Alexandre benalla sa vie, son histoire....

Drianke

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Benalla demande une "médaille" après la Contrescarpe : "C’est choquant", selon Ndiaye

INVITÉE RTL - Sophie Coignard revient, dans le livre "Benalla, la vraie histoire", sur l'épisode de la Contrescarpe et sur les relations entre Alexandre Benalla et l'entourage du Président.

ans le livre Benalla, la vraie histoire, la journaliste Sophie Coignard relate le moment où celui qui est à l'époque chargé de mission à l'Élysée, va demander une "médaille" après l'épisode de la Contrescarpe le 1er mai 2018.

Invitée à l'antenne de RTL ce mercredi 5 juin, Sibeth Ndiaye rappelle qu'elle était "salariée à l’Élysée à l’époque" et était "en déplacement avec le président de la République à l'autre bout du monde, en Australie".

Elle indique que sur le moment cette information est "tellement iconoclaste qu’elle na pas été évoquée". "C’est une évidence que c’est choquant, il n'y a même pas de discussion à avoir. Le fait qu’il se soit retrouvé à la Contrescarpe n’était pas acceptable. Ce n'était pas l’attitude qui devait être attendue de quelqu'un qui travaille à la présidence de la République", explique la porte-parole du gouvernement.

RTL
 

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Sophie Coignard : "Alexandre Benalla rendait la vie de Macron plus facile et plus drôle"

L'Express publie cette semaine les bonnes feuilles de "Benalla, la vraie histoire", le livre de Sophie Coignard sur l'affaire du quinquennat. Elle répond à nos questions.
L'affaire Benalla n'en finit pas de rebondir, du Sénat aux bureaux des juges, des unes des journaux aux chaînes d'info en continu, en passant désormais par l'édition qui, naturellement, a fini par s'y intéresser. Pour son livre, Benalla, la vraie histoire*, la journaliste Sophie Coignard est partie à la recherche, pendant des semaines, de la pierre philosophale : les raisons de cette invraisemblable cacophonie, qui plombe depuis des mois le quinquennat de Macron.

LIRE AUSSI >> Benalla, la Vraie histoire : les extraits exclusifs

Sur son chemin, elle a croisé des officiers de gendarmerie tétanisés, des lampistes sanctionnés, des courtisans sous le charme ou la menace... Et Alexandre Benalla lui-même, plein de confiance et d'une forme d'inconscience qui confine à l'immaturité. Elle a répondu aux questions de L'Express.

L'Express.


Lire notre dossier complet L'affaire Alexandre Benalla
  • Affaire Benalla : "Cette présidence-là avait aussi ses arrière-cuisines "
  • Benalla, la Vraie histoire : les extraits exclusifs
  • Exclusif : Benalla voulait une médaille après les événements du 1er mai

* Benalla, la vraie histoire - Un intrus au coeur du pouvoir. Éditions de l'Observatoire.
 

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Marcel Campion a demandé à Alexandre Benalla d’examiner la sécurité de la Foire du trône

Marcel Campion, le "roi des forains", et Alexandre Benalla sont apparus dans une vidéo. Marcel Campion aurait chargé l’ancien conseiller d’Emmanuel Macron, de la sécurité de la Foire du Trône.

Dans une vidéo diffusée samedi, Marcel Campion explique avoir "demandé à Alexandre qu’il fasse le tour de la foire". Alexandre Benalla était donc en charge d’un audit sur la sécurité de la Foire du trône, qui se déroulait à Paris jusqu’à dimanche.

"Je l’apprécie car beaucoup de gens qui travaillent dans la sécurité m’ont dit qu’il était valable. Alors je lui ai demandé son avis", explique le "roi des forains". "Comme la Foire du trône va se terminer et qu’il y a encore deux trois problèmes au niveau de la sécurité, j’ai demandé à Alexandre qu’on fasse le tour de la foire, qu’il regarde et il me dira dans quelque temps ce qu’il en pense".

La séquence d’une quarantaine de secondes s’achève sur les deux hommes se tapant l’un et l’autre sur l’épaule. "Et merci Alexandre d’être venu", conclut Marcel Campion. "Avec plaisir, Marcel", réplique Benalla.

sudouest
 

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Ce que nous apprend le livre à paraître ce mercredi sur Alexandre Benalla

Ce mercredi sort en librairies un livre sur l'ancien chargé de mission élyséen, titré Alexandre Benalla, la vraie histoire. De son parcours à l'affaire proprement dite, les bonnes feuilles de l'ouvrage nous permettent de mieux cerner le sulfureux personnage.

