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Algerie: dans les coulisses du dialogue national
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[QUOTE="Verido, post: 8888188, member: 299150"] Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, le 16 avril 2011 à Tlemcen. © Farouk Batiche/AFP/Archives La commission chargée de conduire les consultations autour des réformes politiques en Algérie, dont les travaux se sont achevés le 21 juin, a reçu quelque 250 personnalités et une cinquantaine de mémorandums. Que va-t-il en sortir ? Entamées le 21*mai, les consultations autour des «*réformes politiques profondes*» annoncées le 15*avril par le président Abdelaziz Bouteflika se sont achevées le 21 juin. La commission chargée de recueillir les propositions des partis politiques, des personnalités nationales, des partenaires sociaux et des organisations de la société civile dispose désormais dune dizaine de jours pour remettre un rapport final au chef de lÉtat. Qui boycotte ? Emmenée par Abdelkader Bensalah, président du Sénat, assisté de deux conseillers de la présidence, Mohamed Touati, général à la retraite, et Mohamed Boughazi (voir J.A. no*2628), la commission a reçu quelque 250 personnes et une cinquantaine de mémorandums et plateformes de propositions. Lécrasante majorité des personnalités conviées a répondu favorablement à linvitation. Parmi ceux qui lont déclinée, on retrouve les frères ennemis du courant démocratique : le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, de Saïd Sadi) et le Front des forces socialistes (FFS, de Hocine Aït Ahmed). Mais aussi danciens Premiers ministres, tels quAhmed Benbitour et Mokdad Sifi, ou encore des militants des droits de lhomme, comme Ali Yahia Abdennour, ancien ministre de la Justice, ou Me*Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne de défense des droits de lhomme (LADDH), deux des initiateurs de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), qui a vainement tenté de mobiliser la rue dans le sillage des révolutions arabes. Parmi les questions clés débattues : la limitation des mandats électifs. Convaincus quil nest pas possible de réformer avec le système en place, ceux qui boycottent la commission Bensalah militent pour un départ préalable du pouvoir actuel, linstauration dune période de transition dont les contours seraient esquissés par consensus au sein de la classe politique. Quant à lélaboration dune nouvelle Constitution, elle devrait être confiée exclusivement à une Assemblée élue au suffrage universel. Mais les partisans dune Constituante nont pas tous boudé le processus en cours, à linstar de Louisa Hanoune (en photo, à droite), secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT, trotskiste), qui a soumis ses propositions à Bensalah, même si elle a déploré que la commission invite «*man habb wa dabb*», littéralement «*tout le monde et nimporte qui*». Un argument que rejette Mohamed Boughazi, qui insiste sur «*lélargissement du champ des consultations à toutes les composantes de la société, quelles soient grandes ou petites, lessentiel étant le contenu des propositions*». Comment se sont passées les consultations ? [/QUOTE]
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