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Alger affiche sa proximité avec les régimes de Tripoli, Damas et Sanaâ: Solidarités s
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[QUOTE="benami, post: 8679264, member: 88418"] «En Algérie, nous avons une haute idée de la révolution. La révolution doit avoir des objectifs et une direction», a déclaré le chef du FLN. Belkhadem, lui, sest ouvertement attaqué à lopposition libyenne. Les opposants libyens ont fait appel à lOtan pour massacrer leurs frères. Nous, nous avons combattu lOtan», a-t-il déclaré lors de lémission «Hiwar Essaâ» («Débat de lheure »), diffusée mercredi 13 avril sur la chaîne A3 de lENTV. Le premier responsable du FLN, qui na, à aucun moment, évoqué ces exactions des proches de Kadhafi, sest attaqué aux insurgés libyens qui ont parlé de lexistence de «milices algériennes» aux côtés des milices du tyran de Tripoli. Pourquoi cette stratégie ? Tout cela traduit un affolement du pouvoir. Cest que le régime dAlger se découvre soudainement seul. Il est désormais isolé dans le Maghreb. Les révolutions arabes lont mis à nu. Il apparaît comme la seule survivance de lancien monde au Maghreb, après lannonce par le roi du Maroc Mohamed VI dune réforme globale de la Constitution qui octroiera plus de pouvoirs au Parlement et au Premier ministre ; après la révolution démocratique en Tunisie et en Égypte et linsurrection libyenne contre la dictature de Kadhafi. Bouteflika fait figure de dinosaure dans un Maghreb en marche vers les libertés. Limage de Moubarak tremblant et incarcéré dans une cellule médicale au Caire provoque la panique chez les dirigeants algériens. Belkhadem reconnaît, mercredi 13 avril, que les mouvements de protestations qui secouent actuellement lAlgérie risquent davoir des «conséquences politiques ». Cette peur est nouvelle. En décembre, Belkhadem estimait à propos des émeutes : «Ces contestations sont un phénomène normal et habituel. En 2010, plus de 5 000 protestations ont été enregistrées à travers le pays.» Et dajouter : «Seule lopposition a donné un caractère politique à ces contestations.» Alors quà propos de ce qui se passe dans les pays arabes, il a indiqué que «nous ne sommes pas à labri». Belkhadem a plaidé, à loccasion, pour «la prise en considération de ces revendications, ne serait-ce que par le débat dans certains cas» car «tant que ces mouvements restent dans le cadre pacifique, il est possible de traiter les revendications quils véhiculent». Les buts inavouables Tout ça pour dire que le pouvoir algérien veut faire en sorte que se reconstituent les conditions «régionales » du règne hégémonique. Pour lheure, le pouvoir cherche à gagner du temps, guettant la première occasion pour rétablir les conditions internes et externes de sa survie. Jusquoù ira-t-il pour rétablir lancienne figuration du Maghreb dictatorial, où il est à laise ? Ici commence le jeu dangereux. Il y a eu la question des mercenaires . Un porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères avait démenti dès le dimanche 10 avril les informations concernant une implication de lAlgérie dans une opération de mercenariat en Libye. [/QUOTE]
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