Les chargés de mission de l'Elysée ont en général en commun une certaine obscurité. Mais l'obscurité, Alexandre Benalla a préféré la laisser aux autres. Depuis un an, et l'éclatement en juillet 2018 d'un scandale lié à son intervention musclée Place de la Contrescarpe à Paris en marge des manifestations du 1er-mai, l'homme est omniprésent sur la scène politico-médiatico-judiciaire. Et ce mercredi paraît Alexandre Benalla, la vraie histoire, signé de la journaliste Sophie Coignard.
Et ladite histoire de l'agent de sécurité avec le pouvoir commence bien avant l'affaire elle-même, comme le montrent les bonnes feuilles publiées par L'Express.
  • En troisième, il écrit à Nicolas Sarkozy
Au tournant 2005-2006, Alexandre Benalla, alors élève de 3e, doit réaliser son stage d'observation. Visiblement, il ne manque pas d'ambition et envoie une lettre de motivation... au ministre de l'Intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy. Il veut être le stagiaire du RAID. Il obtient bientôt une réponse du cabinet du ministre. Bien sûr, en ce qui concerne le RAID, sa requête n'aboutit pas. En revanche, on lui offre d'intégrer le Service de protection des hautes personnalités.

Cette période d'observation lui permet de travailler pendant trois jours à l'Elysée.
  • Entremetteur de Sébastien Lecornu
Après moult aventures professionnelles, dont une brève expérience comme chauffeur d'Arnaud Montebourg, Alexandre Benalla est directeur de la sécurité d'Emmanuel Macron en 2017. Trait qui lui portera préjudice plus tard, il ne s'en tient pas strictement à ses prérogatives. Ainsi, pendant la campagne, il boit un verre avec Sébastien Lecornu dans un bar germanopratin. Alors membre des Républicains, ce dernier traîne son mal-être dans l'équipe d'un François Fillon qui ne connaît même pas son prénom et le salue à peine quand il le voit. Il partage ce spleen avec Thierry Solère et Gérald Darmanin. Tous veulent quitter le navire pour rejoindre ces voiles que gonfle le vent.
Revenu au QG de campagne, Alexandre Benalla presse Ismaël Emelien de rencontrer Sébastien Lecornu. Devant la réticence de celui-ci, il joue un argument apparemment massue: l'élu normand aurait le même regard qu'Emmanuel Macron. Au bout du compte, Ismaël Emelien convient de s'asseoir avec Sébastien Lecornu au Rooftop, un bar disposé sur le toit de l'hôtel Peninsula.

Sébastien Lecornu est désormais ministre chargé des Collectivités territoriales.................................................

 

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Alexandre Benalla: où en sont ses ennuis judiciaires?

En un an, les agissements de l’ancien chargé de mission pour la sécurité du président de la République ont déclenché deux informations judiciaires et cinq enquêtes préliminaires.

Un pedigree judiciaire qui épouse l’itinéraire d’un jeune homme pressé, celui d’Alexandre Benalla. En moins d’un an, de la fin juillet 2018 à février 2019, l’ancien proche du président Macron a dévidé le fil des procédures en tout genre, dont les chefs d’accusation vont des violences en réunion à celui de la corruption. Deux informations judiciaires sont en cours. La première concerne les violences du 1er mai, de la Contrescarpe au Jardin des plantes. Sur le plateau des juges d’instruction, une mise en examen pour «violences en réunion», «immixtion dans l’exercice d’une fonction publique», mais aussi «port public et sans droit d’insignes réglementés», «recel de détournement d’images issues d’un système de vidéoprotection» et «recel de violation du secret professionnel». Le 18 janvier, une nouvelle information judiciaire est ouverte, avec une nouvelle mise en examen à la clé, pour l’usage illicite de passeports diplomatiques. En droit cela s’appelle «usage public et sans droit d’un document justifiant d’une activité professionnelle». Dans cette même information judiciaire, il est aussi témoin assisté pour abus de confiance, faux et usage de faux, et obtention indue de documents administratifs...........

