celui du vendredi... et celui du samedi matin». Var Matin précise néanmoins que sur la quinzaine d'agents, une poignée seulement est concernée par ces dérives
Espionnage vidéo
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Depuis quelques semaines, ça ne tourne plus très rond au sein des forces de l'ordre de Cogolin. Dernier fait en date, le chef de la police municipale s'est vu retirer, à la mi-juin, son permis de conduire lors d'un banal contrôle routier, selon Var Matin . En tenue et au volant de sa voiture de fonction, il affichait un taux d'alcoolémie supérieur à la limite autorisée.
Ce dernier écart de conduite ne serait pas le seul au sein de ce service. Si bien que l'inspection générale de la police nationale (IGPN) avait déjà ouvert une enquête afin d'éclaircir le mode de fonctionnement de cette unité locale et de certains de ses gradés. Le délégué syndical FO de Cogolin déclare dans le quotidien: «Il ne manquait plus que la Licence IV pour écouler la cinquantaine de bouteilles» stockées à l'intérieur des locaux. Selon lui, «tout semblait être un bon prétexte pour organiser un apéritif, l'intronisation d'un agent, les festivités locales ; l'apéritif du mardi, puis celui du vendredi... et celui du samedi matin». Var Matin précise néanmoins que sur la quinzaine d'agents, une poignée seulement est concernée par ces dérives
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