 

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Benalla débarque sur Twitter... et répond aux Scouts


L'ancien chargé de mission de l'Élysée a publié une photo de lui quand il avait 13 ans.

ALEXANDRE BENALLA - Hasard fortuit ou clin d’oeil insolent, le plus célèbre ex-chargé de mission de l’Élysée a vraisemblablement le sens du timing. Ce mercredi 17 juillet, Alexandre Benalla a signifié sa présence sur Twitter, soit pile un an après que Le Mondea annoncé l’avoir identifié dans une vidéo où il malmène un manifestant, le 1er mai place de la Contrescarpe à Paris.

Si à l’époque, le trentenaire avait pris son temps pour répondre officiellement à cette première affaire, ce mercredi il n’a pas hésité à répondre directement à la directrice communication des Scouts unitaires de France qui l’accusait d’avoir légèrement exagéré son passé de “louveteaux”

Le 15 juillet dans une interview donnée au Nouvel Économiste, à l’occasion du lancement de son entreprise Comya, Alexandre Benalla avait expliqué qu’il avait toujours eu un certain sens du leadership. “J’ai toujours été un battant […], j’ai pris des coups mais je rebondis. J’ai eu un sens du lead assez précoce, ayant été chef scout chez les Scouts unitaires de France à 15 ans. Malgré mon jeune âge, dans les fonctions que j’ai été amené à assumer, j’ai toujours été un peu leader”.

N’en perdant par une miette et face aux interrogations de certains, la directrice communication des Scouts unitaires de France, Agnès Cerbelaud a alors souhaité apporter quelques précisions sur Twitter. Assurant qu’il est impossible de devenir chef à cet âge, elle a précisé que le jeune Alexandre avait bien fait un camp chez eux, mais trois semaines, quand il avait 12 ans...


. https://www.huffingtonpost.fr/entry...dircom-des-scouts_fr_5d300434e4b004b6adaae1ae
 

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Bon apparemment il a beaucoup brodé sur son passé de scout sacré Alex!!!! 😂
 

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Ce que le téléphone "perdu " d'Alexandre Benalla a révélé

NOUVELLES RÉVÉLATIONS - Les enquêteurs ont retrouvé la trace du portable personnel de l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron, qui assurait pourtant l'avoir "perdu". Ils y ont découvert des échanges avec des responsables de l'Elysée jusque là inconnus des juges. Des messages plutôt embarrassants.

Lors de sa première garde à vue le 21 juillet 2018, Alexandre Benalla assurait au sujet de son portable personnel : " Je l'ai perdu (...) Je ne l'ai plus (...) Je ne souhaite pas donner d'éléments sur ce téléphone". Mais selon des informations révélées lundi par Le Monde, les enquêteurs ont eu raison de ne pas croire à cette déclaration : ils ont finalement pu retrouver la trace du cellulaire.

C'est un message adressé à Alexis Kholer, le secrétaire général de l'Élysée, qui a permis aux enquêteurs de remonter le fil du téléphone : “Monsieur le Président, hier après-midi j’ai été invité par la préfecture de police à observer de l’intérieur la manifestation du 1er-Mai, j’ai donc été équipé d’un casque et intégré à une équipe de policiers en civil et accompagné par un major de police. En fin d’après-midi nous nous sommes retrouvés place de la Contrescarpe, où la situation a plus que dégénéré, je ne me suis alors pas cantonné à mon rôle d’observateur (…) La scène assez violente a été filmée et même si on ne m’identifie pas très nettement je suis reconnaissable. Cette vidéo tourne actuellement sur les réseaux sociaux. Alexandre.”

Ces lignes, explique Le Monde, Alexandre Benalla a dit les avoir adressées à Emmanuel Macron via Telegram quelques heures après l'épisode de la Contrescarpe, avant de les transférer à Alexis Kholer. Ce dernier, discrètement interrogé par l'Inspection générale de la police (IGNP), a remis le message aux enquêteurs, ainsi, donc, que le numéro de téléphone de l'expéditeur. Il s'agit du fameux "06" personnel d'Alexandre Benalla correspondant au portable "perdu".

Des mots de soutiens rapidement supprimés

Une fois la trace du cellulaire retrouvée, les enquêteurs ont pu mettre la main sur plusieurs messages, jusque là inconnus, grâce aux réquisitions des juges adressées à l'opérateur téléphonique. Ils ont ainsi constaté, toujours selon les révélations du Monde, que dès le lendemain de sa première garde à vue, le 22 juillet 2018, Alexandre Benalla avait échangé avec le chef de cabinet de Brigitte Macron, Pierre-Olivier Costa.......................

 

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Attaqué verbalement par Renzo Gracie, un Brésilien champion de MMA, Emmanuel Macron a reçu le soutien de son ancien garde du corps, Alexandre Benalla, qui s'est dit prêt à le défier sur un ring.


L'ancien garde du corps d'Emmanuel Macron a pris la défense du Président français lorsque celui-ci a été attaqué par un proche de Bolsorano, Renzo Gracie, un champion brésilien de MMA, par ailleurs, Ambassadeur du Tourisme international.
 

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Macron, Poutine, Les Bleus…Trois anecdotes du livre d'Alexandre Benalla

Alexandre Benalla raconte dans le livre «Ce qu’ils ne veulent pas que je dise» les coulisses de sa vie à l'Elysée aux côtés du chef de l'Etat.

L’ancien collaborateur du chef de l’Etat publie un livre pour raconter sa vérité. L’ouvrage qu’il avait d’abord envisagé de titrer «J’assume», s’appelle finalement : «Ce qu’ils ne veulent pas que je dise», publié chez Plon. «Des gens ont écrit une histoire qui n’est pas la mienne, ils m’ont mis sur une scène, puis ils ont éteint le projecteur. Mais moi je reste sur la scène et je rallume le projecteur. Je raconte désormais mon histoire», justifie-t-il auprès du «Point» qui publie jeudi les bonnes feuilles du livre. L'ex-collaborateur y raconte sa rencontre avec Emmanuel Macron, la campagne présidentielle, ses missions à l'Elysée, ses affaires, ses ambitions...

Quand Macron, sous la douche, alerte par erreur la sécurité

Alexandre Benalla raconte une anecdote cocasse qui s’est produite un soir à l’Elysée. Un groupe de gendarmes d’une unité spéciale chargée d’intervenir à toute heure dans l’enceinte de l’Elysée en cas d’agression, déboule au niveau des appartements privés du président après une alerte. A la porte, ils échangent avec Brigitte Macron : «Madame, c’est l'équipe de sécurité. Vous pouvez nous laisser entrer? Je dois vérifier que le président va bien. S’il vous plaît.». La porte ne s’ouvrant pas, ils insistent : «Madame, je dois entrer. C’est la procédure». «Rien à faire, Brigitte refuse, écrit Alexandre Benalla. Elle ne peut pas expliquer que son mari est sous la douche, dans le plus simple appareil, alors elle bloque l’accès, au grand désarroi des gendarmes». Au final, le chef de l’unité a pu «passer la tête dans l’entrebâillement de la porte et apercevoir de loin» Emmanuel Macron. Le chef de l'Etat, qui a rassuré tout le monde par un «tout va bien», avait appuyé par inadvertance sur un bouton déclenchant l’alerte.

Tensions à Versailles avec les hommes de la sécurité de Poutine

Lors de la visite à Versailles de Vladimir Poutine, en mai 2017, les agents du GSPR (Groupe de sécurité de la présidence de la République) ont joué des coudes avec les hommes de la sécurité du président russe. Le but était d’éviter que les hommes de Poutine, en nombre, collent les deux chefs d’Etat et apparaissent sur les images. Alexandre Benalla et le colonel Lavergne, le chef du GSPR, ont mobilisé les effectifs de la compagnie de CRS affectée à la sécurité de l’Elysée. «Plusieurs dizaines d’hommes en civil se sont postés devant la double porte qui donne sur la galerie (des Batailles, à Versailles, Ndlr). Lorsque la délégation arrive, Lavergne et moi ouvrons les deux battants, juste le temps que les deux présidents passent avant de les refermer au nez et à la barbe des suiveurs, explique encore Benalla. Les hommes de la CRS qui se sont aussitôt rabattus pour former un rideau défensif se prennent l’assaut de plein fouet. Après quelques échanges virils et autres arrachages de chemises, les Russes battent en retraite».

Improvisation lors de la réception à l’Elysée des Champions du monde de foot

Au lendemain de la victoire des Bleus au Mondial 2018, l’équipe de France de football, de retour à Paris, est reçue à l’Elysée après une descente des Champs Elysées, sources de frustrations pour les supporters. Alexandre Benalla explique que lors de la réception à l’Elysée, un responsable de la Fédération française de football lui explique qu’il y a eu un couac dans leur organisation. «Les joueurs devaient aller au Crillon pour retrouver leurs familles, récupérer les bagages et manger un morceau avant de partir. Mais on n'a pas réservé tout l’hôtel», détaille–t-il selon les propos rapportés par Benalla, qui se charge alors de trouver une solution. «Dans la minute j’appelle le général Bio-Farina pour lui demander d’ouvrir l’hôtel Marigny, qui est juste à côté et sert à héberger les hôtes étrangers de la France. Par chance, il est vide», raconte-t-il. Il prévient également Guillaume Gomez, chef des cuisines du palais présidentiel «J’ai deux cents personnes à nourrir vite fait. Possible?», lui demande Benalla. «On te prépare deux cents plateaux. Dans une heure trente, ça va?», lui répond le chef. «Formidable. Tu envoies ça à Marigny, c’est pour les Bleus et leurs familles», conclut l'ex-collaborateur du chef de l'Etat.

https://www.parismatch.com/Actu/Pol...necdotes-du-livre-d-Alexandre-Benalla-1657439
 

HeySunshine

💃🏻
VIB
Sérieusement, quelqu'un a lu tout le contenu ?
Y'a trop de chose, ça ne donne pas envie de lire et de participer.
Tu devrais mettre des extraits et renvoyer vers l'article en question...
 

Drianke

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Je m'inquiète pas certains lecteurs suivent et lisent....
Sérieusement, quelqu'un a lu tout le contenu ?
Y'a trop de chose, ça ne donne pas envie de lire et de participer.
Tu devrais mettre des extraits et renvoyer vers l'article en question...
 

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Alexandre Benalla pris à partie dans un bar de Saint-Denis
Des clients n'ont pas apprécié la venue d'Alexandre Benalla, ancien collaborateur d'Emmanuel Macron, dans un café du centre-ville de Saint-Denis. S'en sont suivi des échanges tumultueux dont un extrait est diffusé dans cette vidéo. Lire aussi l'article sur notre site : https://www.nouvelobs.com/societe/201...

 

Drianke

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Alexandre Benalla estime que "la colonisation n'a pas été une mauvaise chose"

Contrairement au chef de l'État qui a estimé ce week-end que la colonisation était "une faute de la République", son ancien chargé de mission a expliqué sur Twitter qu'elle avait été "une chance pour les pays colonisés" et que "le problème c'est la manière dont on a décolonisé".

Depuis les révélations sur les violences du 1er mai 2018, Alexandre Benalla fait régulièrement la Une. L'ancien chargé de mission de l'Élysée n'hésite notamment pas à exprimer son opinion sur son compte Twitter.
Il y a quinze jours, il dénonçait, en pleine grève contre les réformes des retraites, les privilèges des cheminots.

Le week-end dernier, Alexandre Benalla a de nouveau exprimé son point de vue, sur la colonisation cette fois-ci. En visite en Côte d'Ivoire, Emmanuel Macron a estimé samedi 21 décembre que le colonialisme a été une " une erreur profonde, une faute de la République". Un avis que ne partage pas son ancien collaborateur, qui a affirmé sur Twitter que la "colonisation n'a pas été une mauvaise chose". Selon lui, "elle a été une chance pour les pays colonisés, le problème c'est la manière dont on a décolonisé"....................


https://actu.orange.fr/politique/al...-une-mauvaise-chose-magic-CNT000001mlJjQ.html
 

Drianke

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Alexandre Benalla ne sera finalement pas candidat à Saint-Denis

L'ancien collaborateur du président de la République a annoncé sa décision dans les colonnes du Journal du Dimanche.
L'ancien garde du corps d'Emmanuel Macron avait laissé planer le doute sur sa candidature. Il laissait ici et là sous-entendre qu'il entendait briguer la mairie de la plus grande ville de Seine-Saint-Denis (115.000 habitants). Finalement, il ne sera pas candidat. Dans un entretien donné au Journal du Dimanche, Alexandre Benalla, affirme souhaiter se mettre «plus en retrait de la sphère publique».

À lire aussi : La nouvelle vie d’Alexandre Benalla, candidat potentiel aux municipales

Pourtant Alexandre Benalla semblait croire à sa bonne étoile. Au Figaro, il prétendait en novembre avoir constitué une bonne partie de son équipe, et avoir réuni 38 colistiers sur 54. Il racontait également ses bains de foule sur le marché de Saint-Denis. «J’étais Johnny Hallyday au milieu du Stade de France», racontait-il, prétendant avoir fait «des centaines de selfies».

Sur les réseaux sociaux, ce sont plutôt des invectives qui avaient émergé. En novembre, il avait même été mis à la porte d'un bar.
Alexandre Benalla ne bénéficiait d'aucune structure, ni d'aucun soutien, et certainement pas celui de La République en Marche. Alexandre Aïdara, le candidat adoubé du parti majoritaire, avait qualifié de «non-sujet» une alliance avec l'ancien collaborateur du président.
 

Drianke

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🤣😂😅

ALEXANDRE BENALLA DÉMENT ÊTRE IMPLIQUÉ DANS L'ÉVASION DE CARLOS GHOSN

Un nom connu de retour au centre de l'actualité. Alors que, selon Marianne, plusieurs fils de l'enquête sur l'évasion de Carlos Ghosn du Japon vers le Liban semblaient mener vers le nom d'Alexandre Benalla, l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron, reconverti dans la sécurité privée, a démenti être impliqué dans cette opération.

Interrogé par le magazine Marianne, Alexandre Benalla a seulement reconnu avoir bien un lien avec une société de renseignement libanaise dont le nom apparaît dans l'enquête sur la folle fuite de Carlos Ghosn, et bien connaître l'homme d’affaires turc propriétaire de l'un des deux jets privés utilisés par le patron déchu de Renault-Nissan pour quitter le Japon.

Désormais très présent sur les réseaux sociaux, Alexandre Benalla, persona non grata à l'Elysée depuis l'éclatement de l'affaire qui porte son nom en juillet 2018, n'a pas manqué sur Twitter de tacler Valeurs Actuelles. Après l'article de Marianne, le magazine conservateur avait publié un papier sur son site web, dont le titre était «L'ancien chargé de mission d'Emmanuel Macron Alexandre Benalla aurait participé à l'évasion de l'ex-patron de Renault et Nissan Carlos Ghosn», et ce malgré son démenti.

«CA A L'AIR D'ÊTRE DE LA BONNE»

«Je ne sais pas ce que c'est mais ça a l'air d'être de la bonne», a tweeté avec humour Alexandre Benalla en partageant l'article, un commentaire accompagné d'emojis pleurant de rire. L'article de Valeurs Actuelles a depuis été supprimé ou modifié, pour reprendre en titre les dénégations de l'ancien collaborateur du président, qui a finalement renoncé fin décembre à se présenter aux élections municipales à Saint-Denis en mars prochain, après avoir fait part de cette intention dès le mois d'octobre.
 

Drianke

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Alexandre Benalla assistant parlementaire ? Pourquoi l’Assemblée a dit non

Le député Joachim Son-Forget, qui a quitté LREM en décembre 2018, a voulu obtenir un laissez-passer permanent pour l’ancien conseiller de l’Elysée. Mais les règles de l’Assemblée nationale concernant le lobbying l’en empêchent.

Nouveau coup de com' ou vraie volonté politique? Le député non-inscrit Joachim Son-Forget, parti de La République en marche (LREM) en décembre 2018 après plusieurs polémiques, souhaite en tout cas recruter Alexandre Benalla parmi ses assistants parlementaires. « J'ai déposé une demande pour l'avoir comme collaborateur bénévole, car il est impliqué dans mon parti », a-t-il justifié mardi dans Le Point, qui a révélé l'information.

Mais son nouvel espoir a été rapidement déçu. Dans la soirée de mardi, le député a publié sur Twitter une photo d'un courrier de l'Assemblée nationale lui notifiant son refus. « Après examen de votre demande, il apparaît qu'il ne peut lui être répondu positivement », a écrit le chef de la division de l'accueil, de la sûreté et de la sécurité....................

 
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